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Projet Photomontage

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(235) AÑO UÑA. World cinema. Viewers emerge from Chris Marker's La Jetée (1962), a film made almost entirely of still photographs, marked for ever by its imagery yet somehow unsure exactly what they have seen.

World cinema

It is a film that mines deep seams of memory, but whose surface, though hardly forgettable, remains enigmatic in retrospect. After almost half a century, it is still hard to say what Marker achieved in his masterpiece. On the face of it, the half-hour film ought to be easy to précis, because its futuristic plot is familiar to the point of banality. (In Twelve Monkeys, Terry Gilliam's hyperactive "remake" of La Jetée, it's only the clichés that remain.) In the aftermath of a nuclear war that has destroyed his native Paris, a prisoner is dispatched across time to secure the resources that the present lacks. Le film culte - « La Jetée » : photo-roman sur grand écran. Crédits : La Jetée – Cinémathèque Française Chaque mois la rédaction de Maze revient sur un film qui a marqué l’histoire du cinéma.

Le film culte - « La Jetée » : photo-roman sur grand écran

Après les mafieux façon Martin Scorcese avec Casino, le cinéma d’expérimentation français, La Jetée de Chris Marker. En 1962, le monde du cinéma était marqué par le décès de la désormais mythique Marilyn Monroe. Mais si l’industrie du cinéma en 1962 avait quelque chose d’autre à nous offrir. Et si cette année précise, Chris Marker avait engendré l’un des films de science-fiction français les plus cultes ? Un photographe derrière la caméra Chris Marker est réalisateur mais l’on sent bien dès les premières minutes de La Jetée qu’il va nous faire vivre un moment de cinéma unique. Et pourtant il ne peine aucunement à nous embarquer dans son univers apocalyptique où toute forme de civilisation semble avoir disparue à l’exception de quelques hommes qui se sont retranchés dans les souterrains de Paris. Le roman-photo, histoire et détournement d'un art mineur.

Saviez-vous que Johnny Halliday a été une vedette de roman-photo ?

Le roman-photo, histoire et détournement d'un art mineur

En 1964, le magazine Nous deux invitait "l'idole des jeunes" à swinguer dans ses pages. C'est l'une des surprises que nous réserve l'étonnante rétrospective dédiée à cet art populaire, proposée actuellement par le Mucem, à Marseille. Parmi les 300 documents exposés, on retrouve donc entre autres, les histoires à l'eau de rose de Nous Deux qui a bâti sur ce genre son succès. Un art populaire Dans les années 50, l'hebdomadaire féminin vend plus d'un million et demi d'exemplaires chaque semaine. Le roman-photo a vu le jour en Italie, en 1947, inventé par les frères Del Duca, éditeurs et spécialistes de romans roses et de "fumetti", ces bandes dessinées d'action ou d'amour peuplées de super héros et de super nanas. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Des histoires inscrites dans le quotidien des femmes.

What ‘Back to the Future’ and ‘Terminator’ Owe to ‘La Jetée’ Chris Marker, who died earlier this year at 91, was an enigmatic figure, reluctant to be photographed and prone to biographical embellishment.

What ‘Back to the Future’ and ‘Terminator’ Owe to ‘La Jetée’

A creature of the European postwar avant-garde, Marker would seem an unlikely influence on modern Hollywood. But his 28-minute “photo-novel,” “La Jetée” — a shuffle of mostly still black-and-white images now marking its 50th birthday — has spawned more would-be blockbusters than any comic book or series of fantasy novels. This is partly because of its subject, which is time travel. La Jetée de Chris Marker. La Jetée de Chris Marker (1962) - Analyse et critique du film. « C’était un drôle d’objet.

La Jetée de Chris Marker (1962) - Analyse et critique du film

Une petite boîte de métal aux coins irrégulièrement arrondis, avec une ouverture rectangulaire au milieu et en face d’elle une minuscule lentille, de la taille d’un euro. On devait glisser par le haut un morceau de film – du vrai film, avec perforations – que pressait une roulette de caoutchouc, et en tournant un bouton relié à la roulette le film se déroulait image par image. (…) Ce bidule aujourd’hui oublié s’appelait Pathéorama. (…) Après quoi, cadre par cadre, je commençai à dessiner une suite de poses de mon chat (qui d’autre ?)

En insérant quelques cartons de commentaire. Et d’un seul coup, le chat se mettait à appartenir au même univers que les personnages de Ben Hur ou de Napoléon. J’étais passé de l’autre côté du miroir. (…) Trente ans passèrent. Alors qu’il terminait Le Joli Mai en 1962, Chris Marker réfléchissait à une histoire qu’il raconterait en photos. La Jetée est peut-être le seul film de Chris Marker où l’humour est absent.