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Telephone portable

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CAS – Service Central d'Authentication. CAS – Service Central d'Authentication. Le téléphone portable et la scolarité. Les adolescents, les smartphones et l'école totalitaire. Le sociologue Erving Goffman appelle “kit identitaires” les objets que des personnes portent sur elles afin de raffermir leur sentiment de soi et de soutenir la manière dont elles se présentent aux autres.

En d’autres termes, nos objets et nos possessions participent à la construction de nos identités. Nous avons maintenant de nouveaux kit identitaires. Ce sont les téléphones portables qui nous accompagnent dans notre quotidien. Ils sont des extensions de soi en ce sens qu’il permettent d’être en lien ou de s’isoler. Ils permettent d’appeler des proches et de communiquer avec eux de différentes façons.

Bien trop souvent, ces outils sont maintenus à l’écart des établissements scolaires. L’école montre ainsi qu’elle fonctionne de manière totalitaire. Que sera la mémoire des enfants qui sont aujourd’hui à l’école ? La place du téléphone portable dans le quotidien des jeunes. Aide : Lisez le texte et répondez aux questions par vrai ou faux. Atlantico : Aujourd'hui, les jeunes possèdent un portable de plus en plus tôt. Quelles sont les utilisations qui en sont faites ? Edith Tartar-Goddet : Tout d'abord, il faut définir ce que l'on entend par le mot "jeunes".

S’il s’agit d’enfants (CM1, CM2), la fonction téléphone est rassurante pour les parents qui peuvent ainsi appeler leur enfant à tout moment. Ces parents croient savoir ainsi où est l’enfant et ce qu’il fait. Les collégiens utilisent leur portable pour jouer et pour téléphoner à leurs copains, copines. La fonction SMS est privilégiée ainsi que la fonction photo.C’est un outil ludique, utilisé de manière instinctive pour se sentir en lien avec les autres (vagabonder sur Internet par exemple).

Atlantico : Comment le téléphone portable a-t-il changé les comportements à l'école ? Téléphones portables : comment ils ont changé les comportements de nos enfants. Atlantico : Aujourd'hui, les jeunes possèdent un portable de plus en plus tôt. Quelles sont les utilisations qui en sont faites ? Edith Tartar-Goddet : Tout d'abord, il faut définir ce que l'on entend par le mot "jeunes". S’il s’agit d’enfants (CM1, CM2), la fonction téléphone est rassurante pour les parents qui peuvent ainsi appeler leur enfant à tout moment.

Ces parents croient savoir ainsi où est l’enfant et ce qu’il fait. Les collégiens utilisent leur portable pour jouer et pour téléphoner à leurs copains, copines. C’est un outil ludique, utilisé de manière instinctive pour se sentir en lien avec les autres (vagabonder sur Internet par exemple). Il donne l'impression de ne pas être seul et évite les angoisses pour l’enfant qui se retrouve seul à la maison en fin de journée après une journée de classe par exemple. Comment le téléphone portable a-t-il changer les comportements à l'école ? Le portable favorise-t-il le repli de l'enfant sur lui-même ? Pour les parents, il est utile ! Comment les jeunes vivent-ils et apprennent-ils avec les nouveaux médias. D’où que l’on regarde, quand on parle du rapport des jeunes à l’Internet et aux réseaux sociaux, tout le monde évoque d’abord les risques, les dangers, les menaces qui pèsent sur eux.

Des dangers qui justifient bien souvent toutes les dérives sécuritaires… Pourtant, les chercheurs dénoncent largement ce retournement, cette tentation anxiogène de l’hypercontrôle qui définitivement n’aidera ni les parents ni les jeunes à aborder et comprendre les formes des nouvelles sociabilités qui se développent en ligne.Après avoir observé un problème concret et récent, retour sur une étude de fond sur les rapports des jeunes à l’Internet. En 2008, la Fondation Mac Arthur a livré les résultats d’une imposante étude qualitative sur la pratique des nouveaux médias par les jeunes. Ce projet de recherche sur la jeunesse numérique a rassemblé sur 3 ans plus de 28 chercheurs et s’est intéressé aux pratiques de plus de 800 jeunes.

Typologie des pratiques des jeunes. Le téléphone portable et la scolarité. Addiction, concentration, performances… ce que l’on sait (ou pas) des effets du smartphone. La recherche est encore balbutiante sur les effets de l’hyperconnexion aux smartphones, un phénomène récent à l’échelle de l’histoire de l’humanité.

LE MONDE | • Mis à jour le | Par Céline Mordant Il y a dix ans, le 9 janvier 2007, le patron d’Apple, Steve Jobs, présentait le premier iPhone. Depuis, le « téléphone intelligent » s’est imposé dans notre quotidien, dans nos poches, nos mains. On l’éteint rarement, on ne le quitte plus… Aurait-il refaçonné notre façon de penser ? Dans le flot des études et publications parfois contradictoires qui dressent soit une inquiétante liste des dégâts, soit une ode très optimiste aux facultés d’adaptation de l’être humain, difficile de s’y retrouver. Peut-on devenir dépendant à son smartphone ? La plupart d’entre nous ont le sentiment de maîtriser entièrement son rapport à son smartphone. . « Le smartphone agit comme un doudou virtuel, estime Laurent Karila, addictologue, porte-parole de l’association SOS Addiction. Pas vraiment. Nomophobie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La nomophobie est une phobie liée à la peur excessive d'être séparé de son téléphone mobile.

Étymologie[modifier | modifier le code] Le mot a été inventé au cours d'une étude menée en février 2008 par la UK Post Office qui accrédita YouGov, une organisation de recherche basée au Royaume-Uni, pour observer les angoisses subies par les utilisateurs de téléphones mobiles[1]. Le terme est un mot-valise construit par contraction de l'expression anglaise « no mobile-phone phobia »[2] et désigne alors la peur excessive d'être séparé de son téléphone mobile[3],[4],[5]. Michael Quinion (en) décrit ce néologisme comme une « affreuse chimère étymologique partiellement construite sur le grec ancien », et observe que le sens le plus logique à associer au terme « nomophobie » devrait être celui de « peur excessive des lois », considérant que le grec ancien nomos signifie « loi »[6]. Épidémiologie[modifier | modifier le code] Êtes-vous nomophobe ? Education et numérique. L’influence du téléphone portable chez les jeunes - Jeunes Congolais - Jeunes Congolais.

Il y a quelques années de cela, le téléphone portable portait mal son nom. En raison du poids de ses batteries, il n’était portable que si vous vous appeliez Monsieur ou si vous l’installiez dans votre voiture. Il coûtait en outre l’équivalent de plusieurs milliers d’euros. Aujourd’hui, près de 5 milliards de portables sont en service dans le monde. Tandis que dans certains pays, plus de la moitié des habitants en possèdent un. Le téléphone portable jadis instrument de communication est devenu aujourd’hui plus qu’un ami pour beaucoup de jeunes. Avec son coût relativement bas, ce service permet de s’échanger de courts messages écrits. Bien qu’il soit moins pratique de composer et de taper un message que de parler à son correspondant, chaque mois quelque 30 milliards de messages s’échangent dans le monde. Quel est l’objet de ces messages ? A Kinshasa par exemple, le téléphone est à la base des dérapages difficilement rattrapables chez les jeunes, surtout les filles.

Téléphone mobile et école : irréconciliables. L’usage des téléphones mobiles perturbe la classe et déconcentre les élèves, c’est pour cela qu’en France, leur utilisation est le plus souvent interdite dans les établissements scolaires. D’un autre côté, l’utilisation des nouvelles technologies à l’école est freinée par un problème de moyens ; équiper les établissements avec du matériel récent est très coûteux. De plus, quand le matériel est disponible, c’est souvent fastidieux pour les enseignants de devoir s’organiser pour réserver la salle informatique et cela interdit tout usage non programmé. Alors pourquoi ne pas utiliser tout simplement ce que les élèves ont déjà en grande majorité avec eux ? De plus en plus d’adolescents possèdent des smartphones, véritables ordinateurs de poche, avec des abonnements permettant un accès illimité à Internet.

Leur utilisation est flexible, rapidement opérationnelle et les élèves connaissent déjà leur outil. Le monde scolaire doit-il intégrer un outil juste parce qu’il existe et est disponible ? Comment le téléphone mobile influence les enfants. Que font les jeunes avec leur téléphone mobile ? C'est le sujet d'une étude conduite à travers cinq pays (Japon, Corée du Sud, Chine, Inde et Mexique) sur les différentes influences et utilisations du téléphone portable par les enfants et les adolescents. L'Institut indépendant de recherche sur les mobiles Mobile Society Research Institute (MSRI), institut affilié à NTT Docomo, est à l'origine de cette étude, réalisée avec la participation de l'Association des téléphones mobiles (GSMA), le soutient de KTF (opérateur de téléphonie Coréen) et l'aide du Centre de Science et de Technologie de l'université de Tsinghua (Chine).

Plus de 6 000 enfants de 9 à 18 ans ainsi que leurs parents ont été interrogés sur l’usage, l’attitude et leur manière d’agir face à leur téléphone. [via : MSRI] Faut-il interdire les téléphones portables à l'école ? C'EST l'accessoire « indispensable » des jeunes d'aujourd'hui : 80 % des 12-17 ans utilisent un téléphone mobile. Et c'est le fléau des préaux. Car les adolescents n'en ont pas tout à fait le même usage des adultes : 61 % s'en servent pour envoyer des photos et des vidéos, contre 40 % chez leurs parents. D'où certaines dérives dans l'enceinte de l'école.

Chahut en cours, à coup de sonneries et de SMS ; moyen de pression sur les professeurs que certains élèves s'amusent à « faire craquer » en les filmant à leur insu en vue de faire circuler ensuite la vidéo sur des blogs ; défis lancés durant les cours puis diffusés dans l'oeil des portables des camarades.