Tourismophobie : chaud le marronnier, chaud! C’est arrivé en même temps que les premières nuits fraiches d’été, au début du mois d’août.
En cette période où les rédactions occidentales sont bien embêtées pour se mettre quelque chose sous la dent. D’habitude, les directeurs d’offices de tourisme ou de CDT se voyaient interrogés le 29 juillet pour faire le bilan de la saison touristique. Mais en 2017, les journalistes ont trouvé un nouveau marronnier, sur lequel ils prospèrent : c’est la tourismophobie!. Depuis le début du mois d’août, la presse occidentale en fait ses unes, avec des termes évocateurs : « turismofobia » en Espagne, « troppi turisti » pour les italiens, « zu viele touristen » en Allemagne, « overtourism » aux Etats-Unis et en grande-Bretagne.
Doit-on réguler le tourisme de masse ? Barcelone, Venise, Dubrovnik ou Paris voient passer des millions de visiteurs par an au point de créer un sentiment d’exaspération des populations locales qui se voient dépossédées de leur lieu de vie.
Et pour cause, ces concentrations de touristes conduisent à l’augmentation des prix de l’immobilier ; certains quartiers sont envahis par les locations saisonnières repoussant en périphérie les populations locales ; les commerces de proximité ferment au profit de boutiques touristiques accompagnées d’une précarisation de l’emploi ; tandis que le patrimoine se dégrade tout comme les écosystèmes. L’espace public se métamorphose pour répondre aux attentes des touristes restreignant ainsi l’espace vital des locaux.
Untitled. A6 ou N6 ? Les vacanciers ont fait leur choix - Auxerre (89000) - L'Yonne Républicaine. A6 ou N6 ? Les vacanciers ont fait leur choix - Auxerre (89000) - L'Yonne Républicaine. Development local. Travel/tourisme. Slow tourisme/travel. Désintoxification de l'hyperconnection. Barcelone étouffe sous le tourisme.
Dossierpresentationclustertourismeetspiritualite2016v2 (2) (1) DD et slow. Tourisme durable. Slow tourisme Nouvelle Aquitaine. Preconisations. Slow mouvement. Tourisme spirituel. Voy'agir, le site de tourisme durable pour voyager écolo - FemininBio. Marine de Beaufort, passionnée de voyages et engagée dans le développement durable a créé une plateforme collaborative où chacun peut partager ses adresses green, pour un tourisme plus responsable.
Et si on y jetait un coup d'oeil avant de réserver nos prochaines vacances d'été ? Racontez nous votre parcours… J’ai 30 ans et j’ai passé la plupart de ma vie à Paris, jusqu’à mes 26 ans où j’ai décidé de partir en Amérique centrale. Dans le cadre de ma troisième année de licence, que j’effectuais à l’université Dauphine, j’avais déjà pu effectuer un voyage en Argentine. Je suivais une licence d’économie et de gestion, où je fus notamment présidente puis vice présidente de l’association Go To Togo durant 3 ans et demi. Puis, durant mon master en développement durable, j’ai travaillé sur le rapport entre biodiversité et entreprise ainsi que le développement durable en milieu bancaire. Voy’Agir a donc ouvert en juin dernier. Votre campagne de crowdfunding a débuté le 7 mars dernier.
Tourisme en Afrique: L’apport des arts, de la mode, … au scanner à Durban - Fraternité Matin. La 38e édition du Salon international de la 3e métropole sud-africaine, du 16 au 18 mai, planchera sur les produits culturels d’appel touristique.
Accueillir des touristes tout en préservant l'environnement - Actualité fonction publique territoriale. Émissions de gaz à effet de serre liées aux déplacements, artificialisation des sols, prélèvements d’eau potable, déchets, pressions sur le milieu naturel… Fondamental pour l’économie (41,4 milliards d’euros de recettes et plus d’un million de salariés en équivalent temps plein), le tourisme impacte l’environnement.
Ayant pour but de préserver la qualité des territoires touristiques, le tourisme durable se développe : il prend en compte les impacts économiques, sociaux et environnementaux actuels et futurs, pour garantir la viabilité du tourisme à long terme. Le ministère de l’Environnement, de l’Énergie et de la Mer détaille ces initiatives dans un guide. Ce sont les caractéristiques naturelles (qualité du paysage, climat) qui incitent les touristes à retourner en vacances au même endroit*. La plupart des territoires touristiques abritent des espaces protégés (Natura 2000, parcs nationaux, réserves naturelles…), source de revenus pour les communes.
Le pari du tourisme responsable. Une mauvaise réputation qui lui colle à la peau.
Dans les pays du Sud, le tourisme est souvent associé à des mégaprojets immobiliers, des employés exploités, un environnement mis à sac et de l’argent qui transite sans profiter aux populations locales. Mais une autre forme de voyage, plus respectueuse et responsable, se démarque du tourisme de masse. Tourism for Help, qui a créé trois hôtels/restaurants-écoles au Cambodge, au Mali et au Sénégal, propose de découvrir des régions hors des sentiers battus tout en formant des jeunes défavorisés aux métiers du tourisme.
Le tourisme durable, ce n'est pas du luxe. L’Organisation des Nations Unies (ONU) a proclamé 2017 année internationale du tourisme durable.
Que signifie voyager durablement? Comment y parvenir concrètement? Voici quelques pistes! Deux tiers des vacanciers se disent prêts à prendre l’environnement en considération, selon une enquête européenne menée par TUI Group (dont TUI Belgium fait partie). Logique de Plan.