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Féminisme

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Égalité H/F. Défense des droits des femmes et réaction religieuse : bilan et stratégies par des féministes de 11 pays. (Paris, Rabat) Dans le cadre d’une réflexion sur les liens entre droits humains et religions, la FIDH a organisé un séminaire à Rabat (Maroc) sur l’impact de l’islamisme sur les droits des femmes dans une zone nommée "Arc de crise". Une trentaine d’expert.e.s provenant de 11 pays dans lesquels des groupes ou partis islamistes ont accédé à la gestion des affaires publiques, ont participé aux discussions. Ils ont identifié des stratégies pour lutter contre les régressions ou les menaces de régressions enregistrées en matière de droits des femmes, qui seront publiées prochainement. Bien que les violations des droits des femmes ne soient pas l’apanage des partis politiques d’obédience islamiste, la progression de ces derniers ainsi que l’influence de leurs thèses les plus réactionnaires constituent une menace flagrante pour les droits des femmes, non seulement en termes législatifs mais aussi dans leur vie quotidienne.

. « Les contextes des pays étudiés sont très différents. Les Suffragettes : Sarah Gavron et les des droits des femmes en 2015. La réalisatrice britannique a choisi pour son nouveau film de mettre les droits des femmes en avant en retraçant le combat des Suffragettes, ces Anglaises militant pour le droit de vote. C'était il y a un siècle et pourtant, le sujet reste tristement très contemporain. Après son acclamé Rendez-vous à Brick Lane, qui suit les pas d'une jeune Bangladaise, mariée de force, à Londres dans sa quête du bonheur et de la liberté, Sarah Gavron remet les droits des femmes au coeur de son nouveau film, Les Suffragettes, qui revient sur ce mouvement pour le droit de vote féminin né au début du XXème siècle mais dont on retrouve des échos encore aujourd'hui.

Elle a accepté de répondre à nos questions et revient justement sur ce parallèle que l'on pourrait faire entre ce combat datant d'un siècle et tous ceux qu'il faut encore mener en 2015 et dans les années à venir. "Les droits des femmes sont un des plus gros problèmes de notre époque. Où sont les féministes mainstream ? Samedi après-midi a eu lieu un événement historique : pour la première fois en France, une marche a été organisée par des femmes qui luttent au quotidien contre le racisme, des femmes qui sont en premières lignes, des femmes de terrain, des militantes. Militantes parfois malgré elles, parce que leur frère ou leur fils a été tué par la police, et qu’elles ont vu leur vie basculer.

Une marche splendide, pas organisée par des syndicats, un parti politique ou une association pilotée par le gouvernement. Non, une marche dont l’appel a été lancé par Amal Bentounsi, sœur d’Amine, tué d’une balle dans le dos par la police en 2012, et rejoint par d’autres familles de victimes de crimes policiers, celles de Lamine Dieng, Ali Ziri, Amadou Koumé, Abdoulaye Camara, Mourad Touat, Hocine Bouras, Wissam El Yamni, Lahoucine Ait Omghar… Des noms qu’on ne connaît que trop peu, des noms qui racontent des morts injustifiées, et des policiers qui s’en sont tous sortis malgré tous les éléments à charge. Féminisme : « On parle à notre place, il faut que cela cesse ! Ne nous libérez pas, on s'en charge ! L’affiche est rose, les conférenciers nombreux, les conférencières si peu. Et pourtant, le thème du week-end aussi est « rose ». Les réseaux de militantes musulmanes commencent à s’agiter, « qu’est-ce qu’on est encore en train de nous pondre ?!

». Et c’est à ce moment précis que débarquent les Femen. Brandissant leurs seins blancs comme des muses blafardes de la liberté autoproclamées, elles mettent en premier plan les petites basanées de service, histoire de dire « On n’est pas racistes, même les orientales de la clique sont choquées. » Alors au front, elles ont envoyé les Fatmas et les Khadijas seins nus, comme une magnifique peinture orientaliste, symbolisant à la fois la libération de ces pauvres indigènes et leur adhésion à ces valeurs humanistes. Mais c’est alors que la presse française, avide de barbes et de moutons, ne se fait pas prier pour s’emparer de ce succulent dossier au couscous. Ceci étant dit. C’est bon, on peut respirer un coup ?

Très bien. 20| 2015 - Intersectionnalité et colonialité. Sous la direction de Jules Falquet et Azadeh Kian 176 pages, 15 euros Ce numéro des Cahiers du Cedref a bénéficié du soutien fi-nancier de l’Institut Émilie du Châtelet et du Pôle égalité Femme-Homme de l’université Paris 7-Diderot. Jules Falquet et Azadeh Kian Débats contemporains Patricia Hill Collins Cláudia Pons Cardoso Lélia Gonzalez Kathy Davis Madina Tlostanova Paola Bacchetta Chandra Talpade Mohanty. Agnès De Féo. Les cyberactivismes féministes à travers le monde. Pontoise : les Femen s’incrustent seins nus au Salon musulman (vidéo) Deux Femen ont interrompu une conférence de prédicateurs au Salon musulman du Val d'Oise samedi 12 septembre. La troisième édition du Salon musulman du Val-d’Oise, dédié cette année à la femme musulmane, a été mouvementée. L’événement, organisé à Pontoise samedi 12 et dimanche 13 septembre, a été la cible de nombreuses critiques, tant au niveau de la programmation que des prédicateurs invités aux conférences.

Dans la soirée du samedi, en pleine intervention de Medhi Kebir et de Nader Abou Anas, deux Femen ont soudainement fait leur apparition sur scène, seins nus, interrompant leur conférence, comme en témoigne une vidéo (plus bas). Sur leur torse, les phrases « Je suis mon propre prophète » et « Personne ne me soumet » ont été inscrites en noir. Sur leur page Facebook, Femen France s'est justifié dimanche via leur page Facebook en présentant leur intrusion comme leur réponse à la « femmophobie » dans un « salon du prêche intégriste » et une « grande fête du marché aux esclaves ».

Des Femen perturbent le salon de la femme musulmane à Pontoise et sont sorties de scène sans ménagement. FEMME - Deux militantes du mouvement féministe Femen ont perturbé samedi 12 septembre au soir un salon en partie consacré à la femme musulmane à Pontoise (Val-d'Oise). Peu avant la fermeture du salon, vers 20h30, deux Femen sont montées sur la scène, habillées de djellabas qu'elles ont enlevées avant d'être prises en charge par le service de sécurité du salon et remises à la police", a indiqué une source policière.

Les deux femmes ont été "entendues samedi soir" et "nous allons poursuivre l'enquête et les auditions pour savoir ce qui s'est passé", a indiqué le parquet de Pontoise, précisant que leur garde à vue avait été "levée dans la nuit" et que les organisateurs du salon avaient annoncé leur intention de déposer plainte. Les organisateurs ont réagi sur Facebook dimanche matin : Où en est le féminisme islamique ? Notes Traduit de l’anglais par Rachel Bouyssou Margot Badran, « Islamic Feminism on the Move », dans M. Badran, Feminism in Islam : Secular and Religious Convergences, Oxford, Oneworld Publications, 2009, p. 323-338. Ce texte avait pour origine une contribution à la conférence sur le féminisme islamique organisée par Islam & Laïcité et par l’Unesco ; il a été publié en français sous le titre « Le féminisme islamique en mouvement », dans Islam & Laïcité, Existe-t-il un féminisme musulman ?

, Paris, L’Harmattan, 2007, et traduit dans une version abrégée pour l’édition arabe du Monde diplomatique, novembre 2006. J’ai mentionné l’aspiration de certaines Égyptiennes à une réflexion islamique sur la libération des femmes dans « Gender Activism : Feminists and Islamists in Egypt », dans Valentine Moghadam (ed.), Identity Politics and Women : Cultural Reassertions and Feminisms in International Perspective, Boulder, Colorado, Westview Press, 1993 ; sur les débuts du féminisme islamique, voir M. Quand des féministes soutiennent des lois racistes. La première mesure ouvertement anti-musulmane a été le passage d’une loi en 2004 qui interdit aux jeunes filles d’aller à l’école en portant un « foulard islamique » – ce qu’il était appelé alors, avant de devenir, dans le patois journalistique, un « voile ».

Cependant, l’islamophobie, la peur et la haine de l’Islam et des Musulmans, n’est pas spécifiquement française : elle est répandue en Europe, en Amérique du Nord, bref dans tout le monde occidental. Bush Jr a décrété l’Islam ennemi du monde occidental, et c’est ainsi que ce monde en est venu à justifier l’invasion et la destruction d’une grande partie du Moyen-Orient et de l’Asie centrale depuis les années 2000. En France, cependant, en sus des raisons géopolitiques (l’alliance avec les Etats-Unis), l’islamophobie a des racines proprement françaises. La campagne idéologique contre l’Islam a commencé il y a plus de quarante ans. Ces féministes blanches n’ont jamais mis en question ce qu’elles portent elles-mêmes. Féminisme blanc : le mépris de Lou Doillon | Les Chroniques de Paige Palmer.

Ca a commencé par une entrevue accordée par la chanteuse vaguement célèbre Lou Doillon au quotidien espagnol El Pais dans laquelle la fille de sa mère s’est exprimée sur le féminisme et ses nouvelles icônes (Beyoncé, Nicki Minaj, etc…). A une époque où les actrices semblent plus capter l’attention par leur capacité à récupérer leur silhouette de rêve – diktat de la minceur oblige – quelques semaines après la naissance de leur enfant, savoir qu’une comédienne a une opinion pertinente sur le féminisme pourrait sembler rafraichissant. Sauf que dans ses propos, Lou Doillon prouve à quel point le mépris des les femmes blanches vis à vis des femmes noires est flagrant. Féminisme blanc: Entre culpabilisations et injonctions Lou Doillon : Chanteuse méconnue Mais Lou Doillon ne s’arrête pas là. Les 2 nouvelles idoles de Lou Doillon Quand je vois Beyoncé chan­ter nue sous la douche en suppliant son copain de la prendre, je me dis : “On assiste à une catas­trophe”.

Féminisme : des ressources pour les jeunes filles #2. Suite de la liste (absolument non-exhaustive) de ressources féministes pour les jeunes filles, dont la première partie se trouve ici. La fin de la liste est une petite base bibliographique féministe qui, bien que moins récréative, peut être lue jeune – et se trouve avoir changé ma vie alors que j’étais une jeune fille en fleurs et en colère pour des raisons alors brouillon. Vos suggestions pour allonger la liste sont plus que bienvenues ! Sex+, Laci Green Vidéos. Sex+ est la chaîne Youtube de Laci Green, une jeune femme brillante qui s’attaque à la sexualité de façon incluante : chacune de ses vidéos fait un bien fou.

Laci Green donne également des cours d’éducation sexuelle dans des universités et des lycées. Comprendre le féminisme, Marie-Hélène Bourcier & Alice Moliner Essai. Shameless Magazine. Je veux comprendre, Madmoizelle Web. Cucumber Banana Tofu Série. Inside Amy Schumer Humoriste. Causette Magazine. Et 2 J'aime : J'aime chargement… Sur le même thème Dans "Les nouvelles" Féminisme, femmes blanches, et intersectionnalité : considérations éthico-pratiques | Caisson Secret. Commençons par le commencement : Les féministes veulent-elles couper les couilles des hommes ?

Oui, certaines le veulent. En tout cas, certaines féministes veulent couper les couilles de certains hommes ou de certains types d’hommes. Ou les tuer. Le reste des féministes veut le faire symboliquement, en quelque sorte « tuer le père » : détruire le pouvoir du modèle valorisé majoritaire dans nos sociétés, c’est à dire la virilité. Que la plupart des hommes situent dans leurs couilles (mais en vrai c’est partout ailleurs dans et hors du corps). Les hommes sont-ils tous des violeurs ? Pourquoi les féministes disent-elles que les hommes sont des oppresseurs ou des privilégiés ? Parce qu’en tant que classe ils sont oppresseurs.

Et les femmes bourgeoises par rapport aux hommes prolétaires ? Ça se discute. Et une femme blanche par rapport à un homme noir ? Ça aussi se discute. Comment penser ces différentes oppressions, ces différents jeux de pouvoir ? Impec’ ! En fait non. Et pour la musique ? Goth mom on Twitter: "your white saviour complex isn't feminism... « Oui mais quand même, la religion, c’est mal » Relayer l’information de la énième agression d’une femme voilée, ou les propos haineux tenus sur l’islam par la représentante d’une organisation pseudo-féministe, revient immanquablement à emboucher l’appeau à trolls religiophobes. Que des femmes soient insultées et tabassées, que le féminisme serve de leurre pour répandre et banaliser le racisme le plus crasse, tout cela, le/la religiophobe s’en moque : dans un pays où médias et politiques, de façon plus ou moins insidieuse, désignent à longueur de temps les musulmans comme la cause de tous les maux de la société, son seul sujet d’anxiété est que son droit à « critiquer la religion » soit garanti.

Pour l’exprimer, il usera de subtiles gradations dans la virulence, de la simple protestation à l’éructation scatologique probablement censée traduire la hauteur à laquelle il plane dans l’éther philosophique inaccessible aux benêts qui voient du racisme partout : « Moi, je chie sur toutes les religions. » Bon, d’accord. Parlons-en, alors. « Les femmes en Arabie Saoudite : les féministes occidentales ne nous sauveront pas – leur ignorance de l’intimidation nous réduit à de simples hymens.  | Caisson Secret « « La journaliste du Printemps Arabe américano-égyptienne Mona El-Tahawi a suscité beaucoup de controverse en 2012 quand elle a publié un article polémique au sujet du traitement des femmes par les hommes dans le monde arabe intitulé : «Pourquoi nous haïssent-ils?

». Son dernier livre Foulards et Hymens est susceptible d’avoir un effet similaire. Madame El-Tahawi n’est pas la première femme musulmane à explorer des éléments de sa foi ou les pratiques de certains de ses membres pour un public occidental en Anglais et elle ne sera pas la dernière. Mais ces débats attirent toujours l’attention. Je ne suis pas bien placée pour critiquer le livre de Madame El-Tahawi ou son travail – ou le travail d’un de ses compatriotes littéraires et idéologiques, sur cette question – mais je tiens à attirer l’attention sur le phénomène qu’ils représentent : L’âge du complexe industriel de la brown-and-white savior*.

Elle n’est même pas pratiquée dans les pays voisins de l’Arabie saoudite. J'aime : Comment (et pourquoi) des hommes deviennent-ils des militants féministes? Temps de lecture: 16 min Homme et féministe: pour certains, ce sont deux termes qui s’opposeraient presque, une alliance incongrue ou à tout le moins, un adjectif qui devrait être réservé aux femmes. Comment, alors que les féministes sont souvent taxées de «misandrie», et qu’elles n’ont pas toujours bonne presse, des hommes en viennent-ils à s’engager pour cette cause, voire même à militer activement dans des associations? Quelles raisons poussent donc ces garçons à surmonter les sarcasmes et à faire cette chose qui semble si peu logique à tant de gens au premier abord: se battre contre leurs propres privilèges? C’est l’objet d’un livre du chercheur Alban Jacquemart, intitulé «Les hommes dans les mouvements féministes. Socio-histoire d’un engagement improbable». Nous avons aussi posé la question à quelques-uns des spécimens cette espèce rare, pas forcément quant à eux engagés dans une association strictement féministe mais ayant tous pris des positions publiques allant dans ce sens.

Lou Doillon : le féminisme blanc, c'est forcément plus propre et plus intelligent. Quand des féministes soutiennent des lois racistes. Les fondements politico-économiques du fémonationalisme. Cartographie du néoféminisme. Sihame Assbague sur Twitter : "La cartographie du néoféminisme selon Elisabeth Lévy...si vous voulez rigoler de bon matin :)... Le féminisme français est-il raciste? Quand des féministes soutiennent des lois racistes.