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Attentats : de nouvelles mesures pour la sécurité dans les écoles. Europe 1<author id="23322" type="name">Rédaction Europe1.fr</author> avec AFP Formation de la communauté éducative aux premiers secours, vidéoprotection, recensement des portables des chefs d'établissement : Najat Vallaud-Belkacem et Bernard Cazeneuve ont annoncé jeudi de nouvelles mesures pour la sécurité à l'école, un mois après les attentats de Paris. Ces mesures figurent dans une circulaire adressée jeudi notamment aux préfets et aux recteurs. Un répertoire commun. Pour pouvoir joindre à tout moment un interlocuteur de proximité, les préfets et les recteurs sont chargés de mettre en place des répertoires communs qui devront être mis à jour régulièrement.

Vidéosurveillance ou digicode. Premiers secours. D'autres mesures de sécurité avaient déjà été annoncées après les attentats du 13 novembre. L'école face au défi de la sécurité. L'Éducation nationale engage ses personnels à se préparer à un acte terroriste. Ce qui inquiète élèves et parents. Une «culture de la sécurité» s'impose à l'école. C'est le message que s'efforce de développer la Rue de Grenelle depuis les attentats du 13 novembre. Car cette culture n'est pas forcément naturelle dans des lieux ouverts sur la ville, dans lesquels les personnels œuvrent à la transmission du savoir.

Vérifier l'identité des personnes extérieures, contrôler visuellement les sacs, éviter les attroupements… Outre ces mesures de sécurité renforcées, figurant dans les circulaires des 25 novembre et 4 décembre signées par l'Intérieur et l'Éducation nationale, ils sont chargés de vérifier l'efficacité et la connaissance par l'ensemble des personnels du «plan particulier ... Première journée de la laïcité à l’école : le piège des impasses intellectuelles françaises. Atlantico : 110 ans après le vote de la loi de séparation de l'Eglise et de l'état de 1905, mais surtout après les attentats de 2015, les écoles s'apprêtent à "célébrer" la première journée de la laïcité. Que pensez-vous de cette décision ? Concrètement que va-t-on pouvoir enseigner à ce sujet ? La laïcité est-elle enseignable en tant que telle ? Vincent Petit : Je crains qu'un enseignement d'ordre général soit parfaitement inutile, voire contre-productif.

Le problème est qu'aujourd'hui la laïcité est enseignée comme une valeur en tant que telle et un savoir disciplinaire de nature presque théologique, alors qu'elle est un produit historique et une pratique juridique, en constante évolution : la loi de 1905 à laquelle on se réfère n'était pas appliquée de la manière en 1908 qu'en 1920 et qu'en 1965. Aristide Briand, et Jules Ferry avant lui, l'avaient bien compris. Le problème est que l'école, à l'image de la France, manque cruellement de rituels collectifs et fédérateurs. Je m'abonne. Les lycées franciliens sous surveillance. Accueil Après les attentats de Paris et entre les deux tours des élections régionales, la sécurité des lycées d'Ile-de-France fait l'objet de mesures d'exception et d'un budget revu à la hausse.

Pourtant, peu d'établissements s'en saisissent.(...) Cet article est réservé aux abonnés, pour en profiter abonnez-vous. Et aussi sur les Echos Les articles à la une Régionales 2015 Grand Est : Philippot donné battu, de peu, par Richert EXCLUSIF + DOCUMENT - Malgré le maintien du candidat socialiste, la droite pourrait battre le FN dimanche dans la région Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine,...

Politique Pourquoi le FN pourrait ne pas gagner de région Plusieurs éléments peuvent encore priver le parti d’extrême droite d’une victoire au second tour. Les régionales 2015, mode d’emploi Qui élit-on ? À lire également sur les echos Recommandé par Les articles les plus lus Plusieurs éléments peuvent encore priver le parti d’extrême droite d’une victoire au second... Mixités à l’école. Le Cnesco et le CIEP ont organisé, en partenariat avec le Conseil supérieur de l’éducation du Québec, une conférence de comparaisons internationales (juin 2015) sur le thème :« Mixités sociale, scolaire et ethnoculturelle à l’école : quelles politiques pour la réussite de tous les élèves ?

« Dossier de synthèse A partir de l’ensemble des ressources produites lors de la conférence, le Cnesco présente un dossier de synthèse : Consulter le dossier de synthèse Préconisations du Cnesco A l’issue de la conférence, le Cnesco a produit des préconisations. Consulter les préconisations du Cnesco Rapports scientifiques A l’occasion de la conférence, le Cnesco a publié deux rapports. État des lieux de la mixité sociale et scolaire dans les collèges et lycée françaisPar Son Thierry Ly et Arnaud Riegert Consulter la synthèse du Cnesco et le rapport Rapport international : la mixité sociale à l’écolePar Gabriel Rompré Consulter la synthèse du Cnesco et le rapport Enquête Consulter la synthèse du Cnesco et l’enquête.

Faire vivre la laïcité à l'école. Ecole: 857 cas de suspicions de radicalisation. Quelque 857 cas de suspicions de radicalisation d'élèves ont été signalés dans l'Education nationale pour l'année scolaire 2014-15, a indiqué le ministère aujourd'hui, confirmant des informations de 20 Minutes. La ministre de l'Education Najat Vallaud-Belkacem avait déjà communiqué en juin, avant la fin de l'année scolaire, le chiffre de 816 signalements de suspicions de radicalisation lors d'une audition au Sénat. Ces signalements interviennent dans un établissement en cas de doute, s'il y a plusieurs signaux qui indiquent qu'un élève pourrait être en danger, en voie de radicalisation, précise le ministère.

Il peut s'agir de messages repérés par des camarades sur les réseaux sociaux et signalés aux enseignants ou bien de propos tenus dans l'établissement. Ensuite, les informations sont transmises au référent «radicalisation» de l'académie, qui le signale à la justice ou à la police, avant l'intervention des cellules de déradicalisation. Favoriser la mixité sociale à l’école: avancer à petits pas sur un sujet polémique. Favoriser la mixité sociale dans les collèges, c’est le voeu du ministère de l’Education qui annoncera la semaine prochaine des expérimentations, une approche prudente car tout ce qui touche à la carte scolaire en France suscite immanquablement la polémique. Pour mesurer le degré de mixité entre des enfants de diverses origines sociales au sein d’un même établissement, les collèges disposent des déclarations des familles lors de l’entrée de l’enfant dans le secondaire. En France, cette ségrégation est «importante» en collège et lycée, bien que l’objectif de mixité sociale soit inscrit dans la loi sur l’école de 2013, révélait en mai une étude de deux chercheurs de l’Ecole d’économie de Paris, Son Thierry Ly et Arnaud Riegert.

Une piste évoquée par le ministère est la création de secteurs multi-collèges, accompagnés de critères d’affectation des élèves. Actuellement, les collégiens sont affectés, par l’académie et le département, dans un établissement donné en fonction de leur adresse. Pour une école du regard face au communautarisme | Joann Sfar. DÉBAT - Bonjour ! Nous sommes en 2015, j'habite en France et c'est un petit peu compliqué. Notre pays a envie de se voir comme religieux, avec des communautés. Chacun met énormément d'énergie pour qu'il en soit ainsi. Nos penseurs regardent très peu, écrivent beaucoup, et nous inventent des petites armées affiliées à un dogme ou un autre. Je ne le connais pas, l'autre. J'ai la chance d'être dessinateur, c'est pourquoi cette pensée de l'autre et du même se traduit dans mon métier de façon extrêmement concrète: je dessine les gens.

Je regrette qu'on ait tant de penseurs et si peu de dessinateurs. Je ne sais pas si je parviendrais à les emmener avec moi, quand je dessine, ces penseurs. Kokoschka avait créé une "Ecole Du regard". Notre pays va mal il paraît. Je suis populiste? Je ne veux pas devenir directeur d'école, n'est-ce pas, mais l'Ecole du Regard de Kokoschka me manque. Egalement sur LeHuffPost. Jaruk, fils de demandeurs d'asile : l'école l'a laissé couler. Madame la ministre, agissez. Image d'illustration d'un enfant seul (GARO/PHANIE). Madame la ministre, Vous lirez peut-être, si vous en avez le temps, l’histoire sinistre et authentique du jeune Jaruk, enfant de demandeurs d’asile déboutés et devenus sans papiers, broyé par la politique du gouvernement auquel vous appartenez et que l’école dont vous êtes la ministre a laissé couler. Les faits parlent d’eux-mêmes et ils ne sont, hélas, pas si exceptionnels qu’on le voudrait.

Ce qui est exceptionnel dans la situation de Jaruk, c’est qu’il se soit trouvé quelqu’un pour la suivre, en être ému et prendre la peine de l’écrire. Un silence qui vaut approbation L’école est obligatoire croit-on. Hélas, pas pour tout le monde. Enfants Roms que certains maires refusent de scolariser au prétexte qu’ils n’habiteraient pas vraiment la commune ou dont le bidonville est trop éloigné de l’école. Enfants de sans-papiers ou de demandeurs d’asile déboutés vivant à la rue dont le premier souci est de survivre, manger, s’abriter, se laver. La charte de la laïcité fait sa rentrée à l'école. La charte de la laïcité doit désormais être paraphée par les parents d'élèves. Depuis sa présentation en 2013 et jusqu'à aujourd'hui, ce texte était seulement affiché dans les établissements du second degré.

Composée de 15 articles, elle réaffirme l'importance des valeurs de la République transmises par l'école, dont la laïcité, garants du "vivre ensemble". La charte rappelle par exemple que chacun est libre de croire ou non, qu'il n'y a pas de religion d'État ou encore que le port de tenues ou signes religieux ostentatoires est interdit. Une façon pour le ministère de l'Éducation de relancer "l'école de la République", ébranlée après les attentats de janvier. La signature de cette charte - obligatoire mais pas sanctionnée - ne fait pas toujours l'unanimité, du côté des syndicats et des spécialistes. Mais quelle est la place des religions et de la laïcité aujourd'hui dans les écoles, les collèges et les lycées... et jusque dans les cantines ? Lire et écrire, des droits fondamentaux. Lire et écrire, des compétences évidentes pour beaucoup d’entre nous. Mais pour les personnes qui ne disposent pas de ces savoirs de base, notamment dans leur recherche d’emploi.

Récemment licenciée, Rosa, 31 ans et mère d’un enfant, cherche un travail. Mais à chaque étape, que ce soit dans ses démarches pour répondre aux offres d’embauche ou pour décrocher une formation, la jeune femme est confrontée à ses carences en lecture et en écriture. Difficile pour elle d’avancer dans la vie. Rosa n’existe pas, ou plutôt, si, elle existe, mais ne porte pas forcément ce prénom. Une discrimination La lecture des petites annonces, le suivi d’une formation et le passage des multiples étapes d’une procédure de sélection -souvent disproportionnée au regard du poste à pourvoir en raison d’un marché de l’emploi saturé-, autant d’obstacles à franchir pour ces personne souvent précarisées.

En savoir plus Chiffre du jour : 5.000 Toute une journée pour sensibiliser source: Nicolas Naizy. "Notre école n'est pas (encore) foutue !", un livre plein d'optimisme. Marie-Christine Culioli : "La force de l'école, c'est d'amener les enfants à s'approprier nos codes" Rentrée scolaire : la pédagogue qui voulait révolutionner le système éducatif français. Basta ! : Quelles compétences ont été développées par les enfants de votre classe de Maternelles, à Gennevilliers, entre 2011 et 2014 ? Céline Alvarez [1] : Dès la première année, tous les enfants, suivis par le CNRS, ont progressé plus vite que la norme, sauf un qui était l’enfant le plus absent.

Ils sont entrés très facilement dans la lecture, ont fait des mathématiques, des divisions, des soustractions. Dans certains domaines, en conscience phonologique, c’est-à-dire la capacité d’entendre les sons dans les mots, en mémoire de travail [notre capacité à retenir sur du court terme], ils étaient très au dessus de la norme. Un développement social s’est aussi mis en place.

Ces résultats ne sont pas là parce que je suis une enseignante merveilleuse ou parce que les enfants sont extraordinaires ou à haut potentiels. En vidéo : du côté des enfants Comment a démarré cette expérience d’enseignement ? Je n’ai jamais souhaité être enseignante. Pourquoi votre expérience a-t-elle pris fin ? M.amnesty. Remise de la pétition contre les discriminations au gouvernement tchèque, Prague, 31août 2015 ©Amnesty International A la veille de la rentrée scolaire, nous avons remis au ministre de l’Education de la République Tchèque 38334 signatures contre les discriminations envers les écoliers roms. Ces derniers sont exclus du système scolaire classique, la majorité d’entre eux sont scolarisés d’office dans des établissements spécialisés ou dans des classes réservées aux Roms. Installés devant le ministère de l’Education à Prague, des familles roms avec notre organisation ont réalisé une flash-mob contre les discriminations avant de prendre la parole pour dénoncer la politique de ségrégation scolaire.

Les 38334 signatures collectées dans le cadre d’une campagne lancée en avril 2015, ont été remises par la suite au ministre accompagnées d’un carnet scolaire grand format avec l’appréciation « Peut mieux faire ». Lire aussi : être un enfant rom en République Tchèque.