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FabLab

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LSE Business Review – Co-workers and makers: New public policies and corporate strategies for the city. Collaborative movements and communities—co-workers, makers, hackers, and fabbers— stir tremendous controversy because they expose all the paradoxes and contradictions of the ongoing transformations of work practices and capitalism. Work is being redefined by the growing number of entrepreneurs and freelancers while organisations are being transformed by a new work ethos. The ‘do-ocracy’ is establishing itself as the favoured organisational structure of the future, where individuals choose roles and tasks and execute them. Responsibilities and legitimacy go to people who do the work, rather than to selected executives. These are all the issues dealt with by the White Paper recently published by the Research Group on Collaborative Spaces (RGCS), an academic network focused on coworkers, makers, and hackers, and how they contribute to emerging work practices.

How do collaborative spaces affect public policies and strategies? Who needs space in the digital age? Notes: Theconversation. Il y a bientôt trois ans, j’ai commencé à explorer le « nouveau monde » des tiers-lieux d’entrepreneuriat et d’innovation. Après des années de recherches sur des grands groupes, des universités, des administrations, des grands projets digitaux, je découvrais alors un objet particulièrement enthousiasmant. De nouvelles formes d’incubation et d’intermédiation, des espaces de coworking indépendants et corporate, des fab labs, des maker spaces, des hacker spaces ont été et sont toujours l’occasion d’observations, d’entretiens, d’expériences de photographie et d’ateliers de co-création.

Quelques années plus tard, mon enthousiasme est intact, mais les intuitions sur les tendances en cours ont peut-être gagné en précision et en distance critique. C’est ce parcours scientifique, social et émotionnel, que j’aimerais évoquer ici. Sous l’écume : la guerre des mots, un moindre mal ? Tout d’abord, la faiblesse des requêtes sur le terme « tiers-lieux » m’a beaucoup étonnée. To be continued… “La Fab City, c’est bien plus qu’une ville remplie de Fab Lab" La Fab City, ville localement auto-suffisante et globalement connectée, nous invite à repenser l’impact de la fabrication numérique au-delà du Fab Lab, pour relocaliser la production industrielle, alimentaire et énergétique sur le territoire urbain. Elle sera à l’honneur jeudi 10 novembre, lors d’une soirée organisée par OuiShare dans le cadre du Disruptive Innovation Festival, et de notre programme d’exploration sur le futur des villes.

Rencontre avec Tomas Diez, fondateur de IAAC et du Fab Lab Barcelone, et instigateur du programme Fab City. Bonjour Tomas, peux-tu résumer rapidement ton parcours, et comment est née la Fab City ? Tomas Diez. Faire carrière à IAAC (Institute for Advanced Architecture of Catalonia). Si on résume, la Fab City c’est un peu le mariage entre fabrication numérique, ville durable et intelligente, et économie circulaire non? T.D. Les Fab Labs sont les agents de la transformation culturelle des acteurs productifs et industriels. T.D. T.D. T.D. T.D. T.D. Les Tiers-lieux : là où le travail se transforme. L’expression « Tiers-lieux » est une traduction de la notion de « Third Place » issue de l’ouvrage de Ray Oldenburg, The Great Good Place, paru en 1989. L’analyse du sociologue américain montre l’existence de lieux tiers, par opposition aux deux espaces que sont l’habitation et le lieu de travail : ces derniers se distinguent par un certain isolement de l’individu, à l’inverse de Tiers-lieux qui offrent la possibilité de nouer des relations sociales.

Il ne s’agit pas, dans cette étude, d’une description normative ou programmatique : ce sont des espaces existants qui sont étudiés, comme des cafés, bars, librairies, bureaux de postes, salons de coiffure, etc. Ces endroits sont caractérisés par : des services gratuits ou peu chers, une bonne accessibilité, des « habitués » qui s’y réunissent régulièrement, la convivialité et, le plus souvent, de quoi se restaurer. Aujourd’hui : comment caractériser les Tiers-lieux ? Dynamiques du changement sociétal, ou simple mutualisation de moyens ? Indépendants mais ensemble, les « makers » inventent de nouvelles collaborations. À la frontière du travail de l’ingénieur, du designer et de l’artisan, les activités des makers exigent des compétences et des collaborations variées.

Qu’il s’agisse de développer un produit innovant ou de réparer un objet cassé, les makers trouvent dans les makerspaces ou les fablabs des ressources pour atteindre leurs objectifs. Bricoleurs amateurs ou travailleurs indépendants, les makers rentrent difficilement dans une catégorie et c’est davantage le goût pour le partage et l’apprentissage qui les rassemble. Une ethnographie de plusieurs mois dans le makerspace IciMontreuil a permis d’identifier des formes de collaborations alternatives à celles que l’on observe dans les entreprises. Pas de lien de subordination mais de l’interdépendance À l’instar des personnes fréquentant les espaces de coworking, les membres des makerspaces ou fablabs sont souvent des indépendants ayant décidé de se lancer dans l’aventure entrepreneuriale.

Lieu-dit : la coopération avant la cohabitation. Ca s’appelle le Lieu-dit mais ce n’est pas encore un lieu. Dix associations brestoises de l’économie sociale et solidaire sont réunies au sein de ce collectif, pôle de coopération et d’innovations économiques et sociales du pays de Brest : - Un peu d’R (recyclerie), - Court-Circuit (produits bio et locaux), - Sema’for (formation), - Les Ateliers de Louis (art et artisanat), - Brest à pied et à vélo (Bapav, vélo),- Vert le jardin (jardins partagés), - Chrysalide (coopérative d’activités), - La Pince (recyclage textile), - Les Fabriques du Ponant (outils numériques), - l’Adess (développement de l’économie sociale et solidaire).

Partages « Nous faisons des choses assez différentes mais avec les mêmes valeurs. Les membres du Lieu-dit organisent également des résidences communes régulières pour favoriser les échanges et proposer des ateliers ouverts au public. Le 31 août dernier, ils se sont ainsi retrouvés dans les locaux de Vert le jardin (photo ci-dessous). Lieu commun ? Les Copeaux Numériques près de Rouen : un mix d'atelier de menuiserie, de fab lab et de café culturel. Les Copeaux Numériques ont enfin trouvé leurs locaux. Au mois de février 2016, nous vous parlions déjà de cette jeune entreprise au projet un peu fou : mêler dans un même endroit, autour du travail du bois, un atelier de menuiserie, un Fab Lab (un laboratoire où les machines à la pointe de la technologie sont disponibles), coworking et café culturel au même endroit.

Il manquait alors à François Marquetty et Caroline Degrave, les fondateurs, un lieu où s'installer. La Chartreuse, ce bijou Six mois plus tard, c'est chose faite. Menuiserie, Fab Lab, café, coworking... Caroline Degrave rappelle l'essentiel du projet des Copeaux Numériques : "C'est un projet axé sur le travail du bois et la fabrication numérique. Des formations pour travailler le bois ou manier la fraiseuse numérique Grand public, artistes, professionnels du bois, designers, architectes... Ouverture début 2017. Tiers lieux • Agence régionale du Livre Paca. Quand les Makers changent la donne. Nés au MIT (Massachussetts Institute of Technology) au début des années 2000, les Fab Lab (laboratoires de fabrication) incarnent une nouvelle manière de se rassembler pour inventer, créer, fabriquer et transmettre hors des institutions classiques que sont l’université ou l’entreprise.

«Nous assistons à l’émergence d’une nouvelle alchimie du lien social dans ces «tiers lieux» situés entre l’entreprise classique et l’espace domestique» analyse Michel Lallement, sociologue. Ces Makers (faiseurs) bidouillent au sein d’ateliers partagés, équipés d’outils numériques et d’imprimantes 3D pour concevoir et fabriquer objets et prototypes. Même si leur apparition est récente, ils n’en sont pas moins les héritiers des compagnons du Moyen Âge et du courant autogestionnaire des années 70. Mais en échangeant des logiciels open source, dont les codes sont en accès libre et que chacun peut enrichir, ces Makers défient-ils les institutions fondées sur le respect du copyright ?

«Pas nécessairement. [Made in Rennes] Happy To Meet You, le Lab Fab, et les événements à ne pas manquer… Happy To Meet You est une société de conseil en recrutement, de gestion de la marque et de la e-réputation employeur. Ce positionnement unique permet de booster l'attractivité des entreprises pour acquérir les meilleurs talents. L'activité de Happy To Meet You se décompose ainsi en deux axes: Une partie recrutement: grâce à un savoir-faire en sourcing sur le web, sur les réseaux sociaux mais également sur les réseaux physiques, Happy To Meet You va pouvoir détecter et sélectionner les meilleurs profils sur des offres tendues, pour des postes d'experts ayant des compétences rares.

Sur des offres plus généralistes, les experts Happy To Meet You effectueront tout le travail de sélection pour ne proposer que les profils qui correspondent le mieux aux attentes de l'employeur Capture d'écran du site Happy To Meet You Après un travail en amont entamé en septembre 2015, les deux entrepreneurs décident de lancer la société en février 2016. Accueil - MakerTour. Hein ? Quoi ? un Fab lab dans une BU ? Les bibliothèques universitaires se posent depuis le début des années 90 de nombreuses questions autour de leurs missions et finalité : quels nouveaux services apporter aux usagers ?

Quel statut, quels usages pour un tiers lieux ? Quelle place pour le numérique dans une logique de Learning network ? On le constate un peu plus chaque jour, de nouveaux usages surviennent et s’imposent progressivement dans l’enceinte universitaire. Le Fab lab fait partie des dispositifs se généralisant sur les campus. Mais au lieu d’installer un Fab Lab ex-nihilo qui impose des contraintes fortes en termes de moyens et compétences, pourquoi ne pas l’installer là où des professionnels s’interrogent depuis longtemps sur le lien entre savoirs, médiation et innovation ? C’est à dire au sein de la BU. Une première réponse avec un focus sur l’initiative La Fairronerie à la bibliothèque universitaire du Havre. La Bibliothèque universitaire du Havre est l’opérateur documentaire de l’établissement.

Oui et Oui ! « Fais-le toi-même ! » : découvrez la belle aventure des Makers. Rue89, en partenariat avec ARTE Creative, vous propose de découvrir « Fais-le toi-même ! », la websérie de Camille Bosqué et Adrien Pavillard. Ils se sont intéressés aux Makers, rois de la bidouille et de la débrouille. Ils sont artistes, performeurs ou passionnés de data. A travers le mouvement des Makers, ils imposent un rapport différent aux nouvelles technologies et développent des modes alternatifs de consommation et de production. Dans leurs fablabs, ils cherchent, testent, ratent, recommencent, partagent et prônent le sens du collectif. Selon Neil Gershenfeld, professeur au MIT et créateur du premier « fablab » en 2001, ces laboratoires de fabrication, en faisant des citoyens les producteurs de ce qu’ils consomment, vont révolutionner le système économique.

A vous de juger ! Chers riverains, si vous avez, vous aussi, rejoint les rangs des Makers, n’hésitez pas à poster le visuel de vos réalisations dans les commentaires. Infos pratiques « Fais-le toi-même ! « Fais-le toi-même ! » : découvrez la belle aventure des Makers.