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Economie collaborative

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Economie collaborative: une croissance 10 fois plus rapide que le PIB de l’Europe d’ici 2025. D'ici 2025, 570 milliards d'euros de transactions devraient être gérées par des plateformes collaboratives européennes (20 fois plus qu'à l'heure actuelle). L'économie collaborative a généré 3,6 milliards d'euros de revenus en Europe en 2015, ce chiffre devrait atteindre les 83 milliards d'euros dans 10 ans.

Le transport a généré 1,7 milliard d'euros de revenus en 2015, soit plus de la moitié des revenus du secteur. Avec près de 3,6 milliards d'euros de revenus générés en Europe en 2015, soit près du double comparé à 2014, les plateformes de l'économie collaborative n'en finissent pas de croître. D'ici 2025, ces dernières devraient voir leur chiffre d'affaires augmenter de 35% par an pour atteindre les 83 milliards d'euros selon l'étude «Assessing the size and presence of the collaborative economy in Europe» réalisée par PwC et publiée ce lundi 5 septembre. Les volumes de transaction multipliés par 20 Le transport, secteur le plus lucratif. Économie collaborative, économie en mouvement.

Il y a deux ans, en 2014, on ne parlait que d’elle dans les médias : l’économie collaborative, l’économie dite du partage... Elle allait révolutionner la société, changer le rapport aux gens, aux choses. Qu’est-elle devenue deux ans plus tard ? Comment a-t-elle évolué ? A-t-elle déjà bousculé notre société et comment ? Le point sur une économie en pleine mouvance. Ce n’est plus un effet de mode. Mais qu’entend-on réellement par économie collaborative ? À l’origine, l’économie dite collaborative est une économie de pair à pair qui repose sur le partage ou l’échange entre particuliers de biens (voiture, logement, parking, perceuse…), de services (covoiturage, bricolage…), de connaissances (cours d’informatique) avec échange monétaire (vente, location, prestation de service) ou sans (dons, troc, volontariat), par l’intermédiaire d’une plateforme numérique de mise en relation. Ce qui amène donc les spécialistes du secteur à redéfinir l’économie collaborative en d’autres termes.

Participative, connectée et optimiste : une start-up réinvente l’orientation professionnelle. Trouver son orientation professionnelle, c'est parfois très compliqué (Crédit : StartupStockPhotos/Pixabay). "Donner envie d’être heureux au travail" : voilà la mission que s'est donnée Bloom'r, lancée en septembre 2015. Sa solution ? Une plateforme participative, adressée aux lycéens comme aux personnes en reconversion professionnelle. Son approche est basée sur le partage d’expériences de professionnels qui aiment leur métier pour rendre l'orientation plus simple et plus efficace . Concrètement, Bloom'r met à disposition gratuitement plusieurs centaines de fiches réalisées par des personnes passionnées par leur métier, et qui en présentent les caractéristiques. Du luthier au responsable RH, en passant par l’orthophoniste et l’artisan maroquinier, la palette d’itinéraires est déjà vaste... et s'enrichie en continu de nouveaux témoignages.

Comme celui d'Antonio, designer, qui détaille son parcours, son quotidien et ce qu'il apprécie dans son travail : "Je m'éclate ! L’économie demain : entre ubérisation et économie collaborative. Marguerite Grandjean L’association “La liberté de l’esprit” invite pour une conférence-débat Marguerite Grandjean, directrice des études à Futuribles, puis au sein du collectif Ouishare, dédié à l’émergence de la société collaborative, notamment dans le domaine de l’économie sociale et solidaire. Expert en prospective à la Commission européenne. mercredi 5 octobre 2016 à 20h00 dans l’amphithéâtre de l’hôtel Mercure, 21bis avenue de la gare – Quimper L’économie vit une mutation sans précédent. Avec Marguerite Grandjean, nous chercherons à mieux comprendre les enjeux de ces nouvelles formes d’activité économique et d’emploi : Comment définir l’ubérisation et l’économie collaborative, sous leurs différentes déclinaisons ?

Entrée : 8 € / 6€ pour les adhérents / 3 € pour les étudiants et chômeurs Sur le même thème Assemblée générale de l'association "La liberté de l'esprit" 28 août 2016 Dans "Actu / Info" 29 octobre 2013 Dans "Le Mag & Co" Econo­mie En 2017, Paris aura sa propre monnaie ! - Vsd. Stras­bourg a son Stück, Cham­béry a l’Elef, Pau a le Tookets… Et bien­tôt, Paris pour­rait avoir sa Seine. On ne parle pas de fleuve ou de cours d’eau, mais bel et bien de monnaie locale.

Rendue légale en 2014 suite à la publi­ca­tion au Jour­nal offi­ciel d'un article de la loi Econo­mie Sociale et Soli­daire (ESS), la monnaie locale et complé­men­taire a le vent en poupe. Il en existe une tren­taine en France et d’autres projets sont en cours de réflexion. Toutes ces devises sont lancées dans un but précis : déve­lop­per l’éco­no­mie circu­laire. En pratique, les utili­sa­teurs n’ont qu’à échan­ger leurs euros contre leur monnaie locale, dans les banque parte­naires du dispo­si­tif ou les comp­toirs de change. La monnaie locale, lutte directe contre la mondia­li­sa­tion Derrière le projet d’une monnaie pari­sienne, on retrouve Lucas Rochette-Berlon.

Une réunion publique se tien­dra bien­tôt à Paris La mairie de Paris déboule aussi avec son projet Crédit photo : AFP. FUN - Comprendre l’économie collaborative. L’économie collaborative peut-elle faire bon ménage avec le droit ? L’économie collaborative, l’ubérisation, l’économie du partage, sont devenus des mots -symptômes d’un des plus grands bouleversements économiques de notre époque. Jadis, et il n’y a pas si longtemps, l’économie fonctionnait dans un cadre centralisé avec un État régulateur et des entreprises actrices de la création de richesses.

Aujourd’hui, les échanges sont de plus en plus opérés par une multitude d’individus indépendants mais coordonnés. En mettant en réseau toutes sortes de ressources, la plupart des modes de consommation sont bouleversés : voyage, habitat, services … Face à ces mutations profondes, quel rôle peut encore jouer le droit ?

Est-il toujours le reflet de nos choix de société ? Ces questions sont posées par trois jeunes avocats spécialistes du droit du partage, Loïc Jourdain, Michel Leclerc et Arthur Millerand dans leur dernier livre Économie collaborative et Droit (FYP Éditions). Face à l’émergence de l’économie collaborative, le droit a un rôle éminent à jouer. Economie collaborative: «Les politiques devraient soutenir des formes entrepreneuriales plus justes» Trois jeunes créent une plateforme de troc, leur « remède anti-crise »

Le contexte préoccupant – économique, écologique, politique – dans lequel nous vivons actuellement nous invite à repenser notre façon de consommer et d’entrer en relation avec les autres. Moins d’achats inutiles, de gaspillage, de déchets, de pollution, plus d’entraide, de solidarité, d’alternatives…les solutions abondent aujourd’hui. Le troc a toujours existé mais, dans le contexte actuel, il revient sur le devant de la scène comme un acte militant qui véhicule des valeurs fortes. C’est dans ce cadre que des projets tel que MyTroc a vu le jour. C’est dans cet esprit que MyTroc a été mis sur pied par trois jeunes amis vivant en France. Ce qui les a surtout conduit à concrétiser ce projet, c’est le fait qu’il puisse s’adresser à tout le monde !

Sur Mytroc, l’échange de bon procédé se fait à partir de noisettes… Pas des vraies, on vous rassure (quoi que, ça se troc aussi) ! Des projets ouverts et auto-gérés. 60 jours collaboratifs. Photo : copie écran Youtube Covoiturage, échanges d'appartements, paniers locavores… l'économie circulaire est chaque jour plus présente dans notre quotidien. Mais est-il possible en 2016 de vivre 100% collaboratif ?

Eugénie Ravon a relevé le défi pendant 2 mois : se loger, se nourrir, travailler, se déplacer… toute sa vie a été revue et corrigée pour correspondre à ces nouveaux modes de consommation. Cette expérience et des éclairages d'experts sont à retrouver dans le documentaire 60 JOURS COLLABORATIFS qui fait le point sur les enjeux sociétaux de cette nouvelle économie, ou plutôt de ces économies. Avec l'humour d'Eugénie en prime ; il en faut quand on doit faire 47km pour aller acheter son déjeuner. Ecrit par Isabelle Foucrier, Sylvain Pioutaz et Virginie Schwartz - Réalisé par Sylvain Pioutaz - Produit par EDEN Crédits : cette courte citation est relayée depuis un autre site à titre d'information.

Sur le même thème 1 juillet 2014 Dans "Économie / finance" 18 septembre 2015. La blockchain expliquée à un enfant de 5 ans. Pour mieux faire comprendre le fonctionnement et le potentiel de la technologie blockchain le Collectif Bam et Blockchain France ont utilisé la métaphore d’un scénario qui parle à tous : la corvée de vaisselle. Nous reproduisons ce texte avec leur aimable autorisation. Léo, Jules, Marie et Elsa sont 4 frères et soeurs vivant dans la même maison. Comme dans beaucoup d’autres familles, la corvée de vaisselle, imposée par les parents, est un sujet sensible et propice à de nombreuses discordes. Entre celui qui prétend avoir effectué sa corvée plus souvent, celle qui a oublié son tour, et le dernier qui affirme avoir plus travaillé il y a deux semaines, le cassetête est infini ; la confiance envers les uns et les autres disparaît peu à peu.

Ainsi le dilemme prend souvent fin avec l’intervention autoritaire des parents, qui ont le dernier mot. Pour résoudre ce problème, le père a une idée. Malheureusement ce principe fonctionne bien si l’honnêteté est de mise dans la maison. ESS, économie collaborative et communs : d’une audace à l’autre. Ouishare, 2016 Oushare, 2016 En 1844, un groupe de tisserands de Rochdale, à côté de Manchester, créent la 1ère coopérative de denrées alimentaires.

Trois ans plus tard, Frederick Raiffeisen, bourgmestre d’une petite ville de Weyerbusch en Allemagne, constatant la crise alimentaire dans laquelle se débattent ses concitoyens et leur impossibilité à accéder au crédit, crée la première boulangerie coopérative, puis mettra en place quelques années plus tard la première caisse de crédit mutualiste, où les prêts sont rendus possible grâce à une logique de solidarité entre les sociétaires. C’est ainsi que le milieu du 18ème siècle accouche en plein révolution industrielle de ce qu’on appellera en France l’économie sociale, puis l’économie sociale et solidaire (l’ESS). Une économie, qui regroupe les coopératives, les mutuelles, les associations et les fondations. En 2016, où en sommes-nous ? L’ESS est à la fois un succès et un échec. Mais aujourd’hui nous avons besoin d’audace.

Infographie : les français sont-ils entrés dans la société collaborative ? TNS Sofres a présenté le 31 mai les résultats d'un sondage sur l'économie collaborative et les Français. Résultat : une popularité croissante mais des pratiques inégalement répandues. Quels sont les usages concrets de la société collaborative, et qu’en attendent les Français ? C’est l’objet d’un récent sondage TNS Sofres organisé en partenariat avec Monabanq auprès de 1005 personnes.

Un champ d’étude très large, que les chercheurs ont divisé en cinq secteurs : la consommation collaborative, les circuits courts, le partage de savoirs, le financement participatif et la démocratie participative. Autant de domaines assez nouveaux mais qui passionnent néanmoins les sondés selon les résultats de l’enquête. 80 % d’entre eux se disent intéressés par les circuits courts, 76 % par le partage de savoirs, 75 % par la consommation collaborative, 62 % par la démocratie participative et 60 % par le crowdfunding. La démocratie participative délaissée Le partage avant l’intérêt financier. L'économie collaborative à l'âge de raison : histoire d'un succès. Du 18 au 21 mai, Paris accueillait la Ouishare Fest, le rassemblement de référence de l’économie collaborative en France. C’est l’occasion de revenir sur l’histoire de ce phénomène devenu incontournable dans le monde de l’économie. ‘Uberisation’, économie du partage ou encore économie sociale et solidaire, l’économie collaborative a développé de nombreuses facettes, pas toujours en phase les unes avec les autres, mais toutes en fort développement.

Retour en arrière. Depuis une dizaine d’année, époque à laquelle consoGlobe.com lançait des services d’échange, troc, don et entraide, l’économie collaborative fait parler d’elle, grâce à des sites ou des applications mobiles telles Uber, Airbnb ou encore Blablacar. L’expression s’est popularisée en 2010 grâce à l’ouvrage What’s mine is yours, the rise of collaborative consumption de Rachel Botsman et Roo Rogers. La sélection de consoGlobe Marc-Arthur Gauthey, co-fondateur de OuiShare Économie collaborative : a. Les territoires collaboratifs en question à Lille.

Comment les acteurs institutionnels des territoires peuvent-ils être des accélérateurs de l'économie collaborative ? Comment la réappropriation du pouvoir par le citoyen redessine-t-il la frontière entre public, privé et particuliers ? Comment la mutualisation de biens et de savoirs entre particuliers dynamise-t-elle un territoire ? Comment permet-elle d'habiter autrement sa vie, sa ville et le monde pour que les êtres humains sortent du travail contraint ?

Comment sortir d'un modèle hiérarchique qui réduit les capacités créatrices d'un territoire ? Il y avait plus de questions que de réponses au Sharing Lille organisé par Ouishare sur le thème de l'économie collaborative au service des territoires. Marc Arthur Gauthey, fondateur du collectif Ouishare, appelle à s'extraire de la polémique de l'ubérisation. « Nous avons créé Sharing Lille pour interroger l'impulsion que crée l'économie collaborative dans les territoires. Alors, pourquoi ne pas avoir tenu le Share Lille ailleurs ? Quand l'économie collaborative cherche à être au service des territoires. Un "territoire collaboratif", ça ressemblerait à quoi ? Numérique, énergie, industrie, agriculture, financement participatif, démocratie... en attendant l'expérimentation que le député Pascal Terrasse appelle de ses voeux, des pistes de réflexion et initiatives ont été mises en avant le 21 avril, à Lille, lors d'un événement organisé par l'association OuiShare.

Comment faire en sorte que l'économie collaborative soit "au service des territoires" ? Autour de cette question, l'association OuiShare a réuni le 21 avril 2016 à Lille des entrepreneurs, des responsables associatifs, des fonctionnaires et des élus. Parmi eux, le député Pascal Terrasse (PS, Ardèche), auteur du rapport sur l'économie collaborative de février 2016 (voir nos articles du 10 février et du 8 mars). Smart cities : éviter la "myopie technologique" Une ville collaborative est-elle avant tout "intelligente" ?

Transition énergétique : des outils pour une impulsion citoyenne. Le Barter à Brest – ADESS29. Présentation par Emmanuel Gazin, de la Recyclerie « Un peu d’R ». Dans le cadre de son assemblée générale, l’ADESS pays de Brest a fait intervenir la recyclerie Un peu d’R afin de présenter un nouveau système d’échange innovant qui se met en place … Retrouvez ci-dessous l’intégralité de son témoignage ! Historique Très souvent nous étions sollicités, notamment par des associations, sur de l’équipement, du petit aménagement… Et rapidement est arrivée la question de notre modèle économique. Bien entendu, l’échange, le coup de main fait parti de notre modèle, de nos valeurs mais nous devions aussi nous interroger sur quel était notre projet, notre fonction. Nous avons donc décidé de réfléchir à une manière de formaliser ces échanges, de les rendre visibles sans pour autant mettre en difficulté les trésoreries de ces structures. Naturellement nous nous sommes intéressés au Barter.

Actuellement Nous avons rapidement décidé de voir chaque structure individuellement. Contre-parties reçues : Theconversation. Les plateformes équitables : pour faire émerger une économie collaborative, sociale, solidaire et soutenable. Economie collaborative et contrat de travail : quoi de neuf sous le soleil ? Le « Social good lab », un incubateur parisien pour start-up solidaires - La Croix. Le Solilab, épicentre de l’économie sociale et solidaire à Nantes - La Croix. Homo Cooperans 2.0 ou comment passer de l'économie collaborative à l'économie coopérative. Infographie : économie collaborative rime aussi avec arnaque pour 64% des Français. Défense et illustration de l’économie collaborative. « L’économie collaborative accroît les inégalités patrimoniales » Cultiver l’économie collaborative dans les territoires | nova7 | études conseil | prospective marketing design | Lyon.