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Pensées

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Vanité - Pensées de Blaise Pascal. Fragment Vanité n° 23 / 38 – Papier original : RO 23-1 Copies manuscrites du XVIIe s. : C1 : Vanité n° 43 p. 91 / C2 : p. 22 et 23 Éditions savantes : Faugère II, 41, IX / Havet VI. 59 bis / Brunschvicg 164 / Tourneur p. 172-1 / Le Guern 33 / Maeda I p. 170 / Lafuma 36 / Sellier 70 La vanité de l’homme est présentée ici comme le fait de jeunes gens du monde qui ne sont pas capables d’apercevoir leur propre vanité.

Vanité - Pensées de Blaise Pascal

Pascal esquisse le rapport entre cette vanité et les idées de la misère et du divertissement. Analyse détaillée... Fragments connexes. Misère - Pensées de Blaise Pascal. La liasse MISÈRE Le titre Misère est le troisième de la Table des matières.

Misère - Pensées de Blaise Pascal

Concept de misère Mesnard Jean, Les Pensées de Pascal, 1993, p. 188 sq. La notion de misère peut avoir des substituts, comme bassesse, faiblesse, petitesse. Le concept de misère a une signification plus étendue que celui de vanité : p. 189 sq. et p. 195. Le concept de misère repose donc sur l’idée de disproportion. Dans l’idée de misère, il y a toujours celle de conscience, qui n’était pas présente dans l’idée de vanité : il n’y a que l’homme de misérable, non les arbres, ni les animaux. Pour approfondir... Composition de la liasse Misère La liasse Misère est composée de 24 fragments écrits pour la plupart sur des bandes de papiers de 10 à 20 cm de large et 3 ou 4 cm de haut.

Seul le fragment Misère 18 porte le titre « Misère ». La plupart des papiers sont de la main de Pascal sauf Misère 10, 15, 16 (main d’un copiste), et 5 (par un secrétaire, peut-être pris à l’essai, qui a commis de graves fautes d’orthographe). Divertissement - Pensées de Blaise Pascal. Fragment Divertissement n° 4 / 7 – Papier original : RO 139, 210, 209, 217-2 et 133 Copies manuscrites du XVIIe s. : C1 : Divertissement n° 186 p. 53 à 57 v° / C2 : p. 76 à 81 Éditions de Port-Royal : Chap.

Divertissement - Pensées de Blaise Pascal

XXVI - Misère de l’homme : 1669 et janv. 1670 p. 203-217 / 1678 n° 1 à 3 p. 198-211 Éditions savantes : Faugère II, 31, II / Havet IV.2 / Michaut 335 / Brunschvicg 139 / Tourneur p. 205-3 / Le Guern 126 / Lafuma 136 / Sellier 168 Avertissement : nous conservons les textes barrés verticalement par Pascal. Ce grand fragment plus étendu que les autres, présente la théorie d’ensemble du divertissement, construite selon une méthode argumentative qui relève du modèle de la raison des effets. » Le divertissement. Pascal. Se divertir c'est aujourd'hui s'amuser, se distraire.

» Le divertissement. Pascal.

Avant le 17° siècle, le mot, conformément à son étymologie latine (divertere) signifiait : « action de détourner de », par exemple détourner un bien dans un inventaire. Pascal construit sur l'étymologie une catégorie morale. Le divertissement est une pratique d'esquive, typique de l'existence humaine. Il s'agit de ne plus penser à quelque chose qui nous afflige, de nous détourner d'une réalité déplaisante. Cette réalité déplaisante n'est pas un mal circonstanciel, par exemple un deuil, un échec sentimental ou professionnel. . « Les hommes n'ayant pu guérir la mort, la misère, l'ignorance, ils se sont avisés pour se rendre heureux de n'y point penser » B. 168.

L'homme ne peut être heureux ni en repos ni dans l'agitation qui fait l'ordinaire de sa vie. PB : Pourquoi ne peut-il pas être heureux dans la solitude et l'inaction ? PB : Alors quelle est la fonction du désir dans l'économie de l'existence humaine ? Les formes de la pensée. Distraction sociale. Pensées (1670) de Blaise Pascal. Effrayant génie " Il y avait un homme qui, à douze ans, avec des barres et des ronds, avait créé les mathématiques ; qui, à seize, avait fait le plus savant traité des coniques qu'on eût vu depuis l'antiquité ; qui, à dix-neuf, réduisit en machine une science qui existe tout entière dans l'entendement ; qui à vingt-trois, démontra les phénomènes de la pesanteur de l'air, et détruisit une des grandes...

Pensées (1670) de Blaise Pascal

Lire la critique de Pensées Les Pensées... 10/10, 10 10 10 et re-10. J'ai étudié cette oeuvre en terminale Littéraire, je crois bien avoir été une des seules à le lire, et surtout la seule personne sur 40 à avoir aimé. Petite pensée pour un grand Pascal Soyons francs, je n'ai découvert cette merveille qu'en Terminale et à la première lecture je n'ai (pratiquement) rien compris. Critique de Pensées par Gwen21 Pascal fut d'abord pour moi un sujet de fascination quand j'appris qu'à 19 ans, au milieu du XVIIème siècle, il avait inventé la "pascaline", l'ancêtre de la calculatrice.

Effrayant génie.