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Diététique de l'effort

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Sportifs, iodez vos fêtes de fin d’année ! Huîtres au menu ! De l’achat à l’assiette On distingue deux grandes familles d’huîtres: les plates et les creuses dont le choix peut s’orienter selon : - le taux de remplissage de la coquille.

Sportifs, iodez vos fêtes de fin d’année ! Huîtres au menu !

L’indice de chair se calcule par le ratio poids égoutté de la chair/poids total de l’huitre, le tout multiplié par 100. Les « fines » seront moins charnues (taux de chair supérieur à 6,5) que les « spéciales » bien en chair (taux de chair supérieur à 10,5). - Le calibre de l’huitre. . - Le lieu d’affinage. Mais les étiquettes ne disent pas tout, il y a l’océan. Il y a les huîtres naturelles diploïdes nées et élevées en mer et qui la laissent « décider de tout » avec les saisons, la dispersion des larves, le brassage des vents, la rencontre des courants du large, le calendrier des marées, la typicité des terroirs,…. Les huitres certifiées « bio » peuvent être nées en mer ou provenir d’écloseries. Glucides, performance et masse grasse : comment gagner sur tous les tableaux ?

L’Indice de Masse Corporelle (IMC) est souvent évoqué pour estimer la condition physique d’une personne.

Glucides, performance et masse grasse : comment gagner sur tous les tableaux ?

Pourtant, son calcul [poids/taille au carré. Ex : 60kg / (1.70*1.70) = 20.8] montre que l’IMC ne permet pas de distinguer la masse musculaire de la masse graisseuse, ce qui est problématique pour un sportif car ces 2 éléments ne possèdent pas du tout les mêmes fonctions : l’une met le corps en mouvement et est associée à la performance, l’autre le nourrit mais est associée à la contre-performance. Gras ou sucre, quelle est la source d’énergie la plus intéressante à l’effort. Intensité ou endurance, question d’allure Etre performant en sport, quelque soit la discipline pratiquée, repose sur la nécessité de stocker de l’énergie en amont.

Gras ou sucre, quelle est la source d’énergie la plus intéressante à l’effort

Nous avons deux sources privilégiées de carburant énergétique lorsque nous faisons de l’exercice : les glucides et les lipides. Autrement dit, les sucres et le gras. Plus l’exercice se veut lent et long, plus les réserves de gras corporel sont mobilisées et utilisées. A une vitesse modérée, ce sont les triglycérides intramusculaires (localisés dans les muscles) en majorité qui vont être le plus utilisés. Court ou long, gras ou sucre… faut du fuel ! En sport d’endurance et particulièrement en course à pied, traditionnellement en veille de course, on a recours à la pasta party qui correspond plus à se rassurer quant à la formation du glycogène qui se fait en réalité les jours précédents. Les nouveaux courants en diététique du sport font état de préparation nutritionnelle basée sur du gras.

Oléagineux et graines. Faut-il manger des graisses pendant un exercice physique? Antioxydants : doit-on vraiment augmenter ses apports à l’entraînement ? → Rien ne prouve que l’entraînement physique nécessite une supplémentation en antioxydants supérieure aux apports d’une alimentation équilibrée.

Antioxydants : doit-on vraiment augmenter ses apports à l’entraînement ?

Les antioxydants sont devenus l’apanage de produits de santé aussi bien nutritionnels que cosmétiques. En sport, ils sont utilisés dans le but de limiter la dégradation (« oxydation ») de fibres musculaires et de cellules (telles que les protéines et les lipides) par des molécules fortement sensibles à la présence d’oxygène qui sont susceptibles de les endommager (ex : les radicaux libres). Or, qui dit oxydation dit recherche d’ « anti »-oxydants. La démarche de l’utilisateur est donc naturelle puisqu’elle vise l’auto-protection. Cependant, un problème fondamental fragilise cette logique : le caractère hyper-réactifs des radicaux les rendant difficiles à mesurer, nous n’utilisons actuellement que des marqueurs indirects pour cela.

Radicaux libres de l’oxygène : Docteur Jekyll ou Mister Hyde ? Radicaux libres : Docteur Jekyll et Mister Hyde Bien sûr, les radicaux libres produits temporairement lors d’exercices physiques sont fort respectables et fort utiles pour permettre le fonctionnement des contractions musculaires.

Radicaux libres de l’oxygène : Docteur Jekyll ou Mister Hyde ?

La production de radicaux libres est indispensable à la fonction contractile des muscles. Toutefois, la présence continuelle et excessive de RLO n’est pas souhaitable puisqu’ils ont plusieurs effets secondaires néfastes. Au-delà d’un certain seuil, les RLO très réactifs deviennent agressifs, potentiellement toxiques et créent un stress oxydant.

Alimentation et performance

Ration de récupération. Endurance et régimes nutritionnels. Masse corporelle. Sport à jeun. Point de côté. Troubles digestifs à l’effort. Exercise Dietetics. Diététique. Ultra-trail. Myolyse. Books.

Spécialistes

Se couvrir pour maigrir. C’est vrai, culturellement on a vu les vidéos de Rocky en pull-over pour préparer ses combats ; on entend même parler de tout un tas de sportifs se couvrant de façon exagérée lors des entraînements préalables à la compétition.

Se couvrir pour maigrir

C’est donc bien qu’il y a une raison… Effectivement. Si je me couvre, j’installe sur moi une barrière à l’évaporation de ma sueur, ce qui a pour effet de freiner mon refroidissement (manque d’évaporation), donc de me faire monter en température.