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Dépendance à l’activité physique

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Quand se muscler devient une drogue - Focus sur la dysmorphie musculaire ou anorexie inversée. En 1993, Pope et son équipe introduisent la notion de « reverse anorexia », prémices de la dysmorphie musculaire.

Quand se muscler devient une drogue - Focus sur la dysmorphie musculaire ou anorexie inversée

Ce concept désigne alors un trouble du comportement alimentaire spécifique à la population de bodybuilders dont le but est d’obtenir une masse musculaire toujours plus développée et un corps sec, par le biais d’une diète stricte, de compléments alimentaires, de produits anabolisants et d’entrainements rigoureux. En 1997, ce concept est renommé « dysmorphie musculaire » au vu de sa proximité nosographique et symptomatologique avec les dysmorphophobies corporelles. Préoccupation excessive sur le fait de ne pas avoir un corps assez musclé et dessiné ;retentissement sur la vie émotionnelle et sociale ;existence d’un lien évident entre les manifestations symptomatiques et cette obsession idéative concernant le fait de ne pas être assez musclé. 40 articles ont été analysés à travers une base de données qui s’étale de 1993 à 2017.

Bigorexie: suis-je vraiment addict au sport? Faites le test! - DLTDC. Addiction et bigorexie. Addict : quand cerveau rime avec bourreau. En psychologie cognitive, pour analyser le comportement d’un individu, on a l’habitude de se référer au fonctionnement de 2 « systèmes » de neurones aux caractéristiques propres : - un système impulsif, qui engage plutôt nos régions cérébrales primaires.

Addict : quand cerveau rime avec bourreau

Ce système est très rapide à s’activer, on le dit « automatique ». C’est à lui que l’on doit nos réflexes, nos clignements d’yeux soudains, nos pulsions premières (amour VS rejet)… Dans ce système s‘inscrit notamment un mécanisme que l’on connait bien : le « circuit de la récompense », ce fameux chemin de neurones où circule la dopamine ; - un système réflexif, davantage basé sur les zones évoluées de notre cerveau, capable pour sa part de contrôler plus rigoureusement notre comportement.

De lui dépend notamment l’opérationnalisation concrète de nos valeurs, notre raisonnement logique, nos choix à moyen-terme. Des individus « addicts » se caractérisent par : - une tolérance extrême à leur activité, Voici les résultats : Quand objectif et ambition deviennent votre ennemi. Souviens toi, pourquoi tu cours ?

Quand objectif et ambition deviennent votre ennemi

Actuellement en pleine préparation pour le marathon de Valence (1er décembre), je me suis noyé samedi 26 octobre lors du semi-marathon de Bordeaux. La cause ? Un trop plein d’implication qui, à l’instar du funambule, m’a entraîné dans la chute libre des (mauvaises) raisons pour lesquelles je cours. Tu franchis la ligne du bouillonnant semi-marathon de Bordeaux, samedi 26 octobre, en 1h12’ et quelques. Ce n’est même pas ton allure marathon. Presque simultanément, ton œil pivote sur la gauche et tu aperçois ce podium auquel tu aspirais. Tu as allumé l’allumette, l’étincelle a pris mais tu as tout fait sauter. Voilà un mois et demi, début septembre, tu finissais deuxième du marathon du Médoc. Tu reprends donc l’entraînement fin septembre, après une dizaine de jours de coupure suite au Médoc. Une tendinite, anodine, te coupe dans ton élan. Coureur pyromane Ton pied vient de riper sur le fil qui traverse les rives de la performance. Ton esprit, c’est ton pied.

Quels sont les sports les plus à risque d’addiction à l’exercice physique ? Réponses dans une revue de littérature parue dans Addictive Behaviors. Une grande quantité de données scientifiques met en évidence les bénéfices physiques, physiologiques et psychologiques d’un exercice physique régulier.

Quels sont les sports les plus à risque d’addiction à l’exercice physique ? Réponses dans une revue de littérature parue dans Addictive Behaviors

L’activité physique régulière a des vertus apaisantes et régulatrices de l’humeur et elle améliore le bien-être physique et psychique. Néanmoins, un exercice physique excessif peut conduire à un comportement compulsif voire une réelle addiction avec des conséquences physiques et psycho-sociales parfois sévères. Les mêmes critères diagnostiques des addictions comportementales du DSM ont été proposés pour caractériser l’addiction à l’exercice physique.

Les deux échelles d’évaluation de référence sont l’Exercise Dependance Scale (EDS) et l’Exercise Addiction Inventory (EAI). Elles ont été validées dans de nombreuses langues, y compris en français. Au total, 48 études observationnelles ont été collectées (20 utilisant l’EAI, 26 utilisant l’EDS et 2 les deux échelles). Bigorexie : l'étrange maladie des bodybuilders. Êtes-vous bigorexqiue ?

Bigorexie : l'étrange maladie des bodybuilders

Critères selon le chercheur britannique, Dr. Smith du département de sport et d'exercice physique à l'Université de Chester.Critères de dépendance au body-building (D. Smith, 1998)1. Je m'entraîne même quand je suis malade ou grippé.2. Il m'est arrivé de continuer l'entraînement malgré une blessure.3. Quels sont les risques de la bigorexie et comment s'en sortir ?

→ La santé physique Le risque de blessure lié à la pratique excessive est très important : déchirure musculaire, tendinite, fracture… La dépense énergétique liée, peut entraîner des troubles du comportement alimentaire : le besoin de manger est augmenté physiologiquement, ce qui est normal, mais la pratique sportive intense étant souvent liée à une volonté du contrôle de l’apparence physique, les besoins caloriques peuvent être sous estimés et conduire à des compulsions en cas de manque d’apport calorique et de restriction trop importante.

Quels sont les risques de la bigorexie et comment s'en sortir ?

Une alimentation inadaptée, comme c’est souvent le cas peut entraîner une hypokaliémie (manque de phosphore), une hyponatrémie (manque de sodium), une déshydratation. L’ensemble dans les cas les plus extrêmes peuvent entraîner la mort. La recherche d’augmenter la dose de sport pratiquée peut pousser à la consommation de produits dopants pour améliorer toujours et encore les performances. →La santé psychique → Prendre conscience de ses actes. Les dépendances sportives. Si la pratique du sport est encouragée et valorisée par notre société, il apparaît que lorsqu'il est pratiqué de manière excessive il peut s'apparenter à une addiction.

Les dépendances sportives

La définition Selon Hausenblas et Downs, la dépendance à l'activité physique ou la dépendance au sport (addiction au sport) se définit comme : « un besoin de pratiquer une activité physique qui se traduit par un comportement de pratique excessive, incontrôlée, se manifestant par des symptômes physiques et psychologiques ». La dépendance à l'activité physique a donné lieu à de nombreux concepts : Addiction à l'exercice musculaireAddiction à la course à piedDépendance à l'exerciceDépendance au body buildingAddiction au gesteBigorexie. Quand parle-t-on de dépendance à l'activité physique ? L'addiction au sport s'installe progressivement lorsque l'individu n'est plus dans l'envie, mais lorsqu'il ressent un besoin compulsif irrépressible de pratiquer son sport.

Lorsque cette hyperactivité cesse, le sportif est en manque. Addiction au sport, c'est grave docteur ? Heather A.

Addiction au sport, c'est grave docteur ?

Hausenblas et Danielle Symons Downs, chercheurs en sciences du sport à l'Université de Floride ont défini en 2002 la dépendance à l'activité physique comme étant « un besoin de pratiquer une activité physique qui se traduirait par un comportement de pratique excessive, incontrôlée, se manifestant par des symptômes physiques et psychologiques ». Mais les conséquences peuvent-elles être si néfastes? Réponse avec le Docteur Christophe Delong. À quel moment peut-on parler de l'addiction au sport ? La dépendance apparaît chez les amateurs car ce sont souvent eux qui ne trouvent pas de satisfaction dans leurs performances En fait cela est très variable : il y a celui qui est professionnel et qui travaille 16 heures par semaine, cela n'a pas de retentissement sur sa vie personnelle, il s'agit de son métier donc il n'y a rien d'addictif ou du moins pas à un niveau pathologique.

Y a-t-il une différence avec la bigorexie ? Quels sont les premiers symptômes de cette maladie? Accro au sport, moi? La bigorexie, ou la dépendance au sport. Le sport à la vie, à la mort. Réseau d'enquêtes. Le sport est-il si bon ? Point de vue addictologique. Mis en ligne le Mis à jour le 19/10/2017 Auteurs : M.

Le sport est-il si bon ? Point de vue addictologique

Fron, S. Prétagut, F. Martinez Références 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. Sport et santé.

Myolyse

Anorexie et sport. Trouble obsessionnel compulsif (TOC) Les pathologies du coureur. Sports d'endurance. Musculation. Dépendances physiques. Corps et âme. Recherche de prise de masse musculaire et dysmorphie musculaire chez les bodybuilders : une revue de la littérature anglophone » Podcasts. Santé mentale.