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Féminisme

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Bikini Kill – Unapologetically Feminist. Punk rock used to be a boys only zone.

Bikini Kill – Unapologetically Feminist

Concerts were dominated by aggressive dudes and violence was the norm. All that changed when Bikini Kill came onto the scene. Composed of guitarist Billy Karren, Bassist Kathi Wilcox, Drummer Tobi Vail, and lead singer Kathleen Hanna, Bikini Kill was unique because they were more than a just kick-ass band, they were also a subversive political force. Bikini Kill’s lyrics, zines, and performances were unapologetically feminist. At the beginning of each show, Hanna would shout “girls to the front!” Hanna changed the game for female singers because she was everything a good girl wasn’t; she was loud, confrontational, and sexual. Où sont les femmes ? Genre et musiques électroniques. Retard Magazine publiait la semaine dernière une analyse brillante et étoffée sur l’absence de femmes dans la musique électronique.

Où sont les femmes ? Genre et musiques électroniques

Un long billet qui pointe le problème du sexisme intériorisé et le poids du genre dans ce milieu encore considéré comme masculin “par nature”. Le jeudi 21 janvier, dans le cadre de sa carte blanche à la Gaité Lyrique pour le Paris Musique Club, Barbi(e)turix abordera également le sujet lors de sa conférence autour de l’exposition On & off stage, ces femmes qui font bouger l’industrie nocturne et musicale en conviant organisatrices de soirées, programmatrices, manager d’artistes et techniciennes du spectacle. Article initialement publié sur Retard Magazine Autant de post-ados que de cranes dégarnis, une variété de mecs, jeunes, vieux, en chemise, en short. Voilà ce qu’on pouvait voir du public d’un concert de math-rock à Paris, au milieu du mois d’août.

Pour situer mon propos, la majeure partie des musiques que j’écoute sont électroniques. Manon Torres. Le sexisme expliqué à ceux qui n'y croient pas - Une heure de peine... .

Le sexisme expliqué à ceux qui n'y croient pas - Une heure de peine...

Il y a des gens qui, simplement, refusent d'y croire : ça n'existerait pas, et puis c'est naturel, et de toutes façons, c'est la même chose pour les hommes. Freud racontait une histoire rigolote qui sonnait un peu comme ça, à propos d'un chaudron percé, mais passons : je ne suis pas là pour faire la psychanalyse du déni. Je vais plutôt essayer d'expliquer pourquoi le dernier argument, selon lequel les hommes aussi seraient discriminés, ne marche pas. Et pour cela, je vais me baser, one more time, sur la sexualisation dans les jeux vidéo. L'exemple de la sexualisation dans les jeux vidéo est intéressant parce qu'il a fait l'objet de réactions très claires dans le sens du "c'est pareil pour les hommes" : vous pouvez vous reporter aux commentaires des deux articles que Mar_lard a consacré à ce thème pour avoir quelques illustrations, ainsi qu'à ceux de mon dernier billet sur le thème.

Il en va de même pour Ken. Ce n'est pas faux. Mais ce n'est pas tout. Feminist Frequency. La pilule du féminisme – Entrez dans la matrice. J’ai avalé la pilule du féminisme.

La pilule du féminisme – Entrez dans la matrice

Cette expression, on l’entend souvent de la part des féministes, ou – si vous préférez – dans la bouche de celles et ceux qui se sont rendus compte. Une métaphore bien trouvée et dans laquelle on peut lire une référence à la pilule contraceptive, cette pastille journalière pour laquelle les féministes se sont battu·e·s et ont vaincu. Mais pas seulement. Entrez dans la matrice. Le webcomic Sinfest du nippo-américain Tastuya Ishida illustre parfaitement ce processus dans sa série The Sisterhood (qui commence ici). La Sororité. La pilule rouge… – Pop. Mon Dieu. Et le sexisme, soudain, est partout. Dans la bouche du présentateur d’une éternelle émission matinale quand, à l’annonce d’une chronique sur un triolet de nouveaux talents féminins, demande immédiatement si elles sont jolies – ce sont des artistes, c’est leur voix et leur talent qui nous intéresse. Partout, en permanence. J’ai avalé la pilule du féminisme. . « Let me tell you why you’re here. J'aime :