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Accord du GATT

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Sir Leon Brittan

Leon Brittan, ou l'AMI qui vous veut du bien. Figure emblématique de la Commission des années 90, Leon Brittan a indéniablement marqué la décennie de son empreinte libre-échangiste [1].

Leon Brittan, ou l'AMI qui vous veut du bien

Préféré à Arthur Cockfield par Thatcher, il est nommé en 1990 au poste stratégique de commissaire à la concurrence. Brittan est un ami et soutien de longue date de Margaret Thatcher. Nommé secrétaire à l’intérieur en 1983 puis à l’industrie en 1985, il rendra sa démission suite à l’affaire Westland : le jeune ministre était accusé d’avoir fait pression pour que le fabricant d’hélicoptère anglais Westland, lourdement endetté, soit racheté par une firme américaine plutôt que par un consortium européen [2].

Brittan éprouve une fascination pour les Etats-Unis, et le libéralisme à l’américaine promu par le président Reagan. A ce titre, l’affaire Westland n’est pas du tout anecdotique. Et s’il le faut, Brittan va jusqu’à la confrontation avec les représentants des Etats membres. L’œuvre de Brittan sera particulièrement appréciée des connaisseurs. Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce

General Agreement on Tariffs and Trade Logo du GATT. Le General Agreement on Tariffs and Trade (GATT, en français : Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce, AGETAC) fut signé le par 23 pays, pour harmoniser les politiques douanières des parties signataires. Le traité entra en vigueur en janvier 1948 et le secrétariat s'installa à la Villa Bocage, à Genève, et en 1977 au Centre William Rappard, également à Genève. Cet accord multilatéral de libre-échange était destiné à faire baisser les prix pour les consommateurs, mieux utiliser les facteurs de production et favoriser l'emploi dans les secteurs où chaque pays détient un avantage comparatif.

L'un des derniers cycles de négociations (l'Uruguay Round, de 1986 à 1994), clos par l'accord de Marrakech, aboutit à la création de l'Organisation mondiale du commerce. Cycle d'Uruguay. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Cycle d'Uruguay

Le cycle d'Uruguay, plus connu sous le terme d'Uruguay Round, est le dernier et le plus important des cycles de négociations internationales ayant eu lieu dans le cadre de l'Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (AGETAC), entre 1986 et 1994. Le cycle d'Uruguay a abouti aux accords de Marrakech (), et a finalement donné naissance à l'Organisation mondiale du commerce (1995). Défendre la diversité culturelle: LE CYCLE D’URUGUAY ( Uruguay Round ) 1986-1994. Origine du cycle d’Uruguay : le GATT Le cycle d’Uruguay s’inscrit dans la continuité de l'Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT).

Défendre la diversité culturelle: LE CYCLE D’URUGUAY ( Uruguay Round ) 1986-1994

Cet Accord, adopté en 1948, visait à établir les règles du système commercial mondial. Peu de temps après son élaboration, il a donné naissance à une organisation internationale officieuse, existant de fait et aussi dénommée officieusement GATT, qui a évolué au fil des ans à travers plusieurs cycles de négociation. Qu’est-ce que le cycle d’Uruguay ? Organisation mondiale du commerce. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Organisation mondiale du commerce

Depuis 2001, le cycle de négociation mené par l'OMC est le Cycle de Doha[3]. Bien que l'OMC ne soit pas une agence spécialisée de l'ONU, elle entretient des liens avec cette dernière[4]. Le siège de l'OMC est au Centre William Rappard, à Genève. Le 26 mai 2005, le Français Pascal Lamy obtient le poste de directeur général de l'organisation, succédant ainsi au Thaïlandais Supachai Panitchpakdi. Son mandat a été reconduit en avril 2009 pour quatre années. Histoire[modifier | modifier le code] L'OMC est née le 1er janvier 1995[5], mais le système commercial qu'elle représente a presque un demi-siècle de plus. Le sommet de Cancún de 2003 a été marqué par une alliance entre certains pays du tiers-monde contre les projets de libéralisation des services qui étaient sur la table des négociations. Omc ,qui controle le commerce mondial.