background preloader

Soin

Facebook Twitter

Fin des quotas pour l’apprentissage dans les métiers du soin. © Pexels Le nombre de places d’apprentissage dans les métiers du soin ne sera plus contingenté par les agences régionales de santé et les Régions, a annoncé le Premier ministre Jean Castex.

Fin des quotas pour l’apprentissage dans les métiers du soin

Une très bonne nouvelle pour les secteurs sanitaire et médicosocial. Bonne nouvelle pour les jeunes comme pour les employeurs, le nombre de places d’apprentissage dans les métiers d’infirmier et d’aide-soignant va pouvoir augmenter. Jusqu’ici, pour les formations sanitaires, le nombre de places était fixé par les agences régionales de santé (ARS) et les Régions. Un quota non corrélé aux besoins du secteur. « Ce verrou va sauter », a annoncé Jean Castex, le 14 septembre, lors de sa visite sur un Salon de l’apprentissage Porte de la Villette. Un décret devrait être publié prochainement pour préciser ce changement. Des milliers d’emplois Problème d’attractivité Adapter la formation Mariette Kammerer (Centre inffo pour Défi métiers) Diplôme d'Etat de pédicure-podologue. Pédicure-podologue. Professionnel de santé, le pédicure-podologue traite les affections du pied et des ongles, tout en tenant compte de la posture des patients, debout et en marchant.

pédicure-podologue

Ses interventions sont nombreuses et variées : traitement des cors, durillons, ongles incarnés, verrues plantaires, chevauchement des orteils, voûte plantaire affaissée... Le pédicure-podologue prend aussi en charge certaines pathologies du pied (diabète, problèmes de circulation sanguine, malformations...). En podologie, il conçoit et fabrique lui-même des semelles orthopédiques et des orthèses plantaires destinées à corriger un pied plat, un pied bot ou « en dedans »... ou à compenser un défaut statique (dissymétrie, problème de genou ou mal de dos). Des connaissances en anatomie et en biomécanique sont indispensables. Le pédicure-podologue dépiste parfois une fracture, une artérite ou des troubles circulatoires.

Puériculteur / puéricultrice. Patient, attentif, disponible et ayant le sens des responsabilités, le puériculteur doit comprendre et aimer les enfants.

puériculteur / puéricultrice

Néanmoins, ces qualités ne suffisent pas à faire de lui une bon professionnel. Spécialisation du métier d'infirmier ou de sage-femme, la puériculture comporte des aspects très techniques. En maternité, le puériculteur travaille en étroite collaboration avec la femme ou l'homme sage-femme. Infirmier humanitaire - infirmière humanitaire. L'infirmier humanitaire a plusieurs cordes à son arc mais, avant toute chose, il doit posséder une résistance à toute épreuve.

infirmier humanitaire - infirmière humanitaire

Pays, types d'intervention... aucune mission ne ressemble à une autre. Qu'il exerce dans un camp de réfugiés, un centre de nutrition ou un hôpital local, l'infirmier humanitaire doit faire preuve d'une grande adaptabilité. D'autant qu'il travaille dans des situations compliquées : guerre, famine ou catastrophe naturelle. Organisé, il sait planifier une campagne de vaccinations ou gérer un stock de médicaments. Infirmier / infirmière. Intervenant sur prescription médicale, l'infirmier contribue à la mise en oeuvre des traitements en participant à la surveillance des malades.

infirmier / infirmière

Il évalue leur état de santé, analyse les soins qui leur sont les plus adaptés et peut donner des soins en toute autonomie et responsabilité (aide à la vie quotidienne, programme thérapeutique...). Distribution de médicaments, piqûres, pose de perfusions, prises de sang, pansements : autant de tâches à haute technicité qui engagent la responsabilité de l'infirmier. Sa présence au chevet du patient lui permet de surveiller l'état de santé, mais aussi le moral de ce dernier.

Il suit de près les effets du traitement et l'évolution de la maladie. Des renseignements indispensables qui sont consignés dans le cahier de soins. Aide-soignant / aide-soignante. Contrairement à ce que laisse entendre son nom, l'aide-soignant n'est pas le bras droit du médecin.

aide-soignant / aide-soignante

C'est sous la responsabilité et le contrôle de l'infirmier qu'il assure les soins d'hygiène et de confort. Il peut prendre le pouls et la température, vérifier l'état des pansements et des drains, et veiller à ce que les patients prennent leurs médicaments. Au besoin, il aide à la toilette, à l'habillage ou au repas. Diplôme d'Etat d'aide-soignant. Laissant une large place à la pratique, la formation conduisant au Diplôme d'Etat d'aide-soignant forme de futurs professionnels, capables d'assurer des activités soin, et de prévention et d'éducation à la santéPlacé sous la responsabilité de l'infirmier, l'aide-soignant s'occupe de l'hygiène et veille au confort physique et moral des malades.

Diplôme d'Etat d'aide-soignant

Au quotidien, il aide les patients à effectuer leur toilette et à s'habiller. Il accompagne également dans leurs déplacements les personnes privées d'autonomie. Il les aide à s'asseoir, à se nourrir, à sortir de leur lit. Aides-soignants : de moins en moins de candidats à l’entrée en formation et une baisse du nombre d’inscrits. En 2018, 26 200 élèves sont inscrits dans l’un des 484 établissements dispensant une formation d’aide-soignant.

Aides-soignants : de moins en moins de candidats à l’entrée en formation et une baisse du nombre d’inscrits

Le nombre de diplômés de cette formation est quasi-stable et s’élève à 22 800 en 2018. En revanche, le nombre d’inscrits en formation baisse pour la deuxième année consécutive (-6 % entre 2016 et 2018), tout comme celui des candidats au concours d’entrée qui diminue fortement depuis 2014 (- 42 %). En 2017, l’âge moyen d’entrée en formation est de 28 ans et 7 mois. Les étudiants qui commencent une formation d’aide-soignant sont en moyenne plus âgés que ceux intégrant une autre formation de la santé (25 ans et 5 mois pour l’ensemble), notamment parce qu’ils sont moins nombreux à sortir de formation initiale (26 % contre 65 % dans l’ensemble des formations de santé).

Devenir infirmier de pratique avancée. Suivant Il y a presque un an que sont parus les décrets et arrêtés encadrant l’exercice en pratique avancée pour les infirmiers.

Devenir infirmier de pratique avancée

Alors qu’environ 300 étudiants ont déjà intégré les premières promotions, l’heure est venue de déposer son inscription pour la "cuvée" 2019-2021. Voilà ce qu’il faut savoir ! Prévue par la loi de modernisation de notre système de santé, la pratique avancée pour la profession infirmière est reconnue depuis cet été en France avec la publication de ses textes fondateurs au Journal Officiel, le 18 juillet 2018. Comme décrit dans le dossier de presse Ma santé 2022 : Les infirmiers en pratique avancée diplômés d’Etat (IPADE) disposeront de compétences élargies, à l’interface de l’exercice infirmier et de l’exercice médical.

Depuis octobre 2018, une dizaine d’universités accréditées accueillent des étudiants. Nous allons ici tenter de vous éclairer pour vous permettre de postuler si vous êtes motivé par ce projet professionnel. C'est la Vie ! Guide aide soignant. Les chroniques dessinées d'un aide-soignant en Ehpad - Actusoins actualité infirmière. Aide-soignant en Ehpad, Guillaume Saynes, publie chaque semaine sur internet* une planche de ses « Ehpad chronicles ».

Les chroniques dessinées d'un aide-soignant en Ehpad - Actusoins actualité infirmière

Dans ces BD, Saynot (c'est son nom de « crayon ») dépeint avec humour le quotidien des soignants et des résidents d'un Ehpad imaginaire et conjure ainsi les difficultés de ce lieu d'exercice du métier. Guillaume Saynes. © DR Les « Ehpad chronicles » sont de courtes bandes dessinées imaginées et dessinées depuis 2014 par Guillaume Saynes, aide-soignant. « Je dessine depuis toujours – tout jeune je reproduisais des comics et j'ai découvert peu à peu différents styles de BD, confie-t-il. Mais j'ai commencé ces chroniques deux ans après avoir intégré l'unité protégée pour les résidents atteints de troubles démentiels de type Alzheimer ». Le bien-être au travail en Ehpad, c’est possible. Les nouveaux modes de fonctionnement des établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) et les politiques d’optimisation des coûts tendent à accroître les contraintes physiques, psychologiques et organisationnelles des salariés et de leurs managers.

Cela risque également d’altérer leur santé au travail, notamment en contexte de crise sanitaire majeure. Le bien-être au travail constitue dès lors un défi pour les dirigeants des Ehpad dans la mesure où il influence la performance des établissements.