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Domestication

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Here's what fruits and vegetables looked like before we domesticated them. Next time you bite into a slice of watermelon or a cob of corn, consider this: these familiar fruits and veggies didn't always look and taste this way.

Here's what fruits and vegetables looked like before we domesticated them

Genetically modified foods, or GMOs, inspire strong reactions nowadays, but humans have been tweaking the genetics of our favourite produce for millennia. While GMOs may involve splicing genes from other organisms (such as bacteria) to give plants desired traits – like resistance to pests, selective breeding is a slower process whereby farmers select and grow crops with those traits over time. From bananas to eggplant, here are some of the foods that looked totally different before humans first started growing them for food. Wild watermelon Alvaro/Wikimedia Commons This 17th-century painting by Giovanni Stanchi depicts a watermelon that looks strikingly different from modern melons, as Vox points out.

Modern watermelon Scott Ehardt/Wikimedia Wild banana Genetic Literacy Project Modern banana Domiriel/Flickr Creative Commons. MGM : Maïs Génétiquement Modifié - Science Actualités (avant 2010) Chapitre 2 La plante domestiquée. Introduction Grâce aux fossiles, nous savons que nos ancêtres ont commencé à domestiquer les plantes (mais également les animaux) il y a environ 10 000 ans avant JC.

Chapitre 2 La plante domestiquée

C’est un élément fondamental qui a permis de sédentariser les populations qui sont passés d’un mode « chasseur cueilleur » à un mode « agriculteur ». Il y a environ une douzaine de foyers de domestication (= adaptation de plantes aux besoins de l’homme , adaptation des plantes sauvages à la culture) des plantes. La sélection est à l’origine de l’implantation durable de nombreuses espèces, permettant ainsi d’offrir à chaque région la possibilité de disposer d’une grande diversité botanique de cultures.

En France, de nombreuses productions végétales devenues importantes ont des origines géographiques très lointaines, comme par exemple la pomme de terre, originaire du Pérou ou le maïs de l’Amérique Centrale. Problématique : Comment expliquer l’origine des plantes cultivées actuelles ? Quels sont leurs devenirs ? I. Avant la séance: La production de semences de maïs: objectifs et organisation. D’une variété à l’autre, le pollen contenu dans la panicule mâle a une capacité variable, porté par le vent, à parcourir de la distance. « Dans ce cadre, différents dispositifs de semis sont possibles, fait remarquer Philippe Vernat.

La production de semences de maïs: objectifs et organisation

On parle essentiellement de dispositif 2/2 (2 rangs femelles encadrés de 2 rangs mâles) ou de dispositif 4/3 (4 rangs femelles encadrés de 3 rangs mâle). Ce dernier est le plus couramment utilisé. ». Pour s’assurer que les maïs du rang femelle ne vont pas s’autoféconder, on va castrer leur panicule avant émission du pollen. Ainsi, ces dernières ne peuvent qu’accueillir le pollen d’un maïs du rang mâle.

Cette opération est très technique… En effet, il faut que l’agriculteur-multiplicateur sème les rangs mâles et femelles de manière à ce que les panicules de rangs mâles soient prêtes à libérer leur pollen au moment où les épis des rangs femelles seront prêts à le recevoir. « La période des castrations est intense et stressante, analyse Philippe Vernat. La poule, domestiquée par une mutation ? D'après l'examen de sites néolithiques découverts notamment en Chine et dans la vallée de l'Indus (datés respectivement de 5 000 et 3 200 ans avant notre ère), la poule (Gallus gallus domesticus) a été domestiquée dans plusieurs régions d'Asie du Sud-est il y a 8 000 ans environ.

La poule, domestiquée par une mutation ?

Plusieurs espèces sauvages en sont à l'origine, dont la principale est le coq Bankiva (Gallus gallus), actuellement répandue de l'Inde au Sud de la Chine. Une collaboration internationale coordonnée par l'équipe de Leif Andersson, à l'Université d'Uppsala, en Suède, et à laquelle ont participé Bertrand Bed'hom et Michèle Tixier-Boichard, de l'INRA de Jouy-en-Josas, a découvert l'un des mécanismes génétiques impliqués dans cette domestication. Le génome de l'ancêtre sauvage principal, le coq Bankiva, a été séquencé en 2004. Les historiens estiment que le coq Bankiva a été domestiqué au moins autant pour son caractère distractif (les combats de coqs), que pour ses qualités alimentaires.