Argonautes. Catalogue des Argonautes[modifier | modifier le code] On sait que des catalogues d'Argonautes ont existé dès l'époque archaïque[1], notamment dans le Catalogue des femmes[2], Phérécyde d'Athènes[3] et Eschyle[4] — mais sans doute aussi dans les Naupacties[5]. On retrouvait de telles listes également chez Sophocle[6], Antimaque de Colophon[7] et Cléon de Curium[8]. Parmi les textes conservés, si l'on excepte Pindare qui ne cite qu'une dizaine de demi-dieux[9], le premier catalogue « complet » est donné dans les Argonautiques orphiques[10]. Viennent ensuite Apollonios de Rhodes[11], qui fait souvent office de canon, Diodore de Sicile[12], Hygin[13], le pseudo-Apollodore[14], Stace[15] et Valerius Flaccus[16]. En dehors de ces listes, d'autres noms sont parfois donnés par les auteurs, comme Cios[25] et Arménos[26] chez Strabon, ou Philammon qui remplace Orphée chez Phérécyde[3]. Évocations artistiques et adaptations[modifier | modifier le code] Littérature[modifier | modifier le code]
Le cinéma de Stanley Kubrick – PhiloBlog. En cours de construction Ressources : Emissions France Culture, les chemins de la connaissances d’Adèle van Reth, éléments donnés par Paul Mathias et une conférence de Michel Ciment Stanley Kubrick, philosophe Pour commencer, citons l’ouvrage de Sam Azulys, qui évoque l’un des films les plus connus du cinéaste, 2001, Odyssée de l’espace, qu’il qualifie d’odyssée philosophique. Sam Azulys Stanley Kubrick Une odyssée philosophique Aux éditions de la transparence On ne présente plus Stanley Kubrick, cinéaste majeur du XXe siècle qui a su, tout au long de sa carrière, concilier l’approche commerciale et spectaculaire d’un artisan d’exception avec celle, exigeante et innovante, d’un artiste.
Sam Azulys analyse, dans cet essai, aussi bien du point de vue narratif qu’esthétique, ce qui à ses yeux confère son unité et sa pertinence philosophique à l’œuvre de Kubrick. Voir un extrait de l’ouvrage de Sam Azulys 1. 2. 3. 2001, l’Odyssée de l’espace 4. 2. 3. Paul Mathias, répond. 4. Cours de cinéma. Russell Baker. Career[edit] Writing and editing[edit] Baker is the son of Benjamin Rex Baker and Lucy Elizabeth (née Robinson).[2] At the age of eleven, as a self-professed "bump on a log," Baker decided to become a writer since he figured "what writers did couldn't even be classified as work. " A graduate of Johns Hopkins University (1947), he went on to become an essayist, journalist, and biographer, as well as the host of the PBS show Masterpiece Theatre from 1992 to 2004. After covering the White House, United States Congress, and the United States Department of State for The New York Times for eight years, Baker wrote the nationally syndicated Observer column for the newspaper from 1962 to 1998; initially oriented toward politics, the column began to encompass other subjects after he relocated to New York City in 1974.
During his long career, he was a regular contributor to national periodicals such as The New York Times Magazine, Sports Illustrated, The Saturday Evening Post, and McCalls. International Herald Tribune - Paris.