background preloader

Management Concepts

Facebook Twitter

Agile Management. Le management agile peut être vu comme une organisation de type holistique et humaniste basée essentiellement sur la motivation rationnelle des ressources humaines. Son émergence, au début des années 1990, a été portée par la vague des nouvelles technologies (NTIC). Ses valeurs et principes combinent des aspects sociologiques et technologiques à une approche industrielle[1]. Le management Agile s’oppose aux fondements du taylorisme : parcellisation du travail, déresponsabilisation globale ainsi que d'autres principes de productivité individuelle dont la mise en œuvre devient difficilement défendable dans les pays industrialisés, compte tenu du coût des ressources humaines[2].

Le management agile est indissociable de l'auto-organisation qui induit adaptabilité, résilience et autonomie des équipes. D'où l'importance de critères et de schémas d'organisation du travail qui favorisent l'émergence et le développement de l'auto-organisation et de l'intelligence collective. Portail du management. Ce que l'agilité signifie pour moi. Écrit par Sahana Chattopadhyay Récemment arrivée chez ThoughtWorks, et bien que cela ait constitué un tournant capital dans ma carrière, je n’ai pas jugé utile de rédiger un article sur mon blog à ce propos, sauf pour ce qui est de l’apprentissage.

Je peux d’entrée affirmer que la découverte (quoique très rudimentaire) de la philosophie Agile a supplanté toutes mes autres découvertes (qui ont été nombreuses malgré tout). Issu d’un milieu très traditionnel et se suffisant à lui-même, avec tous les inconvénients (du moins ce que je perçois aujourd’hui comme des inconvénients avec le recul) que cela comporte, cela m’a pris beaucoup de temps pour assimiler la philosophie Agile— y compris ses fondements. Un précepte tel que : “ Transmettez ; ne documentez pas, à moins que le document ajoute une valeur” avait de quoi me donner le vertige. La source de mon inspiration The Agile Manifesto, est à découvrir via ce lien Mon interprétation de la philosophie Agile L'adaptation prime sur la prédiction. Management 3.0 - Complexity Thinking. What Is Agile Management? Management 3.0 | Agile Leadership Practices. Cours D.Bounie IAAL/QUALIMAPA - L'usine agroalimentaire: du projet initial à l'exploitation.

L’entreprise entre sentiment d’appartenance et besoin de posséder. Résumé : on parle beaucoup du besoin de renforcer le sentiment d’appartenance du collaborateur. Une notion comprise de tous mais à la mise en œuvre complexe : l’appartenance (et est-ce le mot adéquat) est le fruit d’une adhésion partagée des uns et des autres à un projet alors que l’entreprise, dans sa volonté de sécuriser les choses a souvent tendance à essayer de posséder le salarié. Avec les effets totalement inverses sur la motivation et l’implication des uns et des autres. Que l’on parle d’appartenance, d’engagement ou de quoi que ce soit d’autre, une politique RH 2.0 allant dans le bon sens se doit d’essayer de rapprocher plutôt qu’isoler, enfermer et posséder. Pas si évident. On dit nombre de salariés en manque de repères, à la fois dans leur vie professionnelle et personnelle mais également dans l’articulation entre les deux.

Ils cherchent du sens aux chosent, quelque chose à quoi se raccrocher. On appelle souvent cela le sentiment d’appartenance. Appartenir à l’entreprise ? Le brainstorming ne marche pas. «Le brainstorming ne fonctionne pas vraiment»: c’est l’affirmation de l'essayiste Jonah Lehrer, auteur de How Creativity Works, qui passe en revue dans le New Yorker de nombreuses études qui réfutent la soi-disant efficacité de cette méthode de créativité. Dans un best-seller publié en 1948, le publicitaire de l’agence B.B.D.O. Alex Osborn affirmait que la technique du brainstorming stimulait la créativité des participants, incitant les individus à lâcher leurs idées sans craindre critiques et retours négatifs de la part des collègues. Pourtant, un psychologue de l’université de Washington, Keith Sawyer, déclare dans l’article que «des décennies de recherches ont montré que le brainstorming produit moins d’idées que le même nombre de personnes qui travaillent seules et partagent ensuite leurs idées».

Interrogé par le site Fast Company, Jonah Lehrer explique: L'article du New Yorker met en avant plusieurs autres recherches sur le travail de groupe. Publicité Devenez fan sur , suivez-nous sur. Jonah lehrer « Search Results. Conduite du changement versus Agilité & Résilence personnelle et Collective ? Résumé : la conduite du changement est désormais le pilier d’entreprises en adaptation permanente. Mais cette notion qui induit que le mouvement est l’exception, un mal nécessaire, et la stabilité la norme ne correspond plus à la réalité et entraine des réflexes inappropriés et la propagation d’idées fausses. Lorsque le changement devient la norme il s’agit avant tout de travailler sur l’agilité et faire de la résilience individuelle et collective un mode de vie. C’est désormais quelque chose de bien compris : le changement se gère, s’accompagne. Les entreprises ont bien compris que l’édiction d’une nouvelle règle, la mise en place de nouveaux modes opératoires, la mise en ouvre d’un nouvel outil ne se suffisaient pas à elles-mêmes.

Elles ont un nombre considérable d’impacts directs ou indirects sur le collaborateur, amènent un lot incalculable de questions et d’inquiétudes qui nécessitent explications et réponses. Mais est-ce une si bonne nouvelle ? Google+ Crowdsourcing. Crowdsourcing is a sourcing model in which individuals or organizations obtain goods and services. These services include ideas and finances, from a large, relatively open and often rapidly-evolving group of internet users; it divides work between participants to achieve a cumulative result. The word crowdsourcing itself is a portmanteau of crowd and outsourcing, and was coined in 2005.[1][2][3][4] As a mode of sourcing, crowdsourcing existed prior to the digital age (i.e.

"offline").[5] There are major differences between crowdsourcing and outsourcing. Crowdsourcing comes from a less-specific, more public group, whereas outsourcing is commissioned from a specific, named group, and includes a mix of bottom-up and top-down processes.[6][7][8] Advantages of using crowdsourcing may include improved costs, speed, quality, flexibility, scalability, or diversity.[9][10] Definitions[edit] In a February 1, 2008, article, Daren C. Historical examples[edit] Timeline of major events[edit] G. Crowdsourcing.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le crowdsourcing, ou externalisation ouverte[1] ou production participative[2], est l'utilisation de la créativité, de l'intelligence et du savoir-faire d'un grand nombre de personnes, en sous-traitance, pour réaliser certaines tâches traditionnellement effectuées par un employé ou un entrepreneur. Ceci se fait par un appel ciblé (quand un niveau minimal d'expertise est nécessaire) ou par un appel ouvert à d'autres acteurs. Le travail est éventuellement rémunéré.

Il peut s'agir de simplement externaliser des tâches ne relevant pas du métier fondamental de l'entreprise, ou de démarches plus innovantes. C'est un des domaines émergents de la gestion des connaissances, Il existe de nombreuses formes, outils, buts et stratégies du crowdsourcing[3]. Le travail peut être collaboratif ou au contraire s'effectuer purement en parallèle. Origine du terme[modifier | modifier le code] Historique[modifier | modifier le code] Une organisation ni People ni customer Centric mais capacitante. Résumé: l’entreprise de demain sera t-elle “people centric”, “customer centric” ? Cette notion de centricité est une évolution majeure dans le rôle que l’entreprise accorde aux individus. Mais il est facile d’en rester au stade des bonnes intentions. Écouter, laisser une place, être attentif… et ensuite ? Pour que cette nouvelle posture ait des effets concrets il faut davantage qu’une nouvelle vision de la place et des rapports entre les uns et les autres.

Il faut mettre l’individu, salarié ou client, en capacité d’agir, de faire preuve d’initiative, dans le cadre de ce nouveau contexte. On ne cesse de répéter que l’organisation doit devenir “people centric”. Il est facile d’utiliser des concepts à la mode, pleins de bonnes intentions mais dont on ne sait pas trop ce qu’ils veulent dire concrètement, d’un point de vue purement opérationnel. Être “quelque-chose centric” veut il dire qu’on prête une attention spéciale à ce quelque chose ? Google+ Social software, paradis de l’efficacité du travailleur du savoir - Bertrand Duperrin. Bloc-Notes de Bertrand Duperrin via Google Reader. [Democratie Participative] Historique du Lean Manufacturing avec Vision Lean | Vision Lean. Dès la fin 1890, Fréderick W Taylor innove en étudiant et diffusant le management scientifique du travail, avec comme conséquence la formalisation de l’étude des temps et de l’établissement des standards.

Frank Gilbreth y ajoute la décomposition du travail en temps élémentaires. Alors apparaissent les premiers concepts d’élimination du gaspillage et les études du mouvement. Henry Ford, en 1910, invente la ligne de montage pour la Ford T, produit standard. Alfred P.Sloan améliore le système Ford en introduisant chez GM le concept de diversité aux lignes de montage. Après la seconde guerre mondiale, Taiichi Ohno et Shigeo Shingeo créent pour Toyota les concepts de «juste à temps», «waste reduction», «pull system» qui, ajoutés à d’autres techniques de «mise en flux», créent le Toyota Production System (TPS). Depuis cette période, le Toyota Production System (TPS) n’a jamais cessé d’évoluer et de s’améliorer. Marketing d’influence - Influence et émergence (Bénédicte Kibler) Dans l’article précédent, "Qu’est-ce qu’un système d’influence", j’évite soigneusement le terme "stratégies d’influence", devenu trop galvaudé et trop vague.

Il faut savoir de quoi on parle ! Quelques précisions s’imposent… Le marketing d’influence est un marketing plus sophistiqué que le marketing classique. Le marché est une communauté où les mécanismes de la psychologie collective opèrent. Autrefois réservé aux seules multinationales, le marketing d’influence devient accessible aux PME. Le lobbying Pour ne prendre qu’un exemple, à Bruxelles, on dénombre 17000 officines de lobbying, chargées d’influencer les législateurs. Dans cette vidéo, Corinne Lepage remet les choses à leur place: il est légitime que les intérêts économiques d’un secteur soient défendus auprès des pouvoirs publics, mais certaines pratiques sournoises et trompeuses doivent être dénoncées !

La communication d’influence C’est le domaine des politiciens et de tous les leaders qui visent à influencer l’opinion publique. Innovons ! Par Gilles Martin (chroniqueur exclusif) - Président du cabinet de conseil en stratégie et management PMP En cette période de vœux, je reçois ça : « Notre entreprise poursuit sa transformation et nous avons besoin de nouvelles idées pour soutenir notre offre de service. Nous en reparlerons en 2011 ». Un autre client m’adresse une demande pour monter ce qu’il appelle « une séminaire Innovation » ; le but, c’est de devenir l’entreprise la plus innovante de son secteur. Serait-ce le signe d’une tendance pour 2011 : la recherche de « nouvelles idées » devient le nouveau graal. L’innovation, les nouvelles idées, on pourrait penser que ça vient comme ça ; et pourquoi pas dans un séminaire Innovation ? Archimède est bien réputé avoir découvert son fameux principe dans sa baignoire ; Newton la loi de la gravitation universelle en recevant une pomme sur la tête.

Et on entend encore des histoires d’idées qui sont venues comme ça, à un comptoir de bistrot, autour d’une bière, ou en prenant un bain. 1. Intelligence collective : les limites de l’océan des savoirs | Les dossiers de l'observatoire. L’intelligence collective est un concept qui a vu le jour à la Renaissance, autour de « L’océan des savoirs », cette quantité incommensurable de connaissances qui fonde notre société. Il a fallu d’abord identifier les limites de cet océan des savoirs, pour tenter d’organiser les compétences. Ce qu’ont tenté d’accomplir les Lumières, via l’Encyclopédie. La représentation d’intelligence collective a évolué ensuite, aux 19e et 20e siècles, autour des révolutions technologiques successives. Mais c’est la révolution Internet qui lui permet d’être plus qu’un concept. Les outils ERP (Enterprise resource planning, support numérique d’organisation dans l’entreprise), les outils web 2.0 (les wikis, les blogs…) l’ont matérialisée.

L’intelligence collective est au cœur de notre quotidien… sans même qu’on le perçoive. Des réalités quotidiennes Nouvelles pratiques Il reste que les nouvelles pratiques apparues dans le champ des plateformes collaboratives ont eu un vrai rôle. Vulgarisation de savoirs ? Lean. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'école de gestion lean trouve ses sources au Japon dans le Toyota Production System (TPS)[6]. Adaptable à tous les secteurs économiques, le lean est actuellement principalement implanté dans l'industrie (et surtout l'industrie automobile). Lean et le système de production de Toyota[modifier | modifier le code] Lean est un qualificatif donné par une équipe de chercheurs du MIT au système de production Toyota. À l'origine le TPS a été créé par Sakichi Toyoda, puis par son fils Kiichiro Toyoda, et enfin par son neveu Eiji Toyoda, assistés par un ingénieur, Taiichi Ōno.

Quand, en 1972, après 25 ans d'efforts, le système fut déployé depuis la fabrication des moteurs jusqu'à la fin de la ligne d'assemblage chez Toyota, une cellule de 12 consultants internes (dont Fujio Cho, Hajime Ohba, etc.) fut créée (l'OMCD) pour aider les fournisseurs de Toyota à livrer des produits de qualité en juste-à-temps. Concepts de base[modifier | modifier le code] J. Lean management. Modèle du système « Lean production ». L'école de gestion lean trouve ses sources au Japon dans le système de production de Toyota ou SPT (en anglais Toyota Production System ou TPS)[5]. Les mudas sont au nombre de sept[6] : surproduction, attentes, transport, étapes inutiles, stocks, mouvements inutiles, corrections/retouches. Formalisée aux États-Unis dans les années 1990, adaptable à tous les secteurs économiques, le lean est actuellement implanté principalement dans l'industrie et surtout l'industrie automobile. Historique[modifier | modifier le code] Au MIT, les recherches de Krafcik sont poursuivies dans le cadre de l'International Motor Vehicle Program (en) (IMVP), programme qui débouche sur la publication, en 1990, du livre The machine That Changed the World, co-écrit par Jim Womack (en), Daniel Jones et Daniel Ross et dont le succès est planétaire[8].

L'école du lean se formalise aux États-Unis dans les années 1990, popularisée par le livre Lean Thinking [9] (1996) de James P. J. La DGCIS & Vous - À la une. Lean Manufacturing : l'esprit Lean | Vision Lean. D’après ses fondateurs japonais, 80 % du Lean manufacturing consiste à créer une dynamique d’élimination des gaspillages et de maximisation de la valeur ajoutée. Lean Manufacturing : compréhension du contraste entre la valeur ajoutée et le Muda La compréhension du contraste entre la valeur ajoutée et le Muda est essentielle. La valeur ajoutée représente ce que votre client paie, l’acte d’assemblage, la fabrication.

Le reste, même s’il est «travail», est Muda. Le Muda, ou le gaspillage, est ce que votre client ne paie pas, la non-valeur en production. L’effet de levier du Lean Manufacturing : La réduction des gaspillages permet de dégager bénéfices et trésorerie. Les outils Lean «pratiques» SMED, TQM, TPM, 5s… etc sont des outils terrains destinés à la réduction des mudas dans le cadre du Lean manufacturing. Lean manufacturing. Lean Bicycle Factory. Management éthique performant. Management dictionary | MBA dictionary. Reference: Knowledge Management. Mesurez vos actifs immatériels. What is strategy? Définition Stratégie - Encyclopédie scientifique en ligne. Comment faire quand on déteste réseauter ?