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Art/culture/histoire

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Henri Guillemin

Anthropologie. Annie Lacroix-Riz. Robespierre. L’attentat de Sarajevo, une explication commode, par Jean-Arnault Dérens (Le Monde diplomatique, septembre 2014) La première guerre mondiale a-t-elle vraiment été « provoquée » par l’attentat de Sarajevo qui coûta la vie à l’archiduc héritier, François-Ferdinand d’Autriche-Hongrie, et à son épouse le 28 juin 1914 ?

L’attentat de Sarajevo, une explication commode, par Jean-Arnault Dérens (Le Monde diplomatique, septembre 2014)

Les combats ont-ils véritablement débuté en Belgique et en Lorraine ? Cette chronologie, centrée sur les événements européens, est la plus répandue, mais elle oublie tout un pan de l’histoire du conflit, amputant l’analyse de ses causes. Le 5 août 1914, un accrochage éclate à la frontière de l’Ouganda, colonie britannique, et de l’Afrique orientale allemande (Schutzgebiet Deutsch-­Ostafrika). Le 8 août, des navires britanniques bombardent Dar es-Salaam, le centre administratif de cette colonie allemande qui s’étend sur les ter­ritoires actuels du Burundi, du Rwanda et d’une partie de la Tanzanie.

Les semaines suivantes, les combats se généralisent pour le contrôle du lac Kivu. Ce jeu d’alliances correspond à de puissantes logiques d’intérêts. Cimetières en Macédoine. De l’éducation populaire à la domestication par la « culture », par Franck Lepage (Le Monde diplomatique, mai 2009) En France, quand on prononce le mot « culture », chacun comprend « art » et plus précisément « art contemporain ».

De l’éducation populaire à la domestication par la « culture », par Franck Lepage (Le Monde diplomatique, mai 2009)

Le mot Culture, avec son singulier et sa majuscule, suscite une religiosité appuyée sur ce nouveau sacré, l’art, essence supérieure incarnée par quelques individus eux-mêmes touchés par une grâce — les « vrais » artistes. La population, elle, est invitée à contempler le mystère. Entamée dès les années 1960 sous l’égide du ministère des affaires culturelles, la réduction de la culture à l’art représente une catastrophe intellectuelle pour tout homme ou toute femme de progrès. L'atlantide une histoire du communisme première partie. Annie Lacroix-Riz : Révolution d’octobre et Révolution française – mythes et réalité historique.

Interview enregistrée le 26.08.2017 (1ère partie) A l’occasion du centenaire de la Révolution d’octobre, Annie Lacroix-Riz, historienne, professeur émérite d’histoire contemporaine de l’Université Paris VII, nous parle de deux révolutions les plus importantes de l’histoire.

Annie Lacroix-Riz : Révolution d’octobre et Révolution française – mythes et réalité historique

Peut-on rétablir la vérité historique sur ces évènements entourés de mythes mensongers ? La Terreur est-elle inhérente à la démarche des révolutionnaires ? Pourquoi se déclenche-t-elle après les révolutions ? Quel est le rôle de la terreur contre-révolutionnaire et de l’intervention étrangère ? Cette interview s’inscrit dans le cadre du travail du mouvement « Essence du temps » contre la falsification de l’histoire. Nous remercions Mme Lacroix-Riz pour sa contribution éclairante. La Terreur ? (Juillet 1793-juin 1794) - La Révolution française, épisode 6. Passé Sauvage & DirtyBiology. TEDxConcorde - Clair Michalon - Les Rroms, derniers porteurs notre culture d'origine. Les communistes allemands, responsables du nazisme Allons donc ! Arrêt sur images.

Franck Lepage - L'art contemporain. Nantes: Il se fait passer pour un Chinois et perce dans le milieu de l'art contemporain. CULTURE Un Nantais de 36 ans a trouvé le succès du jour en lendemain en se cachant derrière un pseudonyme chinois... 20 Minutes avec AFP Il a les yeux bleus, la peau blanche et les cheveux blonds.

Nantes: Il se fait passer pour un Chinois et perce dans le milieu de l'art contemporain

«Tao Hongjing», artiste «chinois» multi-exposé à Tokyo, Paris ou New York, vend en fait ses oeuvres depuis dix ans sous un pseudonyme, vient-il de révéler. Alors que s'ouvre à Pékin sa dernière exposition, sous nom d'emprunt, ce Nantais assure que sa démarche était de «jouer avec le marché et les stéréotypes». «L'intérêt du public était limité» «Mon vrai nom est Alexandre Ouairy», dit en souriant le Français de 36 ans, formé aux Beaux-arts à Grenoble et débarqué en 2000 à Shanghai pour «l'aventure», dans une ville alors quasi-dépourvue de galeries d'art. Quand il commence à exposer, sous son vrai nom, «l'intérêt du public était limité, voire nul», se remémore Alexandre Ouairy, qui ne voit qu'une seule explication: «C'était dû au fait que j'étais étranger.

Succès du jour au lendemain. Apostrophes - Le plaisir des mots.