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Et si on mettait fin à la servitude volontaire sur nos données numériques personnelles ? Une enquête du New York Times révèle l’ampleur des informations personnelles transmises à des entreprises privées par nos téléphones portables, avec notre accord.

Et si on mettait fin à la servitude volontaire sur nos données numériques personnelles ?

N’est-il pas temps d’en prendre conscience ? Lorsque nous évoquons la surveillance de nos données personnelles numériques, nous pensons d’abord à la Chine, qui a poussé le plus loin l’usage policier de la technologie, ou à Edward Snowden, qui a révélé l’ampleur du contrôle par les services de l’État américain. Mais dans une formidable enquête publiée hier, le "New York Times" décortique une autre dimension de l’usage de nos données, par des entreprises privées auxquelles nous donnons, sans trop nous poser de questions, le droit de nous surveiller, de traquer nos moindres faits et gestes ; en un mot, de nous espionner. Le "New York Times" a été approché par un lanceur d’alerte travaillant pour l’une de ces entreprises, et qui a été effrayé par ce qu’il voyait.

Photographie a ananlyser. Diaporama bilan. Photo bilan. Diaporama correction images de presse.

PHOTOGRAPHES

Au-pays-des-eborgnes,-la-desinformation-fait-loi,n6528802. « Parlons de cette fameuse loi anti-casseurs. » Lundi matin, sur LCI, les terribles images de l’ignoble dégradation de la plaque commémorative du maréchal Juin tournent en boucle.

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La chroniqueuse Monia Kashmire interroge le représentant du Syndicat des commissaires de police : « Cette loi anti-casseurs a mis en place certaines innovations, comme la fameuse PMC, cette peinture qui peut marquer des gens. Pourquoi est-ce qu’on l’utilise pas ? » « Oui, il faut du marquage, plaide David Le Bars. Il faut qu’on puisse marquer les auteurs pour aller les chercher après. » Pourvu que le marquage soit aussi précis que les tirs de LBD, ça devrait permettre de mettre quelques dizaines de milliers de manifestants sous les verrous. L’histoire (presque) vraie d’un enfant syrien seul dans le désert. Tout est parti d’un tweet, ou plutôt d’un re-tweet.

L’histoire (presque) vraie d’un enfant syrien seul dans le désert

Hala Gorani, journaliste pour la chaîne américaine CNN a diffusé, via son compte Twitter, la photo d’un enfant syrien, Marwan, prise par les équipes du Haut commissariat aux réfugiés (HCR) présent à la frontière entre la Syrie et la Jordanie. Dans l’intitulé du message posté le 16 février, la journaliste écrit : "une équipe de l’Onu a trouvé cet enfant de 4 ans, Marwan, qui traversait seul le désert après avoir été séparé de ses parents".

Un cliché qui a aussitôt suscité une vive émotion sur le web et qui a été retweeté plus de 7.863 fois. Les réactions sur le web sont tellement nombreuses que l’histoire de se petit garçon errant est reprise dans de nombreux médias, dont le très sérieux Timeou encore le New York Post. "La guerre en Syrie est une affaire compliquée, mais un simple cliché permet de mettre en avant, avec force, une réalité, là où tous les mots du monde ne suffiront jamais", écrit l’hebdomadaire américain. CREM - Les genres médiatiques. La radio - Lexique des langages médiatiques L'INFORMATION SUR L'ACTUALITÉ ET LES GENRES JOURNALISTIQUES 1. l'information rapportée Le compte rendu Le terme est utilisé lorsqu'il s'agit de rapporter les éléments importants d'une réunion, d'une conférence de presse, d'une manifestation.

CREM - Les genres médiatiques

Le journaliste qui assiste à ce genre d'événement rédige chronologiquement ce qu'il a vu et entendu de façon purement factuelle. 1e2cf2d9358e8435107f0c944f463bca. La semaine de la presse : informer/désinformer avec l'image. 24ème Semaine de la presse et des médias dans l'école 25 mars au 30 mars 2013 le site du Clemi Voir le dossier du CDDP "des images pour informer" Autour du thème "informer / désinformer avec l'image"

La semaine de la presse : informer/désinformer avec l'image

Doc ANALYSE DE LIMAGE DE PRESSE 2016. Photojournalism Now: La signification des légendes. Quand il s’agit de photojournalisme, l’adage “une image vaut mille mots” ne sonne pas juste.

Photojournalism Now: La signification des légendes

Si l’intention de la photographie est de communiquer un message spécifique et d’en tirer une réponse émotionnelle, le public a besoin de savoir ce qu’ils regarde. Très peu d’images peuvent tenir sans légendes, et toutes les images qui sont considérées comme emblématiques ont été renforcées par des mots. Alors que l’ambiguïté dans la photographie comme art peut être un résultat souhaitable, dans un contexte journalistique le légendage est aussi important pour la valeur d’actualité de la photographie que l’image elle-même. Les légendes jouent un rôle important dans la communication de messages idéologiques,en permettant de renforcer le symbolisme de l’image. Les photographies d’actualité font partie de faits historiques avec des images icôniques qui représentent la mémoire collective d’événements particuliers.

Lien: Photojournalism. Atelier : Subjectivité de l'image et rapport au texte. Enseigner l'ÉMI avec YouTube. Au sommaire: Rumeurs, fausses informations, manipulations : comment les repérer?

Enseigner l'ÉMI avec YouTube

Les théories du complot Rumeurs, fausses informations, manipulations : comment les repérer? France Télévisions La Clé des médias C’est quoi la rumeur ? Nous sommes tous médias :