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Les erreurs à ne pas commettre face à un investisseur : En savoir plus. En savoir plus Si le plus difficile semble avoir été franchi et que rien ne peut venir modifier la levée de fonds une fois le closing terminé, l'étape suivante n'est pas sans difficulté : le premier conseil d'administration sera l'occasion pour les investisseurs d'apprécier d'autres qualités de l'entrepreneur. "Ce dernier devra donc être parfaitement préparé, présentation et ordre du jour à l'appui" note Charles-Henry Tranié. "Il devra dans un premier temps dresser tous les points clefs à savoir le niveau de cash, les revenus, les dépenses, les indicateurs de ventes ou de téléchargements que la start-up a réalisé". C'est un instaurant un baromètre constitué de plusieurs indicateurs qu'il rassurera ou attirera l'attention des investisseurs sur l'évolution de sa société.

Une fois cette étape obligatoire franchie, les membres du conseil d'administration pourront discuter plus ouvertement de la stratégie, du marketing ou encore du développement de la société à l'international. A lire aussi : Office of the Information and Privacy Commissioner/Ontario | Putting control of personal data where it belongs - with the individual! Commissioner Cavoukian applauds organizations within the emerging Personal Data Ecosystem for ensuring strong privacy protection TORONTO, Oct. 31, 2012 /CNW/ - Personal information - the new "oil" of the Internet - largely resides with organizations - removed from the individual's sphere of control. The boundless potential of the Personal Data Ecosystem (PDE) is to place control of one's personal information into the hands of the individual. The PDE is truly a game changer, and will move privacy well beyond laws, regulations and best practices, to create a privacy-protective relationship between individuals and organizations, says Dr.

Ann Cavoukian, Ontario's Information and Privacy Commissioner. "Privacy is all about control - that is why I am taken with the promise of the emerging Personal Data Ecosystem. Privacy by Design was unanimously approved as an international framework for privacy protection in 2010, and has been translated into 25 languages. "Dr. About the IPC. [Trends] FrenchWeb lance une série documentaire sur les nouvelles tendances digitales  En coproduction, Dailymotion et FrenchWeb, lancent aujourd’hui officiellement «Trends», une série documentaire consacrée aux innovations digitales dans le monde.

De Séoul à Paris en passant par la Silicon Valley et New York, le premier épisode présente les nouvelles tendances dans le domaine de la vidéo. Quels sont les nouveaux usages ? Quels sont les services de demain ? Quels sont leurs modèles économiques ? Sur une idée originale de Cédric Tournay, PDG de Dailymotion, et Richard Menneveux, fondateur de FrenchWeb.fr, Trends a été produit par les équipes de FrenchWeb.fr, en coproduction avec Dailymotion, et avec le soutien d’Orange. Un vrai défi pour FrenchWeb, dont les équipes ont parcouru le globe en seulement 3 semaines, tourné plus de 30 heures de rushes, et monté le documentaire en format HD, sous-titré, en 30 jours.

Pense_b-te_juridique.pdf (Objet application/pdf) Internet juridique : Les sites Web incontournables - Droit français : Sites généralistes. Le Guide de la curation (1) - Les concepts. 01net le 14/03/11 à 16h00 Etymologie La pratique qui consiste à sélectionner, éditorialiser et partager du contenu a été baptisée par les Américains curation ou Content Curation, par analogie avec la mission du curator, le commissaire d’exposition chargé de sélectionner des œuvres d’art et de les mettre en valeur pour une exposition.

Les termes curation et curator prennent leurs racines étymologiques dans le latin cura, le soin. Ils n’ont pas d’équivalent en français, nous les utiliserons ici dans leur contexte anglais (curation en français désigne le traitement d’une maladie). Le terme curation est apparu en France fin 2010. Après l’e-Réputation et le Community Management, il s’annonce comme étant le « buzzword » de l’année 2011.

Historique La curation est la convergence des deux principales activités sur internet : la recherche et le partage. Elle est indissociable de la culture du partage, dont elle est l’héritière. Parallèlement, le volume d’informations n’a cessé de croître. Définitions. Le Guide de la curation (2) - Les pratiques. 01net le 15/03/11 à 15h44 Pour mieux définir la curation et en tirer les bénéfices, décrivons les différentes tâches qui constituent cette activité.

Les tâches [D’après MasterNewmedia] Cette liste est relativement exhaustive et toutes ces tâches ne sont pas obligatoires pour faire de la curation. Si l’on considère le strict minimum, sélectionner et partager, peut-on encore appeler cela de la curation ? C’est ce que fait, par exemple, un retwitteur (un utilisateur de Twitter qui reposte un tweet en cliquant sur le bouton retweet). La curation introduit une étape essentielle : SélectionnerEditorialiserPartager L’éditorialisation du contenu est une phase clé, c’est elle qui va faire la différence entre une simple republication et une curation. Le positionnement L’arrivée du concept de curation a généré, dans les communautés des veilleurs et des documentalistes, des réactions très réservées : doutes, rejets, sarcasmes.

Qu'est-ce qui différencie le curator des autres métiers ? Le Guide de la curation (3) - Les outils. Le Guide de la Curation (4) - Les cas d'usage : la veille avec @jeanlucr. 01net le 17/03/11 à 18h29 Jean-Luc Raymond est consultant indépendant en projets numériques citoyens, chargé de cours au CELSA, formateur et ancien journaliste en agence de presse. Avec ses 235 000 abonnées, @jeanlucr est le plus gros compte Twitter francophone, ce qui lui confère une influence indéniable.

Son fil Twitter, exclusivement de nature professionnelle, égrène en permanence une veille technologique sur les réseaux sociaux et internet. Sa particularité : dénicher régulièrement des sources et des informations inédites. À ce titre, c’est sans aucun doute le premier curator en France. 01netPro. Jean-Luc Raymond. Chez les utilisateurs, ce n’est pas nouveau. Pour les journalistes de données, le besoin est évident : capitalisation d’informations, classification, redistribution. Avec la curation, on essaie de recréer un Huffington à la française, une rediffusion stratégique. Quels sont les outils que vous utilisez ?

J-LR : Des outils très basiques. Des expériences avec d’autres outils ? Curation: la fin du «paradigme du Powerpoint» 01net. le 04/04/12 à 07h00 Le terme de curation s'est progressivement imposé dans le paysage 2.0. Ce n'est pas un énième buzzword internet, mais bien une façon de faire du sens. Il désigne l’action de sélectionner, organiser et partager le contenu sur internet. La curation aide à restructurer des informations disparates autour d’un sujet ou d’un intérêt. La curation : une veille collective de l’ensemble des salariés La veille concurrentielle était historiquement une sorte de curation réservée à un groupe de personnes dédiées dont c'était le métier. Une mise en contexte des informations collectées La mise en contexte par thèmes des données collectées aide à la production de nouvelles informations grâce, notamment, à l’agrégation manuelle d’autres sources.

A chaque besoin son outil Souvent, les entreprises ont le tort d’essayer de tout concentrer dans une seule boîte à outils. Antoine Perdaens. Le Guide de la curation (7) - Les perspectives. 01net le 24/03/11 à 13h00 Le sujet de la curation n’a pas fini de faire parler de lui. Entre les intéressés, les enthousiastes, les sceptiques, les agacés, les discours s’entrechoquent. Peut-on déjà parler d’un futur de la curation ? On évoquera ici la curation de curators, la qualification de curators, la curation de données, etc. Parmi les pistes d’évolution de la curation, on mentionne souvent le web sémantique. Son objectif est de rendre le web intelligent, utilisable par des machines en rajoutant aux données des métadonnées qui leur donnent du sens. Comme le souligne Nicolas Cynober, « le web sémantique se nourrit de contenus édités humainement et les données liées s’enrichissent par des éditions externes ».

Tous curators ? Dominique Cardon, sociologue au laboratoire des usages chez Orange Labs, s’interroge sur les enjeux de la curation : « Tous éditeurs ? 01netPro. Dominique Cardon. La curation s’appuie sur des pratiques de relais de liens via Twitter ou Facebook. Il n’existe pas. Vous reprendrez bien un peu de curation à la sauce juridique. Le billet que j’ai publié la semaine dernière : « Propulsion, Curation, Partage… et le droit dans tout ça ? » a suscité un certain nombre de réactions, commentaires, échanges, qui me donnent envie de prolonger la réflexion, en creusant plusieurs points sur lesquels on a attiré mon attention. Décidément, vous allez voir que la curation est un sujet d’une grande richesse juridique, mais d’une grande complexité également… Pour assaisonner un peu vos pratiques de curation, je vous recommande la sauce juridique !

(Hot Sauce Bar. Par Josh Koonce. CC-BY-NC-ND. Source Flickr) L’épineuse question du droit applicable Dans mon billet, je pars du principe que le droit français est applicable aux pratiques de curation et de propulsion de contenus sur Internet. La question est assez difficile à trancher et renvoie aux règles relatives au droit applicable en matière de dommages causés en ligne. Hum… moment d’hésitation… Curation, propulsion et droit du lien hypertexte To LINK. Sur le même thème. DROITS D’AUTEUR ET PARTAGE. L’arrivée d’internet a bouleversé le droit d’auteur, notamment grâce à la fluidité des échanges que permet internet. En effet, est apparue depuis quelques années « les boutons de partage » particulièrement mise en place sur les réseaux sociaux ceux-ci permettant la transmission de données par les internautes. Les fonctionnalités des sites internet n’ont cessé de s’accroitre au fil des années.

Or l’ouverture au numérique de la publication d’œuvresprotégées par le droit d’auteur a rendu nécessaire une confrontation entre les droits de propriété intellectuelle et la possibilité d’échanger des données via internet. En effet la fluidité résultant de la dématérialisation pousse à se poser la question de savoir comment adapter le droit d’auteur à ces nouveaux moyens de communication et de transmission. A l’inverse en droit français ce sont les prérogatives des auteurs qui sont définies de manière large. I. Le partage confronté au droit d’auteur A ) Le mécanisme du bouton de partage II. « Curation » ou webinage? Un concept à ne pas louper. Les mots intraduisibles ont ceci de merveilleux qu’ils rappellent l’importance du vocabulaire, titillent l’inventivité et poussent au néologisme.

Il en va ainsi de « curation », l’activité qui, aux États-Unis (et en Grande Bretagne) consistait à sélectionner les collections d’un musée et à les mettre en scène. Le terme est utilisé maintenant pour la gestion des flux d’infos en ligne. Produire des nouvelles originales reste essentiel, mais nous découvrons tous ensembles que gérer celles qui nous assaillent ne l’est pas moins, pour les journalistes professionnels comme pour les autres. L’image est détestable. Photo Flickr de chikachika72] Cette entrée a été publiée dans Mediachroniques, Participolis, Pistes, Société, Vie digitale, Vocabulaires. Propulsion, Curation, Partage… et le droit dans tout ça. Alors que Google vient d’annoncer le lancement de son bouton de partage +1, à l’image du fameux like de Facebook, la juriste Murielle Cahen publie sur le site Avocat Online une intéressante analyse, qui confronte ce type de fonctionnalités avec les principes du droit d’auteur à la française.

Son raisonnement, finement nuancé, tend à prouver que plusieurs principes du droit d’auteur, et notamment le droit moral, fragilisent ces pratiques de propulsion des contenus en direction des réseaux sociaux. Cela dit, il me semble que son analyse gagnerait à être complétée par la prise en compte du droit de courte citation, ainsi que d’une jurisprudence récente rendue à propos de l’exception de revue de presse. J’aimerais aussi, au delà de la question des boutons de partage et de la propulsion élargir la réflexion au domaine des nouveaux outils de curation des contenus, qui soulèvent à mon avis des questions encore plus épineuses de respect du droit d’auteur. Sur le même thème. Puis-je établir plusieurs liens hypertextes vers des articles de presse publiés en ligne ? Il n’est pas interdit d’effectuer des liens hypertextes vers d’autres pages internet. Ceci étant, les responsables de sites peuvent vouloir interdire, au titre du droit des bases de données, l’établissement de liens vers plusieurs de leurs articles.

Bien que les tribunaux ne se soient pas encore entendus sur la portée réelle de ce droit vis-à-vis des hyperliens, il est fortement recommandé d’éviter d’effectuer plusieurs liens vers les pages web d’un même site qui aurait clairement affiché son refus d’accepter une « extraction » ou une « réutilisation » de ses données. Tel est généralement le cas des sites de journaux en ligne. Vous pouvez néanmoins demander une autorisation exceptionnelle auprès de l’éditeur du site vers lequel vous désirez effectuer plusieurs liens.

Il est possible qu’il vous l’accorde gracieusement si l’exploitation que vous faites de ces liens lui convient. Sachez par ailleurs que les titres d’articles sont considérés comme des œuvres protégées par le droit d’auteur. Science et curation : nouvelle pratique du Web 2.0. Internet permet de publier et d’échanger chaque jour des milliards de données, auxquelles accèdent plus de 2 milliards de personnes dans le monde. Cette masse d’information rend difficile, lorsque l’on mène une recherche, la différentiation entre le bruit de fond et les informations pertinentes et utiles. De plus, ces recherches sont chronophages et peuvent dépasser largement le temps que nous avons à y consacrer. Aujourd’hui, Google et les moteurs de recherche spécialisés comme Google Scholar reposent sur des algorithmes éprouvés.

Mais ces algorithmes sont-ils suffisamment en phase avec le besoin des utilisateurs ? Et si le web avait besoin du cerveau humain pour trier et mettre en avant les informations pertinentes, et non pas une information basée sur la « popularité » et des opérations lexicales et sémantiques ? La curation sur le World Wide Web ©Beboy-Fotolia Web 2.0 : nouvelles pratiques, nouveaux usages ©Zothen-Fotolia Sommes-nous arrivés à l’ère d’un « chercheur 2.0 » ? Plates-formes de curation. Flipboard. Last updated March 26, 2013 Flipboard, Inc. (“Flipboard”, or “we”) provides our users the ability to view material, from either social networking services (“SNSs”) or the Internet generally, in an innovative way. The services offered by Flipboard include our software applications (including any updates, new versions or new releases thereof), including but not limited to applications for mobile devices such as Apple’s iPad and iPhone, and devices running the Android operating system (each a “Flipboard Application”), our website located at www.flipboard.com (the “Site”) and any other services offered by Flipboard in connection with our Flipboard Application or the Site (any and all of the foregoing are referred to as the “Services”).

The Services do not include any SNS or other third-party service you interact with via the Services. Please read the following terms and conditions (“Terms of Use”) carefully. Modification Eligibility and Access Third Party Materials and Agreements Privacy Content. Pinterest se pique aux règles du droit d’auteur. Les licences creative commons : excellente introduction par l’EPFL sur prezi. User-generated content. Code de la propriété intellectuelle. Protection des bases de donnees, droit d’auteur et du producteur. Protection juridique des bases de données. Article juridique : La protection des logiciels et des bases de données. Formation diigo niveau 2 mai 2011. Conditions d'utilisation de Twitter... Netvibes.