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Droit du travail, droit au travail. Quelques chiffres et informations (France) Est considéré comme travailleur ou travailleuse, toute personne ayant travaillé au moins 7 mois dans l’année. 17,8 millions de postes de salariés en France (2010) 14,5 % des salarié-es sont smicard-es (chiffres 2008) ; cf. ci-dessous 9,6 % de la population active est au chômage (selon les normes du B.I.T, chiffre INSEE 4ème trimestre 2010). 90 % des salariés ont un salaire net inférieur à 3 077 € par mois. 80 % des salarié-es à temps complet du privé touchent moins de 2 300 euros et 90 % moins de 3 000 euros "Travailleurs pauvres" : entre 1 et 1,9 million (selon les modes de clacul) sd’actifs-ves ont des revenus inférieurs au seuil de pauvreté (733 euros par mois si l’on fixe le seuil à 50% du revenu médian, 880 si l’on se base sur 60%).

Droit du travail, droit au travail

Plus d’un-e chomeur-se sur deux n’est pas indemnisé-e 23,3 % des actifs de moins de 24 ans sont au chômage contre 6,1 % des 50 ans et plus. 19 % des handicapé-es sont au chômage Les retraites Le SMIC Associations Syndicats. Association française du droit du travail et de la sécurité sociale.

Panel outils évaluation/questionnaires stress et souffrance au travail

Guide information VIOLENCES ET INCIVILITES AU TRAVAIL octobre 2016 644717. Référentiel formation : prévention risques psychosociaux fonction publique (2014) Prévention risques psychosociaux fonction publique (2014) Guide méthodologique RPS FP 2014. Procédure de déclaration en cas de procédure d'alerte ou de retrait. Reseau des conseillers de prevention de l academie de Creteil (septembre 2016 ?) L'usage des outils d'évaluation du stress au travail : perspectives théoriques et méthodologiques. 1Depuis les années 1980, les travaux scientifiques internationaux en réponse à une demande croissante d’informations sur le stress n’ont pas cessé de se développer (Somerfield & McCrae, 2000) dans des domaines aussi divers que la vie quotidienne, l’activité de travail, l’éducation, la santé ou encore l’activité sportive.

L'usage des outils d'évaluation du stress au travail : perspectives théoriques et méthodologiques

S’agissant plus particulièrement du stress au travail, l’intérêt s’est principalement orienté sur les liens possibles entre l’environnement de travail et les risques d’atteinte à la santé physique et mentale. Ainsi, dans l’introduction de leur ouvrage collectif intitulé Stress au travail et santé psychique, Neboit et Vézina (2002) considèrent le stress comme le mal du xxie siècle compte tenu des coûts humains, économiques et sociaux qu’il engendre. 2Dans ce contexte d’interrogation liant stress, travail et santé, nous avons cherché à répondre à trois objectifs qui structurent les différentes parties de cet article. 61Article reçu : Novembre 2009. Livre blanc stress au travail - SRM consulting 2008. Stress et burn-out : prévention et prise en charge par l’employeur. Le stress, le mal-être, la souffrance au travail peuvent être à l’origine de « pathologies psychiques », telles que le syndrome d’épuisement professionnel également appelé burn-out.

Stress et burn-out : prévention et prise en charge par l’employeur

S’il n’existe pas de recette de management « anti-stress », l’employeur doit s’interroger sur les causes et identifier les actions nécessaires à mettre en place pour diminuer les risques. Le burn-out peut être défini comme un état d’épuisement physique, émotionnel et mental, lié aux situations de travail. Selon l’OMS, il se caractérise par « un sentiment de fatigue intense, de perte de contrôle et d’incapacité à aboutir à des résultats concrets au travail ».

L’employeur est tenu d’assurer la sécurité et la protection de la santé des salariés (article L.4121-1 du Code du travail). Il s’agit pour l’employeur d’une obligation de sécurité de résultat. Un phénomène même isolé d’un salarié en situation de burn-out, peut être révélateur d’une problématique collective. Réseau d'Autodéfense Juridique collective. Souffrance au travail : ce que l'Education Nationale ne peut pas ne pas savoir... C'est une étude de 2016 faite par la Depp, la Division des études du Ministère de l'Education Nationale, qui s'appuie sur l'enquête plus globale menée par la Darès.

Souffrance au travail : ce que l'Education Nationale ne peut pas ne pas savoir...

Elle a cette particularité de comparer les risques psychosociaux des enseignants à ceux des autres cadres du privé ou du public. Les risques psychosociaux (RPS), faut-il le rappeler, sont définis comme « les risques pour la santé mentale, physique et sociale, engendrés par les conditions d’emploi et les facteurs organisationnels et relationnels susceptibles d’interagir avec le fonctionnement mental » Et les données de cette étude sont sans appel. En particulier pour les 335.000 enseignants du premier degré de l'enseignement public, parmi lesquels on comptait jusqu'à il y a peu Christine Renon, – et même si les 402.000 enseignants du second degré ne sont pas en reste dans la souffrance. « Significativement plus élevé »..... "Le manque de soutien hiérarchique" ensuite. Circulaire 18 mai 2010. Outil Sud/Solidaires : manuel anti hiérarchie.