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Santé (vrac)

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A retrospective cost-analysis of additional homeopathic treatment in Germany: Long-term economic outcomes. Science décalée : l'oxygène de l'air serait cancérogène. L'oxygène de l'air, pourtant indispensable à la vie, pourrait favoriser le cancer du poumon.

Science décalée : l'oxygène de l'air serait cancérogène

La raison évoquée : l'oxygène favorise la formation de radicaux libres qui causent des dommages aux cellules et à l'ADN. Le cancer du poumon touche surtout des fumeurs, mais 10 à 15 % des cas concernent des non-fumeurs. D'autres facteurs peuvent en effet expliquer ces cas : prédispositions génétiques, exposition à des produits cancérogènes (particules fines, amiante...). En France, en 2010, il y a eu 37.000 nouveaux cas de cancers du poumon et 28.700 décès. L'air que nous respirons contient majoritairement du diazote et du dioxygène. Moins de cancer du poumon en altitude Pour savoir si l'oxygène est cancérogène, il est possible de comparer la santé de populations vivant à différentes altitudes, puisque l'oxygène se raréfie à haute altitude. Sylvothérapie : câliner un arbre peut être dangereux. Cet article d'Olivier Hertel a été initialement publié sur le site web de Sciences et Avenir le 6 juillet 2018.

Sylvothérapie : câliner un arbre peut être dangereux

PERILS. Difficile, ces derniers temps, d'échapper à la mode de la sylvothérapie ou bain de forêt. Cette pratique qui consiste essentiellement à faire des câlins aux arbres, promet toutes les vertus aux citadins désireux de “se reconnecter avec la nature.” Mais attention, embrasser un feuillu ou un conifère n'est pas sans danger ! L'étreinte, surtout si elle est pratiquée en short et manches courtes, risque de tourner court tant les troncs abritent de nombreux périls irritants, urticants... voire mortels. Bon, bien, je vais m'y coller THREAD sur la publi du levothyrox. Global Cancer Observatory. 1.

Global Cancer Observatory

Dans quel contexte ce projet a-t-il été réalisé ? Depuis la dernière étude publiée sur la part des cancers attribuables aux facteurs liés au mode de vie et à l’environnement (2007), de nouveaux facteurs de risque de cancer ont été établis, l’exposition de la population aux facteurs de risque a changé, et de nouvelles données sont parues. Il était donc nécessaire de mettre à jour les estimations précédentes, afin de pouvoir communiquer sur l’impact des facteurs de risque de cancer sur la base d’informations scientifiques actualisées. 2.

Pourquoi estimer le nombre de cas de cancer pouvant être attribués à des facteurs liés au mode de vie ou à l’environnement ? Quackwatch - ressources sceptiques santé. Dirigé par le Dr Stephen Barrett. Les Sceptiques du Québec vous proposent une traduction du Quackwatch en français.La réalisation de ce projet, entreprise et longtemps poursuivie par le Dr John Weisnagel, est à nouveau active.Suivez ce lien pour découvrir nos nouveaux articles ! Qui sommes-nous ? Au sujet du docteur Barrett Publications disponibles Renseignements généraux Produits, services et théories de valeur douteuse. Une opération à coeur ouvert, sans anesthésique, grâce à l’hypnose ? Faux ! En Inde, contre la tuberculose, de nombreux docteurs ne sont pas au niveau. Nombre de médecins en Inde ne reconnaissent pas les signes de la tuberculose chez leurs patients et donnent un traitement inadapté ou insuffisant, selon une étude menée avec de faux patients dans deux grandes villes et publiée mardi aux Etats-Unis.

En Inde, contre la tuberculose, de nombreux docteurs ne sont pas au niveau

La tuberculose (TB), maladie transmise par voie aérienne, reste un problème de santé publique majeur en Inde, en Chine ou en Indonésie. Elle a tué 1,7 million de personnes en 2017, selon l’Organisation mondiale de la santé, et un sommet mondial lui sera consacré mercredi à l’ONU afin de lever les fonds nécessaires pour l’éradiquer. Cancer : les médecines alternatives liées à une survie moindre des patients. Éclairage sur la maladie de Lyme et ses controverses toujours d'actualité. Avec l'arrivée des beaux jours, les sorties en pleine nature se multiplient.

Éclairage sur la maladie de Lyme et ses controverses toujours d'actualité

Or c'est précisément à ce moment que les tiques sévissent en forêt comme dans les jardins publics et les prairies. En elle-même, la piqûre ne pose pas vraiment problème, mais elle est susceptible de transmettre différentes pathologies, dont la fameuse maladie de Lyme. Même si on parle de plus en plus de cette maladie infectieuse, elle n'est pas bien connue des citoyens et fait par ailleurs l'objet de controverses médiatisées impliquant professionnels de santé, chercheurs, autorités sanitaires et associations de malades. Cet article a pour but de faire le point sur l'état actuel des connaissances, alors que la Haute autorité de santé vient de publier ses nouvelles recommandations sur la maladie de Lyme. La maladie de Lyme, en bref L'infection par Borrelia à la suite d'une piqûre de tique cause des symptômes très divers après une période d'incubation très variable, allant de quelques jours à quelques semaines.

Les « médecines alternatives » ne font pas de mal… Ah bon ? Le 18 mars, une tribune a interpellé l’opinion publique sur la légitimité des « médecines » non conventionnelles, rebaptisées de façon provocante fake médecines.

Les « médecines alternatives » ne font pas de mal… Ah bon ?

Poussée par l’effervescence médiatique qui a suivi, la ministre des Solidarités et de la Santé Agnès Buzyn s’est prononcée sur la question du remboursement de l’homéopathie.

Aromathérapie

L'urine est-elle stérile ? Contrairement à une idée répandue, l'urine n'est pas un fluide stérile.

L'urine est-elle stérile ?

Même chez les personnes en bonne santé, sans infection urinaire, elle peut contenir des bactéries qui forment le « microbiote urinaire ». Lors d'une infection urinaire, il est clair que l'urine se charge de microbes, mais qu'en est-il chez une personne en bonne santé ? Alors que les tests bactériologiques ne détectent pas forcément de bactéries dans l'urine, une étude a pourtant mis en évidence des bactéries dans l'urine de femmes en bonne santé. L'urine avait été prélevée dans la vessie. Pour obtenir ce résultat, les chercheurs ont utilisé une méthode de biologie moléculaire permettant d'identifier des bactéries qui ne sont pas détectées avec les méthodes de culture habituellement utilisées pour diagnostiquer une infection urinaire.

Gluten

Comments. Lorsqu'on parle de "médecine alternative"*, on peut parfois se dire que si au pire un traitement est inefficace, au moins il ne fera pas de mal.

Lorsqu'on parle de "médecine alternative"*, on peut parfois se dire que si au pire un traitement est inefficace, au moins il ne fera pas de mal. Où est donc le problème ? D'abord, certaines thérapies "alternatives" comportent des risques, en particulier dans le cadre d'une auto-médication. Ensuite, les sommes d'argent gaspillées sont parfois conséquentes. Mais surtout, le problème vient des cas où ces techniques de soin sont vraiment considérées comme des alternatives aux traitements conventionnels, dont on peut être amené à se méfier. Elles peuvent alors venir retarder le suivi du traitement adapté, voire le remplacer. Lorsqu'il s'agit de pathologies graves comme le cancer, on comprend que c'est un jeu dangereux. En ce sens, les "médecines alternatives" tuent. Dans une publication récente [1], des chercheurs ont étudié la survie à 5 ans de 840 patients affectés par les 4 formes cancers les plus fréquentes. Le but était de comparer la survie des patients optant pour des "médecines alternatives" à celle des patients choisissant les traitements conventionnels. Mis à part pour le cancer de la prostate qui évolue lentement, le résultat est net : les patients ayant choisi les "médecines alternatives" ont vu leur risque de décès multiplié par 5,7 pour le cancer du sein, par 2,2 pour le poumon et 4,6 pour le côlon. Même s'il convient de toujours rester prudent face aux résultats d'une étude individuelle, ces conclusions sont cohérentes avec ce que l'on sait déjà. Par exemple pour le cancer du sein, le taux de survie à 5 ans sans traitement est d'environ 18% [2], alors qu'il est de 90% avec traitement dans les pays développés [3]. Il n'est donc pas surprenant que ceux qui ne suivent pas de traitement efficace multiplient leur risque de décès par 5 ou davantage. Ensuite, des études antérieures [4,5] ont déjà montré les effets parfois délétères des "médecines alternatives" chez les patients atteints du cancer (effets secondaires, délais de prise en charge, interaction avec les traitements...). * Les guillemets sont utilisés car l'expression "médecine alternative" laisse entendre qu'il y a plusieurs médecines, alors que finalement, il n'existe qu'une seule médecine : celle qui sert vraiment à guérir les gens. Voir notre article à ce sujet : [1] [2] [3] [4] [5] – zetteam

Où est donc le problème ?

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D'abord, certaines thérapies "alternatives" comportent des risques, en particulier dans le cadre d'une auto-médication. Ensuite, les sommes d'argent gaspillées sont parfois conséquentes. Mais surtout, le problème vient des cas où ces techniques de soin sont vraiment considérées comme des alternatives aux traitements conventionnels, dont on peut être amené à se méfier.

Elles peuvent alors venir retarder le suivi du traitement adapté, voire le remplacer. Rapports publiés. Mode d'action d'un antibiotique - SVT - 1ère S - Les Bons Profs. DEFENSES NON SPECIFIQUES. Défenses de l'organisme II est étonnant de constater à quel point nous sommes presque toujours bien portants malgré les microorganismes qui pullulent sur notre peau et malgré les bactéries et virus ravageurs qui grouillent dans l'air que nous respirons.

DEFENSES NON SPECIFIQUES

L'organisme semble réagir de manière plutôt catégorique aux corps étrangers : si vous n'êtes pas avec moi, vous êtes contre moi. Les deux systèmes de défense de l'organisme contre ces ennemis minuscules mais puissants sont le système de défense non spécifique et le système de défense spécifique. Le système de défense non spécifique réagit promptement pour protéger l'organisme contre toute substance ou microorganisme étrangers, quels qu'ils soient. Les défenses non spécifiques comprennent la peau et les muqueuses intactes, la réaction inflammatoire et un certain nombre de protéines élaborées par les cellules de l'organisme. Défenses non spécifiques de l'organisme 1. Cellules et substances chimiques Phagocytes Cellules tueuses naturelles. Table Ciqual 2013 Composition nutritionnelle des aliments. Histoire de la pollution de l'air - CITEPA. Détails Années (cliquer sur l'année souhaitée) : 1661 - 1667 - 1763 - 1810 - 1827 - 1839 - 1852 - 1860 - 1872 - 1883 - 1896 - 1913 - 1917 - 1920 - 1930 - 1931 - 1932 - 1934 - 1948 - 1952 - 1954 - 1956 - 1957 - 1958 - 1961 - 1962 - 1963 - 1966 - 1967 - 1968 - 1970 - 1971 - 1972 - 1974 - 1975 - 1976 - 1977 - 1979 - 1980 - 1981 - 1982 - 1984 - 1985 - 1987 - 1988 - 1989 - 1990 - 1991 - 1992 - 1994 - 1995 - 1996 - 1997 - 1998 - 1999 - 2000 - 2001 - 2002 - 2003 - 2004 - 2005 - 2006 - 2007 - 2008 - 2009 - 2010 - 2011 - 2012 - 2013 - 2014 - 2015 - 2016 Sources AEE (non daté) Sulphur dioxide : from protection of human lungs to remote lake restoration, Arne Semb : Les sites Internet des organismes concernés (CCNUCC, GIEC, OMM, OMS, CEE-NU, OMI, NOAA, etc.)Les travaux de Svante Arrhénius : (1995) Evolution de la couche d'ozone par Rumen D.

Histoire de la pollution de l'air - CITEPA

Les chimiothérapies n’ajoutent que 2 % au taux de survie après cinq ans ? Plutôt faux. Quelle est la source de la controverse ? Josée Blanchette, chroniqueuse au Devoir et auteure d’un livre né de son expérience personnelle avec le cancer, Je ne sais pas pondre l’œuf, mais je sais quand il est pourri , a affirmé lors de son passage à l’émission Tout le Monde en parle du 2 octobre 2016 que les chimiothérapies, prises dans leur ensemble, ne contribueraient au rehaussement de la longévité des personnes atteintes de cancer qu’à un taux d’un peu plus de 2 %. Ce chiffre (également cité dans son livre, en page 38) provient d’une étude australienne publiée en décembre 2004 dans la revue Clinical Oncology, une étude dont la validité lui aurait été confirmée par des chercheurs qu’elle a consultés. Cette étude est aussi abondamment citée par des blogues et sites web consacrés à dénigrer la chimiothérapie, comme en témoignait en 2011 l’éditeur du site Science Based Medicine, David Gorski.

Pourtant, dès sa publication, sa méthodologie et ses conclusions ont été contestées. Michel de lorgeril. Parmi les aliments riches en cholestérol on trouve notamment les œufs, le foie de veau, la langouste et les crevettes. Une langouste quotidiennement n’est pas à la portée de toutes les bourses mais ce n’est pas le cas des œufs. Et pourtant depuis près de 50 ans, les recommandations des nutritionnistes vont dans le sens d’une diminution de la consommation d’oeufs selon le prétexte que les œufs augmentent le taux de cholestérol sanguin et que c’est mauvais pour la santé. Par exemple aux USA la consommation d’oeufs n’a cessé de chuter depuis les années 50 à la suite de recommandations répétées d’experts en nutrition et métabolisme : C’est une véritable révolution qui se prépare aux USA avec la prochaine publication des « Dietary Guidelines » émises par le comité fédéral qui s’occupe de nutrition et émet des recommandations que naturellement tout citoyen (ou presque) suit à la lettre.

Source : Washington Post. Choc toxique : pourquoi la coupe menstruelle et les tampons bio sont mis en cause ? C'est une histoire sans queue ni tête et, surtout, sans vagin. En octobre 2016, le Dr Gérard Lina, un praticien hospitalier du Centre national des hospices civils de Lyon alertait sur la recrudescence du nombre de cas de syndrome du choc toxique (SCT), cette maladie très rare mais très grave liée au port du tampon périodique : de 4 cas répertoriés en 2004, on était en effet passés à 19 en 2016. Pour comprendre ce qui avait pu causer cette recrudescence, le Dr Lina a lancé en 2016 une collecte de tampons usagés en vue d'une étude scientifique. 3000 femmes ont répondu à l’appel, et 700 tampons de diverses marques et types ont pu être récoltés.