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Élevage ; Pâturages ; Forêts ; CO2

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Red seaweed (Asparagopsis taxiformis) supplementation reduces enteric methane by over 80 percent in beef steers. The red macroalgae (seaweed) Asparagopsis spp. has shown to reduce ruminant enteric methane (CH4) production up to 99% in vitro.

Red seaweed (Asparagopsis taxiformis) supplementation reduces enteric methane by over 80 percent in beef steers

The objective of this study was to determine the effect of Asparagopsis taxiformis on CH4 production (g/day per animal), yield (g CH4/kg dry matter intake (DMI)), and intensity (g CH4/kg ADG); average daily gain (ADG; kg gain/day), feed conversion efficiency (FCE; kg ADG/kg DMI), and carcass and meat quality in growing beef steers. Twenty-one Angus-Hereford beef steers were randomly allocated to one of three treatment groups: 0% (Control), 0.25% (Low), and 0.5% (High) A. taxiformis inclusion based on organic matter intake.

Steers were fed 3 diets: high, medium, and low forage total mixed ration (TMR) representing life-stage diets of growing beef steers. Fao. Controverses liées à l’élevage – Anthropogoniques. L’élevage est accusé de générer une pollution et une charge sur les ressources terrestres très importantes.

Controverses liées à l’élevage – Anthropogoniques

La question est complexe, les défenseurs de l’élevage accusant ses détracteurs d’oublier la complexité des relations élevage/milieu : entretien des territoires, maintien de milieux ouverts, contribution à la fertilisation organique des cultures végétales, captation de carbone, valorisation d’aliments non consommables par les humains et de déchets agricoles, importance des produits animaux dans les pays en développement, etc. Pour les questions plus spécifiquement liées à la souffrance animale comparée des systèmes d’élevage et des systèmes de production végétale, voir la page Agriculture et souffrance animale 1. Impact écologique de l’élevage 2. Comparaison élevage / herbivores sauvages3. Impact écologique de l’élevage. Carrying capacity of U.S. agricultural land: Ten diet scenarios. Alimentation 100 % végane : la fausse bonne idée pour sauver la planète. Stocker 4 pour 1000 de carbone dans les sols français. Pourquoi stocker plus de carbone dans nos sols ?

Stocker 4 pour 1000 de carbone dans les sols français

Dans un contexte d’urgence climatique, le cap de 4 ‰, fixé pour neutraliser l’augmentation annuelle du carbone atmosphérique vient compléter l’objectif principal qui reste de réduire nos émissions de gaz à effet de serre. Les sols qui contiennent le plus de carbone c’est-à-dire de matière organique, sont les plus fertiles. L’initiative est ainsi favorable à l’environnement comme à l’agriculture et à la sécurité alimentaire mondiale. Comment faire pour augmenter ce stock en France ? L’étude menée par l’Inra a tout d’abord identifié, les pratiques agricoles et forestières favorables au stockage du carbone dans les sols, qui sont compatibles avec l’agroécologie.

Ces nouvelles connaissances ont pour vocation d’éclairer les politiques publiques et ont été restituées et discutées lors d’un colloque le 13 juin 2019. Quelques idées fausses sur la viande et l’élevage. Les généralisations abusives Elles consistent à mettre toutes les formes d’élevage « dans le même panier ».

Quelques idées fausses sur la viande et l’élevage

Par exemple, les émissions de gaz à effet de serre sous forme de méthane sont parfois attribuées à l’élevage en général, alors qu’elles concernent essentiellement les « rots » des ruminants. La matière organique des sols et le stockage du carbone : Observation et statistiques. Les matières organiques du sol assurent de nombreuses fonctions agronomiques et environnementales.

La matière organique des sols et le stockage du carbone : Observation et statistiques

Elles jouent un rôle de tampon vis-à-vis des autres milieux (flore et faune, milieux aquatiques, air, sous-sol) et participent au cycle des gaz à effet de serre. Elles améliorent la fertilité, l’aération, la réserve en eau et la biodiversité du sol. Elles limitent la compaction et l’érosion hydrique et favorisent le piégeage des métaux toxiques ou des micropolluants organiques. Elles proviennent de la transformation des débris végétaux par les organismes vivants, essentiellement les micro-organismes.

Composées de 58 % de carbone organique en moyenne, elles libèrent du dioxyde de carbone (CO2) et des composés organiques en se décomposant sous l’influence du climat et des conditions ambiantes du sol. Télécharger la carte au format pdf Télécharger la carte au format pdf Télécharger la carte au format pdf Pour mieux comprendre. Ne suffit-il pas de planter des arbres pour compenser les émissions ? Ce serait trop dur de limiter nos émissions ?

Ne suffit-il pas de planter des arbres pour compenser les émissions ?

Augmentons la capacité de la planète à les récupérer ! C’est ainsi que les forêts reviennent périodiquement sur le devant de la scène, à cause de toutes les vertus qu’il y aurait à les prendre en compte comme moyen de compenser les émissions de gaz carbonique liées aux activités humaines. Comme d’habitude, le Diable est dans la règle de trois : peut-on se fixer les idées sur les ordres de grandeur en présence ? Tout une forêt n’est pas un puits de carbone quelles que soient les conditions. Elle est évidemment un puits de carbone quand elle est jeune et qu’elle remplace un sol agricole. Et quand la forêt est arrivée à maturité (cas des forêts qui ont dépassé le siècle, en gros), avec des arbres qui meurent et des arbres qui poussent, alors elle émet à peu près autant de CO2 qu’elle n’en absorbe.

Contenus approximatifs en carbone par hectare de divers types d’écosystèmes. Source : GIEC, 2001 Volumes de bois par hectare en Europe. Effet de serre : les pâturages piègent le carbone. 09/03/2010 - Article Les forêts ne sont pas les seuls écosystèmes capables de piéger du carbone.

Effet de serre : les pâturages piègent le carbone

Les pâturages pourraient également être de bons candidats. Pour quantifier leur capacité de stockage du carbone, des mesures sont actuellement en cours en Guyane grâce à deux tours à flux installées dans des prairies. Ils sont dans le collimateur ! Les ruminants sont accusés de contribuer à l’effet de serre notamment par leurs émissions de méthane qu’ils rejettent par leurs rots.