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Réhabiliter le conflit pour mieux vivre

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Questiologie

La gestion des conflits dans les organisations. L’idée de conflit rayonne sur de nombreuses notions mentionnées dans les programmes de première et de terminale.

La gestion des conflits dans les organisations

Cette influence dévoile l’importance de la maîtrise du conflit dont les conséquences peuvent être fatales pour l’organisation. Notions du programme de première en relation avec le sujet : Les facteurs du comportement (facteurs psychologiques) La dynamique comportementale (perception, sensations, attitude et comportement) La communication (construction du sens, écoute active, importance du contexte, influences) Organisation (efficacité organisationnelle) Notions du programme de terminale en relation avec le sujet : Le groupe et la dynamique du groupe (cohésion, décision, leadership…) La communication (informelle, organisée…) Les conditions de travail (taux d’absentéisme, de rotation, stress…) La performance (individuelle ou collective) Introduction : Avant de commencer cette étude sur la gestion des conflits dans les organisations, il faut correctement délimiter notre sujet.

I. 1. Le vieil homme et le cheval. Ou comment s’y prendre pour ne plus souffrir inutilement ?

Le vieil homme et le cheval

Marc-Aurèle[1] nous explique « Si tu t’affliges pour une cause extérieure, ce n’est pas elle qui t’importune, c’est le jugement que tu portes sur elle. Or ce jugement, il dépend de toi de l’effacer à l’instant. » Si nous nous inquiétons à propos d’une chose qui ne dépend pas de nous, ce n’est pas la chose qui ne dépend pas de nous qui nous inquiète mais la manière dont nous interprétons cette chose.

Et Marc-Aurèle de conclure : « Ne dis rien de plus à toi-même que ce que directement t’annoncent les représentations. » Autrement dit il nous faut apprendre à discerner les faits de l’interprétation que nous leur donnons car – le plus souvent – c’est l’interprétation que nous donnons aux faits qui est pour nous cause de souffrance et non pas les simples faits eux-mêmes. Un vieil homme, qui vivait dans un village, n’avait plus de famille, excepté un jeune homme qui était son petit-fils.

Un jour, cependant, le cheval se perdit. . « Ah ! Nos quatre besoins vitaux. Civilisation, mal-être et Thérapie Sociale par Charles Rojzman. Le XXème siècle a vu réapparaître la barbarie sous des formes à la fois anciennes et inédites.

Civilisation, mal-être et Thérapie Sociale par Charles Rojzman

Dans son fameux dialogue avec Einstein, « Pourquoi la guerre ? », Freud n’a pas su véritablement donner les réponses à ce qu’il considérait comme la grande question pour l’avenir de l’humanité. Mais il a laissé entrevoir qu’elles découleraient de l’étude et de la compréhension des pathologies collectives. Comme lui, face à l'inhumanité, nous nous sentons souvent impuissants et, comme lui, nous voyons qu’il est urgent de trouver des moyens concrets de prévention et de guérison de ces pathologies collectives.

Les obstacles individuels et collectifs au vivre ensemble A partir de l’observation que j’ai tirée de mon expérience de psychothérapeute social, avec des individus et surtout des groupes, j’ai constaté l’ambivalence de l’être humain. Importance de l’environnement En fait, il s’agit de créer un environnement affectif et collectif qui soit le moins pathogène possible. L’intelligence collective. Thérapie sociale. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Thérapie sociale

La Thérapie sociale est une pratique d'analyse en groupes conceptualisée par Charles Rojzman. Définition[modifier | modifier le code] Selon Charles Rojzman, qui est un praticien de l'action sociale depuis les années 1980, il s'agit à la fois d'une pensée, d'une pratique et d'une pédagogie[1]. Le mythe de la peur de l'autre  Charles Rojzman est un des contributeurs du réseau TEDxVaugirardRoad.

Le mythe de la peur de l'autre 

TEDxVaugirardRoad est un événement sous licence TED résolument centré sur l'humain. Retrouvez en l'actualité sur TEDxVaugirardRoad.com Deux expressions sont devenus banales aujourd'hui et sont l'expression d'une mythologie de l'époque : le vivre-ensemble et la peur de l'Autre. On ne doit pas discuter de la nécessité de vivre ensemble - avec nos différences ajoute-t-on volontiers - et on doit combattre les démagogues d'extrême-droite qui, selon une autre expression consacrée, "surfent sur les peurs", sur la "peur de l'Autre". Haro donc sur ces mauvais et méchants esprits qui répandent la peur du différent, de l'étranger, du Rom, du musulman, du jeune de banlieue ! Ainsi on déclara que les "autres"- ex-colonisés, habitants des pays du tiers-monde, immigrés, clandestins ou non, ne devaient en aucun cas faire peur car ils étaient, tout comme les victimes de la barbarie nazie, innocents par essence.

Envoyer une correction. Les mots du conflit - Charles Rojzman à TEDxVaugirardRoad 2013. Institut Charles Rojzman.