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Médecine et corps humain

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Mal aux dents quand vous mangez froid ? Les scientifiques savent désormais pourquoi. L’émail qui constitue la couche externe des dents en fait les structures les plus dures du corps humain.

Mal aux dents quand vous mangez froid ? Les scientifiques savent désormais pourquoi

Pourtant, alors même qu’elles sont capables de broyer le nougat le plus dur sans que nous ressentions la moindre douleur, il n’en va pas de même avec le froid : certains d’entre nous peuvent grimacer de douleur en dégustant une simple glace. Les mécanismes à l’origine de cette douleur, qui n’est pas soulagée par les analgésiques classiques, ont été récemment identifiés. Quels sont-ils ? Quelle est la partie des dents qui détecte le froid ? Les dents sont constituées de différents tissus. Sous l’émail se trouve la dentine, également très résistance (elle est constituée de 70 % de cristaux d’hydroxyapatite). La dentine entoure la partie la plus tendre et la plus délicate de la dent : la pulpe dentaire, qui abrite les terminaisons nerveuses et les vaisseaux sanguins. Pourquoi ne pouvons-nous pas développer des vaccins contre tous les microbes qui nous rendent malades ? L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime que la vaccination prévient à elle seule chaque année environ 3 millions de décès dans le monde.

Pourquoi ne pouvons-nous pas développer des vaccins contre tous les microbes qui nous rendent malades ?

C’est, avec l’accès à l’eau potable, la mesure de santé publique qui a le plus grand impact en termes de réduction de la mortalité. En quelques mois, ils ont pu être testés chez l’animal et validés par des essais cliniques chez l’être humain, ce qui constitue un record absolu dans l’histoire de la vaccination moderne. Auparavant, on considérait qu’il fallait en moyenne 8 ans pour disposer d’un vaccin efficace et sûr. Comment s’explique ce succès ?

Annonce-t-il une nouvelle révolution vaccinale, qui permettrait de développer des vaccins contre n’importe quel agent pathogène ? Vaccins Covid-19 : la recette d’un succès Cette stratégie du « tout en même temps », financièrement très coûteuse et risquée, n’a été possible que grâce à un investissement massif de la part des États. Des succès, mais aussi de nombreux échecs. Si nous ne nous développons plus dans une coquille, c’est grâce aux virus. Alors que des microparticules de plastiques viennent d’être détectées dans des placentas humains, revenons sur la formation de cet organe aux fonctions essentielles chez les mammifères.

Si nous ne nous développons plus dans une coquille, c’est grâce aux virus

Les mammifères ne pondent pas d’œuf. Enfin, pas tous les mammifères puisque l’ornithorynque et les échnidés font figure d’originaux en persistant à pondre des œufs, avec un développement embryonnaire qui se réalise à l’abri d’une coquille. Comment les mammifères que l’on appelle euthériens ou placentaires ont-ils perdu leur coquille ? L’histoire serait vieille de plus de 150 millions d’années : les ancêtres des mammifères, qui pondaient des œufs, ont attrapé « un virus ». Le matériel génétique de ces ancêtres a intégré des séquences génétiques de virus. D’origine à la fois maternelle et embryonnaire, le placenta exerce des rôles métaboliques essentiels au développement de l’embryon. L’invention du placenta : les syncytines Comment se forme un placenta ? Coups de pouce rétroviraux : exaltante exaptation. Sciences et technologie - Les animations des Fondamentaux - Réseau Canopé. Créer de nouveaux vaisseaux sanguins avec des algues comestibles.

Lorsque nous avons de petites blessures sur la peau ou les muscles, elles peuvent généralement guérir d’elles-mêmes.

Créer de nouveaux vaisseaux sanguins avec des algues comestibles

Mais pour les plaies plus profondes, comme celles qui surviennent chez les patients diabétiques ou qui touchent le tissu musculaire après une crise cardiaque, la réparation est plus difficile. Ce genre de problème nécessite souvent des traitements plus importants et peut éventuellement nécessiter une amputation ou une transplantation si la guérison n’est pas complète. Bien que les greffes d’organes sauvent des vies, nous n’avons pas assez d’organes disponibles pour soigner tous les patients, et nous devons trouver d’autres méthodes. Des technologies telles que la bio-impression ont été proposées pour construire à l’extérieur du corps des organes entièrement opérationnels.

Mais si nous pouvions améliorer nos propres capacités de régénération, que se passerait-il ? Que sont les thérapies régénératives ? Se servir du corps comme d’usine de fabrication Thérapies de la future.