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Axe 2 Avancées et reculs des démocraties

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La démocratie libérale naît en Europe et aux Etats -Unis au XIXème s
Pas un triomphe définitif
Dès cette période , débats et surtout craintes
Cf.

Tocqueville qui souligne d’emblée ses fragilités (Estelle)

Au XXième siècle, des démocraties qui se mettent en place mais aussi des démocraties malmenées , détruites
⇒ avancées et reculs

Rien n'est jamais acquis

I La difficile démocratisation de l’Amérique latine : l’exemple du Chili
II Les avancées démocratiques en Europe : l’exemple de l’Espagne et du Portugal
III Les nouvelles menaces.

Axe 2 / Jalon 2 Crises et fin de la démocratie : le Chili de 1970 à 1973.

A l'envers... La Transition de l'Espagne vers le franquisme. L'Espagne aujourd'hui avec l'extrême-droitisation de son échiquier politique (PSOE, si, si, 155 sur 155, bien reçu, sur la Catalogne, PP, Ciudadanos) désormais polarisé par les ultras néofranquistes de Vox... voilà, par le dessin ci-dessous, une parabole humoristique de la régression (1) politique de la démocratie espagnole qui n'a jamais rompu le lien avec la dictature dont elle est née (la preuve par la monarchie mais aussi par la justice, la police, les capitalistes qui se sont, un long temps, convertis "démocrates" mais, crise de légitimité oblige, redécouvrent leur violent refoulé "préconstitutionnel"...). (1) Régression se dit regresión en espagnol, mot qui est de la même famille que regreso (retour).

A l'envers... La Transition de l'Espagne vers le franquisme

Résonance philologique qui redouble le sens en espagnol de ce qui est dessiné ici : le retour de la démocratie, qui résonne en espagnol comme régression, au franquisme ... de ses origines... En transition... soit sans rupture ! Traduction du texte du dessin : Le moment - Tu vois ?

Axe 2 / Jalon 3 - D’un régime autoritaire à la démocratie : le Portugal et l’Espagne de 1974 à 1982

Axe 2 / Jalon 1 L'inquiétude de Tocqueville : de la démocrtie à la tyrannie? Une analyse politique. L’invraisemblable exposition de « SuperPoutine » à Moscou. Turquie : le culte Erdogan. La montée des populismes en Europe : quelles analyses et actions concrètes ? (203) MQV : "Populaire" et "populiste", quelle différence? (203) Populisme, la vague. (203) Le populisme, solution au mal-être démocratique ? - 28 minutes - ARTE. Le populisme pour les nuls. Temps de lecture: 4 min Le populisme n’est pas une idéologie: c’est une stratégie visant à obtenir et à conserver le pouvoir.

Le populisme pour les nuls

Il existe depuis des siècles, mais ces derniers temps il refait surface avec une vigueur renouvelée, alimenté par internet et les frustrations de sociétés dépassées par les changements, une économie précaire et la menaçante insécurité d’un avenir incertain. Si les dirigeants populistes et les pays qu’ils gouvernent ont chacun leurs particularités, les ingrédients sont partout les mêmes. Les stratégies du populisme mènent le jeu aujourd’hui dans la Russie de Vladimir Poutine et dans l’Amérique de Donald Trump, dans la Turquie de Recep Tayyip Erdogan et dans la Hongrie de Viktor Orban, et dans d’autres pays encore.

Et tous ont en commun les mêmes tactiques: 1.Diviser pour régner Les dirigeants populistes qui connaissent le plus de succès sont ceux qui sont passés maîtres dans l’art d’exacerber les divisions socioculturelles et les conflits politiques. Pologne, Hongrie... ces démocraties « illibérales » qui remettent en cause l’Etat de droit. Il fait si chaud, en ce jour de juillet 2014, que Viktor Orban a troqué son costume-cravate pour une chemisette bleu ciel à col Mao. L’allocution qu’il prononce alors dans la petite ville transylvanienne de Baile Tusnad n’a pourtant rien d’un aimable discours estival : devant ses partisans, le chantre de la « révolution nationale » hongroise revendique haut et fort un mot qui fleure bon la tentation autoritaire : « illibéralisme ».

Le nouvel Etat que nous construisons en Hongrie, proclame le premier ministre, n’est ni un Etat-nation, ni un Etat libéral, ni un Etat-providence : il est « illibéral ». Fareed Zakaria, pourfendeur de la « démocratie illibérale » Portrait.

Fareed Zakaria, pourfendeur de la « démocratie illibérale »

C’est un être gourmand qui nous attend – gourmand avant tout de géopolitique. Fareed Zakaria est l’une des stars de la chaîne d’information continue CNN, mais il est aussi un auteur américain connu pour s’être montré prescient : dans les années 1990, il a créé le concept de « démocratie illibérale » pour décrire les régimes où le vote a permis d’élire des dirigeants qui s’en prennent durement aux libertés et à l’état de droit. Mais Fareed Zakaria est également gourmand de bonne chère.

A Paris, il est d’une certaine manière chez lui. « Je suis un amoureux de la cuisine française. Il y a ici un niveau de sophistication dans la gastronomie que l’on ne trouve nulle part ailleurs. » Il se revendique disciple de Jacques Pépin, chef personnel du général de Gaulle à la fin des années 1950, qui a, par la suite, eu une longue carrière télévisuelle aux Etats-Unis. « Quand j’étais étudiant, je regardais ses émissions pour connaître les techniques de base. » Crise à LFI... Qu'est-ce que le populisme de gauche?

Crise interne à LFI... et ‘populisme de gauche’.

Crise à LFI... Qu'est-ce que le populisme de gauche?

‘Populisme de gauche’, c’est la notion qui est au cœur de la controverse qui mine LFI. Notion théorisée par la philosophe belge Chantal Mouffe et qui a structuré l’intuition qu’avait eue JL Mélenchon à la fin des années 2000. Depuis l’expérience Tony Blair et la conversion des sociaux-démocrates au libéralisme, le clivage gauche/droite s’était dilué dans ce que la philosophe appelle ‘l’illusion du consensus’. La crise des subprimes de 2008 a rebattu les cartes. On entrait (du fait du discrédit des élites) forcément dans ‘un moment populiste’. Tout le monde à LFI épousait cette stratégie D’autant qu’elle était étayée par des exemples étrangers prometteurs.