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2o12 partie 1

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Tordères : commune autogérée, mode d'emploi - Marion Dumand. Tordères est connu pour sa démocratie participative. Comment le projet et l’équipe municipale se sont-ils constitués ? Aux dernières élections, le maire sortant en avait ras la casquette, et le précédent (qui était resté 14 ans à la mairie), plutôt procédurier et bétonneur, voulait y retourner.

On a alors organisé une grande réunion publique, ouverte à tous, même aux enfants et aux ados. On n’a pas réfléchi à qui était de droite, qui était de gauche, même s’il faut bien avouer que la majorité du village vote à gauche. Nous voulions d’abord décider ensemble de ce que nous souhaitions défendre et ensuite déterminer qui serait candidat, disposé à défendre le bien commun et pas ses propres intérêts. Très vite, des idées essentielles se sont imposées, quant à la constitution de la liste et au fonctionnement de l’équipe municipale : 1.

Comment se sont déroulées les élections ? Quelles priorités pour le village ? Comment les habitants participent-ils à la prise de décision ? Un dernier mot ? Le Magazine Littéraire : l'actualité des livres, des critiques et des écrivains. Voix du temps, par Eduardo Galeano. Le soleil. — Quelque part en Pennsylvanie, Anne Merak travaille comme assistante du soleil. Du plus loin qu’elle se souvienne, elle a toujours occupé ce poste. Tous les matins, Anne lève les bras et pousse le soleil pour qu’il surgisse dans le ciel ; et tous les soirs, elle baisse les bras pour le coucher à l’horizon. Elle était toute petite lorsqu’elle s’est attelée à cette tâche et elle n’y a jamais failli. Il y a un demi-siècle, on l’a déclarée folle. Ils n’ont jamais pu la guérir. Encore heureux. Le banquier modèle. — John Pierpont Morgan était propriétaire de la banque la plus puissante du monde et de quatre-vingt-huit autres entreprises.

Comme c’était un homme très occupé, il avait oublié de payer ses impôts. Il n’avait rien déclaré depuis trois ans, depuis la crise de 1929. La nouvelle souleva la colère des foules ruinées par le krach de Wall Street et provoqua un scandale à l’échelle nationale. Ce fut un échec. — S’il vous plaît, docteur, pourriez-vous me prendre le pouls ? Norman Spinrad. Norman Richard Spinrad (born September 15, 1940) is an American science fiction author, essayist, and critic.[1] His fiction has won the Prix Apollo and been nominated for numerous awards, including the Hugo Award and multiple Nebula Awards.[2] Born in New York City, Spinrad is a graduate of the Bronx High School of Science.

In 1957 he entered City College of New York and graduated in 1961 with a Bachelor of Science degree as a pre-law major.[3] He has lived in San Francisco, Los Angeles, London, Paris, and New York. He married fellow novelist N. Lee Wood in 1990; they divorced in 2005. [citation needed] Spinrad served as President of the Science Fiction and Fantasy Writers of America (SFWA) from 1980 to 1982 and again from 2001 to 2002. [citation needed] He has also worked as a radio phone show host, a vocal artist, a literary agent, and President of World SF.

Characteristics[edit] How much science fiction is being published now that's set in worlds that are better than ours? Novels[edit] Ray Bradbury, l'homme qui aimait la fiction, pas la science. Légende de la science-fiction, l'écrivain américain Ray Bradbury, dont la famille a annoncé mercredi le décès à 91 ans, était un poète inquiet de la survie spirituelle de l’humanité face au matérialisme de la société. Il est notamment le père de classiques du genre comme Fahrenheit 451 (1953), inspiré par les autodafés nazis de livres écrits par des juifs, ou encore Chroniques martiennes (1950), sur les risques de déshumanisation face à l’avancée des sciences. Interrogé sur son processus créatif, il répondait que «l'écriture s’apparente à un noyau de passion enrobé d’une coquille d’intelligence», celle-ci ne devant «servir qu'à s’assurer qu’on ne fait pas de grosses bêtises».

«Dans la vie, comme dans l'écriture, il faut agir par passion: les gens voient que vous êtes honnête et vous pardonnent beaucoup», soulignait-il. Presque paradoxalement, il se révélait aussi dans cet entretien peu féru de technologie: «Nous avons trop de téléphones portables, trop d’internet. Les mille discours de Sarkozy. Les mille et un discours de Sarkozy (II. Archive du blog » Dix questions à … Jean-Pierre Levaray. Jean-Pierre Levaray fait partie de ces plumes que l’on aime bien au Jacoblog. Non pas parce qu’il a les mains calleuses de l’ouvrier. Non pas parce qu’il est un actif et inlassable militant syndical, associatif et politique. Non pas parce qu’il décrit une réalité vue de la France d’en bas. Mais bien parce qu’enfin, lorsqu’il nous écrit de l’usine ou d’ailleurs, ses mots font mouche systématiquement. C’est peu dire que son Putain d’usine, sorti en 2002 chez L’Insomniaque, a constitué un coup de tonnerre.

. •1) Dans tes écrits se dégage souvent une impression d’écrasement de l’homme par le système et la machine. Ce sentiment d’écrasement, ça s’appelle l’Aliénation. Mémoire de vaincus ? Le syndicalisme est un outil dont on a besoin au quotidien sur son lieu de travail, mais il n’est plus que très rarement un instrument de combat. Parce que c’est comme ça. . •3) Ne nous écris-tu que de l’usine ? Pour l’instant, je n’ai envie d’écrire que de l’usine. Mon parcours militant, oups !

Loading ... La guerre qui ne dit pas son nom. « La légitimité des interventions occidentales diminue aux yeux d’une grande partie de l’opinion internationale », reconnaissent les organisateurs de ce colloque. Un rejet qui « vient en partie de la perception accrue d’un grand écart politique entre une moralisation affichée des motivations à intervenir, et la réalité d’une défense plus prosaïque des intérêts économiques et politiques occidentaux et/ou nationaux ». La guerre faisait figure jadis de matrice de l’histoire.

Elle était glorifiée à l’occasion par des philosophes (Hegel) ou des hommes politiques (Churchill). Longtemps, la perception de la guerre comme affrontement codifié d’armées comparables avait fait l’objet d’un large consensus au sein des puissances comme des opinions. Qualification pudique Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Super nounou En outre, un courant antimilitariste persiste, ancré dans les tréfonds de la société (et puisant dans les anciennes traditions de la gauche, mais pas seulement). Monde tragique Hors de vue. Le grand oeuvre des mercenaires. La Mercenary International Corporation recrute. Créée en 2008 par Emeric Lhuisset, un jeune artiste français, cette vraie-fausse société militaire interroge notre rapport à la sécurité.

Une incursion fictionnelle et artistique dans le monde clos du mercenariat. Voulez-vous gagner de 50 000 à 200 000 dollars par an ou plus, travailler dans des lieux exotiques autour du monde ? La Mercenary International Corporation a les meilleures propositions du marché pour les gens qui ont une expérience du combat et recherche des métiers à hauts risques dans des zones de guerre. L’annonce a essaimé sur les réseaux à partir de juin 2011.

Postulez et partez dans une des destinations de votre choix : Afghanistan, Soudan, Israël, Colombie, Liberia, Irak, Côte d’Ivoire, Somalie, le Pacifique sud et bien d’autres destinations à travers le monde ! Elle émane de la Mercenary International Corporation (MIC), une SMP créée en France en 2008. Son créateur plutôt. CV de mercenaires L'équipe M.I.C à la FIAC. L’adolescent et la lecture, supports et pratiques nouvelles. A l’occasion de la deuxième édition du colloque Métamorphoses numériques du livre, Olivier Donnat a commenté l’enquête qu’il a dirigé sur les Pratiques culturelles des français à l’ère numérique1. Les résultats permettent de différencier nettement une tranche de la population qui suscite tout à la fois attentions et interrogations.

Première génération à maitriser avec acuité les possibilités du numérique, les teenagers sont en effet devenus leaders d’opinion et dictent les stratégies marketing des entreprises de produits de consommation comme la mode. Mais dans le secteur du livre, les politiques culturelles ont choisi de privilégier l’enfance, au détriment des jeunes adultes.

Pourtant si les 12-15 ans délaissent inexorablement le livre imprimé au profit d’autres pratiques culturelles et supports, le décrochage de la lecture n’est ni une fatalité ni même une certitude. La lecture n’est plus un marqueur social Pour aller plus loin: Ce qu’on lit dans les entrailles juridiques du Huffington Post… La déclinaison française du Huffington Post a été à peine lancée lundi que déjà des critiques vigoureuses ont fusé, à propos notamment du statut particulier des blogueurs-contributeurs invités qui ne seront pas rémunérés. D’autres critiques ont ciblé le fait que ces blogueurs sont constitués pour l’instant de personnalités VIP sélectionnées par la rédaction du Huffington Post français, sans que les internautes aient la possibilité d’ouvrir un blog lié au site, alors qu’ils sont plus de 9000 à contribuer ainsi à la version américaine.

Je m’étais déjà intéressé pour ma part dans un billet précédent au modèle juridique très particulier du Huffington Post et à la manière dont il exploitait les User Generated Content, produits par ses contributeurs. C’est cet aspect qui avait d’ailleurs fait grand bruit l’année dernière lorsque des blogueurs du Huffington Post américain avait formé une action collective pour protester contre la revente du site au groupe AOL. Bistouri ! Knitted alien autopsy. Pierre Bourdieu - L'Economie Sociale. Bourdieu aujourd'hui: entretien avec le philosophe des sciences, Ronan de Calan.

Bourdieu aujourd'hui: entretien avec l'historien, Blaise Wilfert-Portal. Bourdieu aujourd'hui: entretien avec le sociologue Geoffroy de Lagasnerie. « Sarkozy sous BHL » Interview de Jacques Vergès et Roland Dumas | Afriqueasie. La femme à barbe, le cracheur de feu et Alain Juppé Vergès 19 12 2011. France Culture - (ré)écouter - Lundi 2 Janvier 16:17:48. Reniements européens : la prise de pouvoir de la finance, par Michael Hudson (III/III) Reniements européens : la prise de pouvoir de la finance, par Michael Hudson (III/III) « Pour les banques, la stratégie rencontrant la moindre résistance consiste à entretenir l’illusion suivante : il n’y aurait aucune nécessité qu’elles soient tenues d’accepter de subir des pertes sur les dettes qu’elles ont créées, même si leur poids les rend irrécouvrables.

Les créanciers affirment en tous temps que la charge de la dette est supportable à condition que les gouvernements réduisent tout simplement leurs dépenses, en augmentant dans le même temps les impôts des ménages et des entreprises non financières. » Accepter de pressurer les sociétés pour rembourser une masse de dettes privées, puis la crise venue, publiques, n’a aucune justification morale, ni économique, juge Michael Hudson. Par Michael Hudson, Frankfurter Allgemeine Zeitung, 6 décembre 2011 L’une des trois caractéristiques définissant un État-nation est le pouvoir de battre monnaie. Les gros poissons mangent les petits. Reniements européens : une banque centrale incapable d’agir comme telle, par Michael Hudson (II/III)

Reniements européens : une banque centrale incapable d’agir comme telle, par Michael Hudson (II/III) « Si l’euro éclate, c’est en raison de l’obligation faite aux Etats de payer les banquiers avec de l’argent qui doit être emprunté plutôt que créé par leur propres banques centrales. Contrairement aux États-Unis et à la Grande-Bretagne qui peuvent créer du crédit sur les claviers d’ordinateur de la banque centrale afin d’éviter la récession ou l’insolvabilité, la Constitution allemande et le traité de Lisbonne empêchent la banque centrale de procéder ainsi. » Pour Michael Hudson, la privatisation totale de la fonction monétaire concédée en Europe est un élément central de l’analyse de la situation : la rigueur budgétaire présentée aujourd’hui comme inévitable n’a de sens que parce que les Etats européens - à contrario des autres puissances mondiales - se sont privés de leur pouvoir régalien monétaire. Par Michael Hudson, Frankfurter Allgemeine Zeitung, 6 décembre 2011 (à suivre...)

L’heure du reniement des social-démocraties européennes, par Michael Hudson (I/III) L’heure du reniement des social-démocraties européennes, par Michael Hudson (I/III) « La meilleure façon de comprendre la crise financière de l’Europe c’est d’observer les solutions proposées pour la résoudre. Elles dessinent un rêve de banquier, un paquet cadeau que peu d’électeurs pourraient approuver lors d’un référendum démocratique. » Michael Hudson reprend à son compte les concepts de l’économie classique pour développer une critique radicale de notre moment historique : toute rente, toute extraction de richesse permise au détriment du corps social par une position privilégiée, fut-elle assise comme hier sur la noblesse terrienne, ou comme aujourd’hui par le privilège monétaire des banques et une répartition distordue des revenus (générateurs de dette, d’abord privée, puis publique), est un coût social injustifiable, dont l’acceptation remet en cause les fondements même de la démocratie - tout comme l’ « efficacité » économique.

Pourtant, une alternative existe bien. (à suivre...)