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2o12 partie 1

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Tordères : commune autogérée, mode d'emploi - Marion Dumand. Tordères est connu pour sa démocratie participative.

Tordères : commune autogérée, mode d'emploi - Marion Dumand

Comment le projet et l’équipe municipale se sont-ils constitués ? Aux dernières élections, le maire sortant en avait ras la casquette, et le précédent (qui était resté 14 ans à la mairie), plutôt procédurier et bétonneur, voulait y retourner. On a alors organisé une grande réunion publique, ouverte à tous, même aux enfants et aux ados. Le Magazine Littéraire : l'actualité des livres, des critiques et des écrivains. Voix du temps, par Eduardo Galeano. Norman Spinrad. Norman Richard Spinrad (born September 15, 1940) is an American science fiction author, essayist, and critic.[1] His fiction has won the Prix Apollo and been nominated for numerous awards, including the Hugo Award and multiple Nebula Awards.[2] Born in New York City, Spinrad is a graduate of the Bronx High School of Science.

Norman Spinrad

In 1957 he entered City College of New York and graduated in 1961 with a Bachelor of Science degree as a pre-law major.[3] He has lived in San Francisco, Los Angeles, London, Paris, and New York. He married fellow novelist N. Lee Wood in 1990; they divorced in 2005. [citation needed] Spinrad served as President of the Science Fiction and Fantasy Writers of America (SFWA) from 1980 to 1982 and again from 2001 to 2002. Ray Bradbury, l'homme qui aimait la fiction, pas la science. Légende de la science-fiction, l'écrivain américain Ray Bradbury, dont la famille a annoncé mercredi le décès à 91 ans, était un poète inquiet de la survie spirituelle de l’humanité face au matérialisme de la société.

Ray Bradbury, l'homme qui aimait la fiction, pas la science

Les mille discours de Sarkozy. Les mille et un discours de Sarkozy (II. Archive du blog » Dix questions à … Jean-Pierre Levaray. Jean-Pierre Levaray fait partie de ces plumes que l’on aime bien au Jacoblog.

Archive du blog » Dix questions à … Jean-Pierre Levaray

Non pas parce qu’il a les mains calleuses de l’ouvrier. La guerre qui ne dit pas son nom. « La légitimité des interventions occidentales diminue aux yeux d’une grande partie de l’opinion internationale », reconnaissent les organisateurs de ce colloque.

La guerre qui ne dit pas son nom

Un rejet qui « vient en partie de la perception accrue d’un grand écart politique entre une moralisation affichée des motivations à intervenir, et la réalité d’une défense plus prosaïque des intérêts économiques et politiques occidentaux et/ou nationaux ». La guerre faisait figure jadis de matrice de l’histoire. Le grand oeuvre des mercenaires. La Mercenary International Corporation recrute.

Le grand oeuvre des mercenaires

L’adolescent et la lecture, supports et pratiques nouvelles. Ce qu’on lit dans les entrailles juridiques du Huffington Post… La déclinaison française du Huffington Post a été à peine lancée lundi que déjà des critiques vigoureuses ont fusé, à propos notamment du statut particulier des blogueurs-contributeurs invités qui ne seront pas rémunérés.

Ce qu’on lit dans les entrailles juridiques du Huffington Post…

D’autres critiques ont ciblé le fait que ces blogueurs sont constitués pour l’instant de personnalités VIP sélectionnées par la rédaction du Huffington Post français, sans que les internautes aient la possibilité d’ouvrir un blog lié au site, alors qu’ils sont plus de 9000 à contribuer ainsi à la version américaine. Je m’étais déjà intéressé pour ma part dans un billet précédent au modèle juridique très particulier du Huffington Post et à la manière dont il exploitait les User Generated Content, produits par ses contributeurs. Pierre Bourdieu - L'Economie Sociale. Bourdieu aujourd'hui: entretien avec le philosophe des sciences, Ronan de Calan. Bourdieu aujourd'hui: entretien avec l'historien, Blaise Wilfert-Portal.

Bourdieu aujourd'hui: entretien avec le sociologue Geoffroy de Lagasnerie. « Sarkozy sous BHL » Interview de Jacques Vergès et Roland Dumas. La femme à barbe, le cracheur de feu et Alain Juppé Vergès 19 12 2011. France Culture - (ré)écouter - Lundi 2 Janvier 16:17:48. Reniements européens : la prise de pouvoir de la finance, par Michael Hudson (III/III)

Reniements européens : la prise de pouvoir de la finance, par Michael Hudson (III/III) « Pour les banques, la stratégie rencontrant la moindre résistance consiste à entretenir l’illusion suivante : il n’y aurait aucune nécessité qu’elles soient tenues d’accepter de subir des pertes sur les dettes qu’elles ont créées, même si leur poids les rend irrécouvrables. Les créanciers affirment en tous temps que la charge de la dette est supportable à condition que les gouvernements réduisent tout simplement leurs dépenses, en augmentant dans le même temps les impôts des ménages et des entreprises non financières. » Accepter de pressurer les sociétés pour rembourser une masse de dettes privées, puis la crise venue, publiques, n’a aucune justification morale, ni économique, juge Michael Hudson. Reniements européens : une banque centrale incapable d’agir comme telle, par Michael Hudson (II/III)

Reniements européens : une banque centrale incapable d’agir comme telle, par Michael Hudson (II/III) « Si l’euro éclate, c’est en raison de l’obligation faite aux Etats de payer les banquiers avec de l’argent qui doit être emprunté plutôt que créé par leur propres banques centrales. L’heure du reniement des social-démocraties européennes, par Michael Hudson (I/III) L’heure du reniement des social-démocraties européennes, par Michael Hudson (I/III) « La meilleure façon de comprendre la crise financière de l’Europe c’est d’observer les solutions proposées pour la résoudre. Elles dessinent un rêve de banquier, un paquet cadeau que peu d’électeurs pourraient approuver lors d’un référendum démocratique. » Michael Hudson reprend à son compte les concepts de l’économie classique pour développer une critique radicale de notre moment historique : toute rente, toute extraction de richesse permise au détriment du corps social par une position privilégiée, fut-elle assise comme hier sur la noblesse terrienne, ou comme aujourd’hui par le privilège monétaire des banques et une répartition distordue des revenus (générateurs de dette, d’abord privée, puis publique), est un coût social injustifiable, dont l’acceptation remet en cause les fondements même de la démocratie - tout comme l’ « efficacité » économique.