background preloader

La Haine

Facebook Twitter

A-Level film revision workshop: La Haine with Dr Rachael Langford. LA HAINE : ANALYSE SEQUENCE 2. La haine and after: Arts, Politics, and the Banlieue - From the Current. To start on a personal note: I wrote a book about La haine that came out in November 2005, just as the Paris suburbs (banlieues) erupted in an unprecedented wave of violence.

La haine and after: Arts, Politics, and the Banlieue - From the Current

Every night, as in the Bob Marley song we hear over the credits, there was burning and looting and clashes with the police—which I could hear, as I was staying with my parents, who live next to one of these “difficult” suburbs. Entretien F24: Saïd Taghmaoui, acteur français - YTune.PK - World No.1 Video Portal. L’après La Haine : ce que les films français disent de la banlieue - YARD. La Haine. La Haine Ces quelques mots serviront d’introduction au film de Mathieu Kassovitz que j’aimerais que vous voyiez ou revoyiez durant ce cours, film intitulé “La Haine”, sorti en 1995.J’ai ajouté à ce texte plusieurs critiques auxquelles vous pourrez vous reporter, et l’une, en particulier, extraite du New York Times, intitulée “A Raw French Film Survives Translation,” qu’il vous faut lire.

La Haine

Pour un commentaire détaillé de ce genre de films, je vous renvoie au lien hypertexte que j’ai intitulé, “La banlieue: ses films et son hybridité.” De quoi s’agit-il dans ce film? La banlieue: ses films et son hybridité. Apprendre le français avec le cinema francais - Isabelle Servant. De Matthieu Kassovitz (1995) Résumé de l'histoire (drame) Histoire sur 24 heures de 3 amis (un juif, un arabe, un noir) dans une banlieue parisienne.

Apprendre le français avec le cinema francais - Isabelle Servant

Ils sont jeunes, s'ennuient et développent de la haine pour un système dans lequel ils ne se reconnaissent pas. Ils vont vivre la journée la plus importante de leur vie. Distribution Vinz : Vincent Cassel Hubert : Hubert Koundé Saïd : Saïd Taghmaoui Médecin : Jean-Pierre Cassel Darty : Edouard Montoute Astérix : François Levantal Le jeune Skinhead : Mathieu Kassovitz Benoît : Benoît Magimel Directeur de la galerie : Peter Kassovitz Fille à la galerie : Karine Viard Inspecteur "Notre Dame" : Marc Durel Le réalisateur : Mathieu Kassovitz (1967 - ) 6 Films : Métisse (1993), La Haine (1995), Assassin(s) (1997), Les Rivières pourpres (2000), Gothika (2003), Babylon AD (2008) + quelques courts-métrages Acteur (rôle principal dans Le Fabuleux destin d'Amélie Poulain) 1.

D'après cette logique, que veut dire il est "Tebé" ? 2. 3. 4. La Haine : Contexte. Retour sur la grande révolte des banlieues françaises, par Denis Duclos (Le Monde diplomatique, août 2006) Souvent marquées par une sorte d’aveuglement volontaire, les conclusions tirées à chaud — de gauche et de droite — sur les « événements des banlieues » de novembre 2005 paraissent avoir été hâtives.

Retour sur la grande révolte des banlieues françaises, par Denis Duclos (Le Monde diplomatique, août 2006)

Elles ont peu tenu compte des nombreuses études approfondies sur la question (1), et n’ont guère replacé les événements en perspective dans le temps et dans un contexte comparatif international. Il n’est donc pas inutile d’y revenir, ne serait-ce que parce que, en l’absence d’explications plus solides, ce seront encore elles qui serviront de points d’appui aux décisions de l’avenir. Or, en comparant le profil de la crise des banlieues avec celui de phénomènes comparables dans le monde, chacune de ces affirmations se trouve précisée, relativisée, ou même contredite. Une flamblée de réactivité juvénile L’agitation socio-politique des jeunes en France concerne, bien sûr, ceux dont les parents sont d’origine étrangère, mais elle n’a pas (encore ?)

Contre les symboles de l’autorité 1. 2. 3. Weekend Film Recommendation: La Haine. C’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble de cinquante étages.

Weekend Film Recommendation: La Haine

Le mec, au fur et à mesure de sa chute se répète sans cesse pour se rassurer : jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien. Mais l’important c’est pas la chute, c’est l’atterrissage. This week’s film recommendation is often considered one of the finest that independent French cinema has to offer: Mathieu Kassovitz’s La Haine (1995).

It’s the story of a man who falls fifty storeys down a high-rise. Oneyard. La Haine 20 years on: what has changed? At a distance of 20 years, it’s now easy to forget that 1995 was one of the darkest and strangest years in recent French history.

La Haine 20 years on: what has changed?

In the UK, it had been an exceptionally warm summer, and for a brief moment the whole nation seemed to bask in the sunshine glow of Britpop – culminating in the daft battle between Blur and Oasis for the No 1 spot in the singles chart in mid-August. In France, however, it was a very different story. First, that summer France had been shocked by a wave of mysterious shootings and bombings, which may or may not have been linked to the civil war then raging in Algeria. The worst of these was on 25 July, when a bomb exploded at the Saint-Michel métro station in the heart of the Latin Quarter of Paris. The bomb went off at the height of the rush hour on the RER line, killing eight people and injuring 80. The constant threat of violence was matched by a wave of massively disruptive strikes provoked by prime minister Alain Juppé’s austerity measures.

LA HAINE, de M. Kassovitz – La cité fantasmée ? En complément de l’article précédent consacré à la scène du mix de Cut Killer située à 38’40’’ du début du film La Haine ( LA HAINE, de M.

LA HAINE, de M. Kassovitz – La cité fantasmée ?

Kassovitz – Phénoménologie du point de vue de la musique ), voici la retranscription de l’analyse de cette séquence par Frédéric Bas, enseignant et critique de cinéma. Cette analyse est un extrait du cours de cinéma du Forum des images donné en 2009 à l’Institut National d’Histoire de l’Art (Paris). On est d’accord ou pas – personnellement je n’adhère pas à l’intégralité de la critique – toutefois sur quelques points, c’est très intéressant. Les miroirs de la haine. La Haine, exemple d’un matraquage idéologique. Film culte, de référence sur la banlieue, La Haine a fait mousser des milliers de jeunes bourgeois, fascinés par la violence des voyous de cité.

La Haine, exemple d’un matraquage idéologique

Formellement, pas grand-chose à redire. Kassovitz sait tenir la caméra, maîtrise le noir et blanc ainsi que l’intensité dramatique. Il en ressort un film très regardable et loin d’être ennuyeux. Le problème réside bien entendu dans son parti pris idéologique. Sous couvert d’être un film réaliste, décrivant la triste vie des banlieues, La Haine constitue en réalité une charge antiraciste et méprisante. Il est certain que « les quartiers », comme disent les hommes politiques qui y vont entourés de trois bagnoles de police, sont des zones où le chômage est nettement plus important qu’ailleurs. La violence de ces jeunes est compréhensible. Urbanisme et mutations sociologiques au cinéma : La Haine. La forte densité des constructions, la répétitivité des types de logements, la pauvreté de l’architecture, l’absence d’équipements collectifs et l’indignité du traitement des espaces extérieurs génère de la solitude, de l’ennui, de l’incommunicabilité, de la désorientation, de la délinquance et, pour finir, de la violence.

Urbanisme et mutations sociologiques au cinéma : La Haine

Avec La Haine, Mathieu Kassovitz radicalise le propos. Tourné sept ans après le film de Brisseau à la cité de Chanteloup-les-Vignes dans les Yvelines, le film est un cri de désespoir contre une injustice définitive, fondamentale. L’extrême mobilité des personnages n’est pas sans rapport avec ce cri.