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Nadine Gordimer. Nadine Gordimer, née à Springs (Afrique du Sud) le 20 novembre 1923 et morte à Johannesbourg (Afrique du Sud) le 14 juillet 2014[1], est une femme de lettres sud-africaine, romancière, nouvelliste, critique et éditrice. En 1991, le prix Nobel de littérature récompense l'écrivain dont « l’œuvre épique a rendu à l'humanité d'éminents services ». Elle a combattu l'apartheid. Biographie[modifier | modifier le code] En 1974, elle reçoit le prestigieux prix Booker Prize pour Le Conservateur. Elle a été décorée le 31 mars 2007 de la Légion d'honneur française, lors d'une cérémonie à l'Ambassade de France à Pretoria[4]. Regards sur l'œuvre et les influences littéraires[modifier | modifier le code] Rapidement, les écrits de Gordimer dénotent l'influence théorique de Georg Lukács pour le lien établi entre roman réaliste, sociologie et histoire[10].

Œuvre[modifier | modifier le code] Romans[modifier | modifier le code] Recueils de nouvelles[modifier | modifier le code] Thich Nhat Hanh. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Thích Nhất Hạnh (Nhất Hạnh, en vietnamien, Thích étant un titre[1]), né Nguyễn Xuân Bảo le 11 octobre 1926 à Huế, dans la province de Thừa Thiên-Huế, Vietnam, est un moine bouddhiste vietnamien militant pour la paix.

Il est un des promoteurs du bouddhisme en Occident les plus connus[2],[3],[4] Biographie[modifier | modifier le code] En 1942, il entre au monastère zen de Từ Hiếu. Il est ordonné moine en 1949. Il quitte son monastère peu après pour s'installer dans un temple abandonné de Saïgon. 1966 : exil en Occident. Dans les années 1976 à 1978, il apporte de l'aide aux boat people. Par des invitations concrètes[5] comme la marche de la Pleine conscience, Thích Nhất Hạnh enseigne l'art de vivre pleinement et met l'accent sur la vigilance et l'attention.

En 2005, il retourne au Vietnam pour la première fois depuis 39 ans. Citations[modifier | modifier le code] « Les chrétiens sont mes frères. Ouvrages[modifier | modifier le code] Meet Zhang Shou Wang (Carsick Cars) Pablo Escobar. Pablo Escobar sur une photo de la police colombienne prise suite à son arrestation à Medellín en 1976. Signature Vue de la sépulture. Escobar est né à Rionegro, à une quarantaine de kilomètres au sud-est de Medellín, et grandit dans la banlieue de cette dernière ville. Après avoir brièvement étudié à l'Universidad Autónoma Latinoamericana (es) de Medellín, une université privée créée en 1966 sur une dissidence de l'université de Medellín, il la quitte sans obtenir de diplôme et choisit de se lancer dans une carrière criminelle. Il débute dans la vente de cigarettes de contrebande, en vendant de faux tickets de loterie et participe à un réseau de vol de voitures. En 1970, il commence à travailler pour différents contrebandiers, souvent en kidnappant contre rançon, avant de se lancer dans le trafic de cocaïne.

En 1982, il est élu suppléant à la Chambre des représentants de Colombie pour le Parti libéral colombien. Jeunesse Medellín, la ville où grandit Escobar Carrière criminelle Au sommet. Yvette Roudy. Biographie[modifier | modifier le code] Yvette Roudy entre dans une école professionnelle, poussée par son père. À 17 ans, elle commence à travailler et s'inscrit en cours du soir pour pouvoir passer son baccalauréat. En 1963, elle traduit The Feminine Mystic (La femme mystifiée) qui vient de sortir aux États-Unis . Ce livre est une révélation pour elle et lui permet de mettre des mots sur ce qu'elle ressent. En 1962, le Mouvement Démocratique Féminin (MDF) émerge (groupe de gauche non communiste) Yvette Roudy découvre ce mouvement par Colette Audry et elle va rapidement en devenir, avec Marie-Thérèse Eyquem, la première animatrice.

Elle crée La Femme du XXe siècle, journal du MDF dont elle est rédactrice en chef . En 1965, Yvette Roudy est consciente qu'il faut entrer en politique pour faire bouger le débat sur la cause des femmes[1]. Féministe et signataire du Manifeste des 343[4], elle est à l'origine de deux lois qui portent son nom : Yvette Roudy s'engage pour la parité. Arlette Farge. Arlette Farge, née le 14 septembre 1941[1] à Charleville, est une historienne française spécialisée dans l’étude du XVIIIe siècle, directrice de recherche au CNRS, rattachée au centre de recherches historiques de l'EHESS.

Biographie[modifier | modifier le code] Famille, jeunesse et formation[modifier | modifier le code] Arlette Farge est la dernière d'une fratrie de trois enfants issus d'une famille modeste arrivée à Charleville par les aléas de la guerre[2]. Après le lycée Hélène-Boucher à Paris, elle fait des études de droit pour devenir juge des enfants, puis change d'optique et passe un DEA d'histoire du droit et des institutions. N'ayant pas de poste, elle part faire une thèse en 1969 à l'université Cornell aux États-Unis, où elle est le témoin des luttes des étudiants noirs pour leurs droits et du féminisme américain.

Apport à l'histoire sociale du XVIIIe siècle[modifier | modifier le code] De son côté, Michel Foucault lui a appris l'analyse des mécanismes du pouvoir[3]. Vies oubliées. Fernando Pessoa. Fernando Pessoa à vingt-six ans. signature plaque commémorative Fernando António Nogueira Pessoa[note 1] est un écrivain, critique, polémiste et poète portugais trilingue[1] (principalement portugais, mais aussi anglais et, dans une moindre mesure, français[note 2]). Né le 13 juin 1888 à Lisbonne, ville où il meurt des suites de son alcoolisme le 30 novembre 1935, il a vécu une partie de son enfance à Durban en Afrique du Sud. Théoricien de la littérature engagée dans une époque troublée par la guerre et les dictatures, inventeur inspiré par Cesário Verde[2] du sensationnisme[3],[cf 1], ses vers mystiques et sa prose poétique ont été les principaux agents du surgissement du modernisme au Portugal.

Biographie[modifier | modifier le code] Pessoa flâneur, poète de l'errance[4], auteur d'une flânerie, Lisbon revisited, et d'un guide touristique posthume anglais. Maria Magdalena Pinheiro Nogueira, sa mère. Enfance orpheline (1888-1898)[modifier | modifier le code] Maison natale, aujourd'hui musée. Violeta Parra. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Parra. Violeta del Carmen Parra Sandoval (4 octobre 1917 - 5 février 1967) est une artiste chilienne, connue sous le nom de Violeta Parra, qui a remis à l'honneur la musique populaire et traditionnelle de son pays et l'a fait connaître au delà des frontières du Chili. Biographie[modifier | modifier le code] Elle est née à San Fabián de Alico, dans la région de Chillan, au sud du Chili, d'un père professeur de musique, et d'une mère paysanne, qui joue de la guitare et chante. En 1938, elle épouse Luis Cereceda, dont elle a deux enfants : Isabel Parra et Ángel Parra, qui s'orienteront plus tard eux aussi vers une carrière musicale et artistique.

Elle se remarie plus tard avec Luis Arce avec qui elle a deux filles : Carmen Luisa et Rosita Clara. À partir de 1952, conseillée par son frère Nicanor Parra, elle parcourt le Chili en enregistrant et notant les chansons folkloriques et traditionnelles de son pays. Anaïs Nin. Portrait d'Anaïs Nin à New York dans les années 1970, photographie de Elsa Dorfman(en). Œuvres principales Anaïs Nin (/anais nin/[3] ; en anglais : /ænəis nin/[4]), née Rose Jeanne Anaïs Edelmira Antolina Nin[5] le 21 février 1903 à Neuilly-sur-Seine et morte le 14 janvier 1977 à Los Angeles, est une écrivaine franco-américaine[6]. Née en France de parents originaires de Cuba, elle doit sa notoriété à la publication de journaux intimes qui s'étalent sur plusieurs décennies et offrant une vision profonde de sa vie privée et de ses relations[7]. La version non censurée de ses journaux n'a pu être publiée qu'après sa mort et celle de son mari.

Elle est aussi l'une des premières femmes à arriver à faire publier des ouvrages érotiques[réf. nécessaire]. Biographie[modifier | modifier le code] Après la séparation de ses parents en 1914, la mère d'Anaïs part s'établir à New York avec sa fille et ses deux fils[10],[11]. À 14 ans, Anaïs Nin quitte l'école et commence à travailler comme mannequin. Clarice Lispector. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Statue de Clarice Lispector. Compléments Clarice Lispector est une femme de lettres brésilienne. Elle est née le de parents juifs à Tchéchelnik, un petit village d'Ukraine et morte le à Rio de Janeiro.

Bien que le mot écrivain ait un féminin en portugais, Clarice Lispector refusa toujours son utilisation, assurant « appartenir aux deux sexes ». Biographie[modifier | modifier le code] Clarice Lispector parlait parfaitement le français mais aussi l'anglais et possédait convenablement plusieurs autres langues, particulièrement l’italien et l’allemand. Clarice Lispector est morte d’un cancer en 1977, juste un jour avant son 57e anniversaire et elle a été enterrée dans le cimetière juif de Caju à Rio de Janeiro. Œuvres[modifier | modifier le code] Clarice Lispector a écrit toujours sur l'univers féminin. A hora da estrela (L'heure de l'étoile),A Paixão Segundo G.H. Bibliographie[modifier | modifier le code] (en) Benjamin Moser (ed. . ) . ↑ Voir, (en). Cindy Sherman. Cindy Sherman en 2016. Biographie[modifier | modifier le code] En 1979 a lieu sa première exposition personnelle à Hallwalls (en), espace d'exposition indépendant qu'elle a créé avec deux autres artistes qui sont ses condisciples universitaires[5] : Robert Longo et Charles Clough (en).

Ses créations photographiques et expositions se succèdent ensuite sur plusieurs décennies, rythmées par des séries[3],[6],[7]. Plusieurs rétrospectives ont été présentées sur son œuvre au fil des ans, par exemple au MoMA en 2012[8], à Bordeaux en 1999[6],[9], ou à Paris en 2020/2021[10], mais aussi à Chicago, à Los Angeles, etc.[8]. En 2011, la marque de cosmétique M·A·C lui propose d'utiliser ses images pour ses publicités[11]. Elle joue le rôle de la Prima Donna dans le film Prima Donna: A Symphonic Visual Concert, qui accompagne un spectacle créé par Rufus Wainwright à partir de son opéra Prima Donna[12]. Œuvre[modifier | modifier le code] Photographies[modifier | modifier le code] Liste non exhaustive. Michel Siffre. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Michel Siffre est un explorateur souterrain, aventurier et scientifique français. Il est né le 3 janvier 1939 à Nice, où il passe son enfance. À tout juste 10 ans, il parcourt la grotte du lycée du Parc-Impérial et se passionne pour la spéléologie.

Il soutient un diplôme d’études supérieures à la Sorbonne six mois après son baccalauréat. De nombreuses réalisations sont médiatisées avec notamment la création de l’Institut français de spéléologie en 1962. Principales réalisations[modifier | modifier le code] L’expérience de temps, deux mois claustré au fond du gouffre de Scarasson dans le Marguareis, sans repères temporels, sur un glacier, à partir du 17 juillet 1962[1]. À l'époque, cette expérience n'a pas beaucoup intéressé le milieu scientifique français, mais le Roumain Franz Halberg, un des fondateurs de la chronobiologie, a pris contact avec lui et le Russe Youri Gagarine affirme l'avoir lu très attentivement[3].

Hors du temps. Lauryn Hill at DuckDuckGo. Marcus Garvey. Jamaica-born British political activist, Pan-Africanist, orator, and entrepreneur Garvey was born to a moderately prosperous Afro-Jamaican family in Saint Ann's Bay, Colony of Jamaica and apprenticed into the print trade as a teenager. Working in Kingston, he became involved in trade unionism before living briefly in Costa Rica, Panama, and England. Returning to Jamaica, he founded UNIA in 1914. In 1916, he moved to the United States and established a UNIA branch in New York City's Harlem district.

Garvey was a controversial figure. Early life[edit] Childhood: 1887–1904[edit] A statue of Garvey now stands in Saint Ann's Bay, the town where he was born Marcus Mosiah Garvey was born on 17 August 1887 in Saint Ann's Bay, a town in the Colony of Jamaica. His father, Malchus Garvey, was a stonemason; his mother, Sarah Richards, was a domestic servant and the daughter of peasant farmers. Early career in Kingston: 1905–1909[edit] Travels abroad: 1910–1914[edit] Organization of UNIA[edit] [edit]

Chimamanda Ngozi Adichie. Nigerian writer (born 1977) Chimamanda Ngozi Adichie ( CHI-mə-MAHN-də əng-GOH-zee ə-DEE-chee-ay;[note 1] born 15 September 1977)[4][5] is a Nigerian writer whose works include novels, short stories and nonfiction.[6] She was described in The Times Literary Supplement as "the most prominent" of a "procession of critically acclaimed young anglophone authors" of Nigerian fiction who are attracting a wider audience,[7] particularly in her second home, the United States. Adichie has written several novels, among them Purple Hibiscus (2003), Half of a Yellow Sun (2006), and Americanah (2013), short stories, the book-length essays We Should All Be Feminists (2014)[8] and Dear Ijeawele, or A Feminist Manifesto in Fifteen Suggestions (2017), and a memoir, Notes on Grief (2021).[9] Early life and family[edit] Education[edit] Writing career[edit] Adichie published a collection of poems (Decisions) in 1997, and a play (For Love of Biafra) in 1998, using the name Amanda N.

Influences[edit] Lectures[edit] Chaka Khan. 1953–1972: Early life[edit] Career[edit] 1973–1978: Early career with Rufus[edit] 1978–1983: Early solo career and final years with Rufus[edit] In 1983, following the release of Rufus's final studio album, Seal in Red, which did not feature Khan, the singer returned with Rufus on a live album, Stompin' at the Savoy - Live, which featured the studio single, "Ain't Nobody", which became the group's final charting success reaching number 22 on the Billboard Hot 100 and number one on the Hot R&B chart, while also reaching the top ten in the United Kingdom. Following this release, Rufus separated for good. 1984–1996: Solo success[edit] In 1990, she was a featured performer on another major hit when she collaborated with Ray Charles and Quincy Jones on a new jack swing cover of The Brothers Johnson's "I'll Be Good to You", which was featured on Jones's Back on the Block.

Since 1998[edit] Personal life[edit] Awards[edit] Grammy Awards[edit] Soul Train Awards[edit] United Negro College Fund Award[edit] Frantz Fanon.