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Résumés

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Résumés articles. Résumé : la consommation de drogue dans tintin. La consommation de drogues chez les artistes : entre incitation et dénonciation. B°) Tintin, un personnage utilisé pour dénoncer le trafic de drogue.

La consommation de drogues chez les artistes : entre incitation et dénonciation

Le père de Tintin est né le 22 mai 1907 à Bruxelles. Avec le nom de Georges Remi, il utilisera son fameux pseudonyme R.G. ( Hergé ) . Très tôt, il commençe à dessiner, et dans la revue du mouvement de jeunesse scout Jamais assez, paraissent ses premiers dessins. Après son service militaire en 1928, Hergé retourne à Bruxelles pour devenir rédacteur en chef du Petit Vingtième, le supplément hebdomadaire pour la jeunesse du XXème siècle. Tintin et Milou sont nés dans ce journal, le 10 janvier 1929. Drogues, armes, diamants, fausse monnaie, objets d’art volés, êtres humains… peu de trafics ont échappé à l’attention d’Hergé qui, dans ces albums, leur fait jouer un rôle essentiel.

Le monde des trafiquants de drogues est d’abord approché sous une dimension internationale, en 1934, dans Les Cigares du Pharaon. En 1936, Hergé écrit la suite de cet album : Le Lotus bleu. "La femme Léopard", un nouveau Spirou avec Schwartz. Résumé :"La femme Léopard", un nouveau Spirou avec Schwartz. Résumé : La censure dans LL. Lucky Luke. Qui pourrait croire aujourd'hui qu'une bande-dessinée comme Lucky Luke ait eu à subir les affres de la censure ?

Lucky Luke

En fait, tout au long de sa carrière, Lucky Luke a été le sujet de nombreuses polémiques et certaines ont fortement contribué à faire de Lucky Luke ce qu'il est aujourd'hui. L'ambiance moralisatrice et catholique de la période d'après guerre (Lucky Luke commence ses aventures en 1946) s'est répercutée sur les publication de l'époque. Les héros de BD se devaient d'être irréprochables, exempts de vices. En somme, de bons exemples pour leur jeune public. La France a d'ailleurs instauré en 1949 une Commission chargée de veiller à la bonne tenue des publications pour la jeunesse.

Lucky Luke a grandi dans cette atmosphère "aseptisante". Ce contrôle a influencé d'autres aspects de la représentation du Far West, comme la vie dans les saloons. Certaines dessins n'ont jamais survécu au contrôle de censure. Résumé : Tabac : la fin de la chasse à la cigarette sur les affiches? Tabac : la fin de la chasse à la cigarette sur les affiches ? Montage de visuels censurés à cause des cigarettes qu’ils figurent (DR) Finis l’amputation de photos ou d’œuvres d’art, le rabotage de pipe ou le gommage de clope, sous prétexte qu’il ne faut pas faire de promotion « directe ou indirecte » pour le tabac ?

Tabac : la fin de la chasse à la cigarette sur les affiches ?

Les députés de la commission des affaires culturelles de l’Assemblée nationale ont adopté ce mercredi une proposition de loi, à la quasi-unanimité, visant à assouplir la loi Evin. L’élu à l’origine de cette initiative est un député du groupe socialiste, Didier Mathus. Dans sa proposition de loi, il défend l’exclusion du patrimoine culturel du champ d’application de la loi de janvier 1991 : « Les falsifications de l’histoire, la censure des œuvres de l’esprit, la dénégation du réel (...) doivent rester la marque infamante des régimes totalitaires. » Durant les débats en commission, Marcel Rogemont, député PS d’Ille-et-Vilaine, a exhumé Soliman le Magnifique et le floutage de ses narguilés, en Turquie, dans une série qui lui était consacrée.

Jâai du bon tabac dans ma bédéthèque⦠Avant d’être montrée du doigt, honnie puis pratiquement prohibée, la cigarette avait une place importante dans l’imaginaire : elle était l’accessoire de la femme raffinée et libre, de l’homme viril et héroïque.

Jâai du bon tabac dans ma bédéthèqueâ¦

C’est donc fort logiquement que de nombreux personnages de bande dessinée ont participé à cette symbolique en grillant quelques cigarettes. En novembre 2000, la couverture du premier tome de la série Blacksad, de Diaz Canales et Guarnido (Dargaud), avait accroché tous les regards dans les librairies : on y voyait en très gros plan la tête d’un chat, une cigarette fumante à la gueule.

En ouvrant l’album, on s’apercevait qu’il s’agissait d’une BD animalière dont le héros était un chat détective privé, Blacksad. Les scénarii se situant dans les États-Unis des années 1950, la cigarette est un élément indispensable et évident de la série, dont pratiquement tous les personnages fument.

Blacksad (c) Guarnido, Canales & Dargaud. La cigarette peut aussi être un symbole de paix. Le cigare… Résumé : J'ai du bon tabac dans ma bédéthèque.