Budgets 2014-2015 : le Top 14 voit toujours plus grand. LE SCAN SPORT - Les budgets du Top 14 pour la saison à venir sont en augmentation de plus de 8% par rapport à ceux de l'an passé avec une enveloppe cumulée de près de 300 millions d'euros.
La surenchère se poursuit dans le championnat de France de rugby. Après une augmentation de l'ordre de 6,37% l'an passé (272,3 millions d'euros), le budget cumulé des quatorze formations de l'élite (296,3 millions d'euros) sera en progression de 8,1% cette saison. FFF/LFP - Les supporters veulent siéger à la FFF et à la LFP. Le Conseil National des Supporters de Football (CNSF) a demandé lors d'une réunion mardi matin à Paris à ce que des supporters puissent siéger au sein du comité exécutif de la FFF et du conseil d'administration de la LFP.
Leur présence permettrait selon le CNSF d'«en finir avec l'entre-soi empêchant ce sport d'assumer sa responsabilité sociétale dans les territoires de France». Fondé en avril dernier par six associations de supporters (Nantes, Rouen, Toulon, Nancy, Saint-Etienne et Valenciennes), le Conseil regrette que «tous les acteurs sauf les supporters» soient représentés actuellement et annonce qu'il «conviera après l'été tous les décideurs du football afin d'établir les conditions permettant aux supporters de désigner démocratiquement des représentants». Les nouveaux riches au pouvoir - Top 14. Trois des quatre clubs demi-finalistes sont présidés par des hommes d’affaires avides de réussite sportive.
L’évolution est en marche. La révolution même, à entendre les présidents historiques, inquiets de voir leur mainmise sur le rugby contestée, autant que les nouveaux patrons, issus du monde de l’entreprise et déterminés à être plus décisionnaires. Un coup d’œil sur les affiches des demi-finales du Top 14 confirme la tendance. Toulon, le Racing-Métro (opposés ce vendredi) et Montpellier sont dans le dernier carré.
Trois clubs avec des présidents actionnaires. Pour la grande célébration du championnat, ce week-end à Lille, aucun lauréat des années 2000. Ils se heurtent à la résistance «des corps constitués»Le raccourci semble réducteur. Rugby : l'ambitieux plan de la ligue. Le championnat de France de rugby TOP 14 entre ce samedi dans sa dernière ligne droite avec la 26e et dernière journée de sa phase régulière, mais déjà l'heure est aux grandes manoeuvres dans la perspective de la saison 2014-2015.
Celle-ci s'annonce déterminante, avec la mise en oeuvre d'un ambitieux plan d'actions de la Ligue nationale de rugby (LNR). Ce programme, baptisé « New Deal », s'articule autour de quatre « priorités » : la formation ; la consolidation de la situation financière des clubs du TOP 14 et de la PRO D2 - la deuxième division de l'Ovalie professionnelle - ; la modernisation des stades ; et, enfin, le développement de l'attractivité des deux championnats. Sur le plan financier, ce « New Deal » réaffirme la solidarité entre le TOP 14 et la PRO D2, tout en introduisant la notion de mérite. Cette ambition résulte de la récente valorisation record de ses droits TV sur le TOP 14, désormais la compétition de rugby la plus dotée au monde. Le New Deal de la LNR - Top 14. Stakeholders agree terms on future of European rugby. FFR: Seulement 35 titres d'emprunt obligataire vendus sur 499 proposés - XV de France 2012.
Chaque titre de cet emprunt, calqué sur le modèle anglais des "debentures", permet à son détenteur de bénéficier d'un accès prioritaire à des matches du XV de France et à la finale du Top 14, pendant 15 ans.
En filigrane, cet appel faisait office de ballon d'essai pour la FFR, qui envisage de financer une partie de son Grand Stade - probablement à hauteur de 150 millions d'euros - via ce type d'emprunt. "Nous avons 350.000 euros qui ont été placés, ce qui fait 35 titres à 10.000 euros sur 499", a déclaré le trésorier de la FFR, Christian Garnier, évoquant "une insatisfaction comptable mais attendue". La souscription avait été ouverte le 1er février, au matin de France-Angleterre dans le Tournoi des six nations, et a été close le 21 février. Parmi les raisons de ce résultat médiocre, M.
Premiership clubs consider Heineken Cup replacement options. England's leading clubs will not take part in next season's Heineken Cup and are looking at various options of filling in the spare nine weekends that could, depending on which one they go for, keep them out of Europe permanently.
It means the national side face the prospect of entering the 2015 World Cup without players battle-hardened by European competition. Talks over a new format for the Heineken Cup have made little progress in the 18 months since the England and French clubs served their notice to pull out of the organising body, European Rugby Cup Ltd, at the end of the season. The clubs' bid to set up an alternative tournament, the Rugby Champions Cup, was thwarted last week when the French sides, accepting they would not have the required permission from their union, suggested a year's stay of execution for the Heineken Cup and ERC to allow time for a new tournament to be agreed as part of a shake-up on how the game in Europe was run.
French U-turn throws future of European club rugby into confusion. The future of a European club competition is mired in uncertainty despite Thursday's decision by France's leading sides to abort the tournament they had been planning with Premiership Rugby as a replacement for the Heineken Cup.
Rugby - Coupe d'Europe - Le «oui mais» des clubs français. Le 28/11/2013 à 17:47:00 | Mis à jour le 28/11/2013 20:30:45 Réunis à Orly, jeudi, les clubs français de Top 14 et de ProD2 ont accepté de participer à la Coupe d'Europe, telle que récemment remodelée par l'ERC, à condition que les clubs anglais puissent y trouver leur place et qu'une gouvernance soit redéfinie à l'horizon 2015.
Paul Goze, le président de la Ligue nationale de rugby, cherche maintenant à ramener les Anglais dans le giron européen. (L'Equipe) Jeudi, à Orly, hôtel Hilton, tout proche de l’aéroport, douze clubs de Top 14 (Montpellier et Castres étaient absents) et sept de ProD2, ont accepté, non sans discussions, de disputer la Coupe d’Europe, laissant de côté la création de la RCC (Rugby Champions Club), idée lancée le 22 septembre dernier.
Le rugby français veut son Grand Stade, coûte que coûte. Le rugby français vit toujours sous un coin de ciel bleu qui paraît même le préserver du marasme ambiant et imagine son avenir radieux à l’image du projet qui occupe ses pensées: la construction d’un grand stade sur le site de l’hippodrome de Ris-Orangis dans l’Essonne.
Moins optimiste, et même carrément négatif, le Sénat vient pourtant de doucher cet enthousiasme et de dénoncer cette éventuelle aventure immobilière en considérant «qu'il serait déraisonnable que la région Ile-de-France compte sur son sol deux stades d'une capacité de plus de 80.000 places sans club résident: les deux enceintes entreraient nécessairement dans une compétition farouche afin d'accueillir aussi bien des événements sportifs d'envergure que des spectacles (...), en nombre nécessairement limité.» publicité.
Médias - Top 14 - Boudjellal : « Je me fous que les droits télé augmentent » Le 26/11/2013 à 09:54:00 | Mis à jour le 26/11/2013 10:00:29 À l'occasion du lancement de « L'Avenue des légendes », projet de financement participatif du futur centre de formation du RC Toulon, le président Mourad Boudjellal s'est confié sur le renouvellement des droits télé du Top 14.
Mourad Boudjellal n'aurait aucun intérêt à ce que les droits télé augmentent ? (L'Equipe) Pour financer votre futur centre de formation, vous faites appel au financement participatif via la plateforme Sponsorise.me et « L’Avenue des Légendes ». Anglo-French clubs threaten to scupper Heineken Cup rescue plan. The prospect of two rival European club tournaments next season grew on Thursday when the four RaboDirect unions and France announced the Heineken Cup would continue and the English and French clubs insisted their Rugby Champions Cup would go ahead regardless.
The five unions held a meeting in Dublin, one day after the Premiership and Top 14 clubs gathered in Paris, and agreed that the Heineken Cup would continue next season, no matter how many countries were involved, and that it would continue to be run by European Rugby Cup Ltd, the body the clubs want nothing more to do with. The Rugby Football Union, whose chief executive, Ian Ritchie, has spent the past two months trying to bring the two sides together and broker an agreement, was not invited to the meeting, a move which will backfire on the other unions if it convinces Twickenham to side with its clubs and back the Rugby Champions Cup.
"We are extremely surprised and disappointed not to be involved today," the RFU said. Rugby - Coupe d'Europe - Craig : «Que chacun reste à sa place» Le 08/10/2013 à 19:06:00 | Mis à jour le 08/10/2013 19:11:12 Bruce Craig, vice-président de la Ligue anglaise, plaide pour que les clubs prennent leur destin en mains en créant une nouvelle compétition européenne, sous une tutelle plus discrète des fédérations. «Bruce Craig, les clubs anglais ont eu une position plus radicale que les Français au début du conflit avec l'ERC, organisateur actuel des compétitions. Pourquoi ? Au début, les Français et les Anglais n'avaient pas forcément les mêmes idées en déposant le préavis (pour renégocier les accords-cadre des compétitions européennes en juin 2012, ndlr). Pour les Français, il était sûrement encore possible de négocier alors que pour nous, c'était terminé.
Sport Business : Les VI Nations, une manne pour le rugby tricolore. INFOGRAPHIE - En moins de 10 ans, les organisateurs ont fait de la compétition majeure du monde de l'ovalie dans laquelle la France débute cet après-midi une machine économique à succès. Une banque proche de la faillite en 2008, prête à débourser 51 millions d'euros sur quatre ans uniquement en sponsoring sportif: c'est le pari de Royal Bank of Scotland (RBS), détenue à près de 80% par l'État britannique. Le groupe, principal partenaire du Tournoi des six nations de rugby vient en effet de prolonger son partenariat sur la période 2014-2017, augmentant par la même occasion la facture de plus de 32 millions d'euros (26 millions de livres). Une manne pour les organisateurs qui ont fait de cette compétition majeure du monde de l'ovalie une redoutable machine économique.
L'édition 2013 ne devrait pas déroger à la règle, avec des recettes autour de 100 millions d'euros, en hausse de 40% depuis 2006. Le XV de France assure 70% des recettes de la FFR. Le Top 14 de rugby affiche un budget en hausse.