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La seconde guerre mondiale

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Second Empire (1851-1870) Résistance. Résistance et collaboration. Mémoires des déportations 1939 - 1945. AUSCHWITZ raconté par trois déportés #DISCOVER. Pierre Seel, homosexuel déporté. L'un des derniers criminels nazis bientôt jugé en Allemagne. Oskar Gröning, 93 ans, est l'ancien comptable d'Auschwitz.

L'un des derniers criminels nazis bientôt jugé en Allemagne

Il comparaîtra à partir du 21 avril pour complicité d'assassinat de 300 000 personnes, selon le communiqué du tribunal. Sergent des Waffen SS, l'accusé a travaillé dans le camp d'extermination situé en Pologne du 16 mai 1944 au 11 juillet 1944. Une période pendant laquelle près de 425 000 personnes ont été déportées à Auschwitz, dont au moins 300 000 ont péri dans les chambres à gaz. Oskar Gröning était chargé de compter les billets de banque retrouvés dans les bagages des prisonniers et de les transférer aux autorités nazies à Berlin, selon le parquet de Hanovre. L'accusé devait également débarrasser les bagages des déportés afin qu'ils ne soient pas vus par les nouveaux prisonniers. Cinquante-cinq parties civiles, essentiellement des survivants et des familles de victimes, participeront à l'audience qui se déroulera devant le tribunal de Lunebourg, une ville située au sud de Hambourg.

Quiz. Le génocide. La France dans la guerre. La guerre. C’est quoi la Résistance ? - 1 jour, 1 question. Auschwitz. Auschwitz fut le plus grand complexe concentrationnaire crée par les nazis.

Auschwitz

Des prisonniers étaient soumis au travail forcé dans ses trois camps principaux et l'un des camps fonctionna longtemps comme centre de mise à mort. Auschwitz fut créé à environ 60 kilomètres à l'ouest de Cracovie, près de la frontière germano-polonaise d'avant guerre, en Haute-Silésie, une région annexée en 1939 par l'Allemagne nazie après l'invasion et la conquête de la Pologne. Les trois camps principaux furent établis par les SS près de la ville polonaise d'Oswiecim : Auschwitz I en mai 1940, Auschwitz II (Auschwitz-Birkenau) début 1942 et Auschwitz III (Auschwitz-Monowitz) en octobre 1942. L'appel du 18 Juin 1940 : pourquoi ? comment ?

Mémorial de la Shoah : réponses aux questions les plus souvent posées sur la Shoah. Les premiers camps d’internements français ouvrirent en mars 1939 afin d’héberger les réfugiés républicains espagnols dans le sud-ouest de la France à Rivesaltes, Récébedou, Noé, Argelès, Gurs par exemple.

Mémorial de la Shoah : réponses aux questions les plus souvent posées sur la Shoah

Quand la guerre éclata en septembre 1939, beaucoup d’ Espagnols étaient retournés dans leur pays. Dès la déclaration de guerre leur place dans les camps fut rapidement occupée par des étrangers arrêtés par la police au cours d’une action d’envergure nationale pendant les premiers jours de l’état d’urgence. Ces 15 000 étrangers alors enfermés dans les camps français comprenaient des centaines d’éminents réfugiés antinazis. En mai 1940, quand les Allemands entrèrent en France, beaucoup de réfugiés étrangers, hommes et femmes susceptibles d’être ennemis ou d’espionner, furent à nouveau victimes d’ « internements administratifs » dans ces camps du sud-ouest, de la part des autorités françaises. Parmi ces personnes, un grand nombre de Juifs étrangers, notamment allemands et autrichiens.

Histoires 14-18 : “Le crapouillot”, journal des tranchées. Le "crapouillot" est aussi le surnom d'un mortier, mais surtout un journal.

Histoires 14-18 : “Le crapouillot”, journal des tranchées

C'est LE journal des tranchées où pendant toute la guerre les soldats vont pouvoir exprimer leurs états d'âme. Son premier numéro, sorti en 1915, doit tout à son fondateur, Jean Galtier-Boissière. Jean Galtier-Boissière est journaliste, homme de gauche et proche des courants anarchistes, qui va d'abord donner à son titre une inspiration pacifiste et satirique. La première une du journal souhaite même ironiquement bon courage aux civils. Aidé de son père, à l'arrière, en charge de l'édition, Jean Galtier-Boissière va dépeindre la réalité de la guerre avec humour et ironie. C'est qui Jean Moulin ? - 1 jour, 1 question. C'est qui Lucie Aubrac ? - 1 jour, 1 question.

Qu’est-ce que le débarquement ? - 1 jour, 1 question. INA : documents audiovisuels sur le 2ème Guerre Mondiale. Depuis 2010, l'Institut national de l'audiovisuel et le Concours national de la Résistance et de la Déportation ont engagé un partenariat afin de mettre à disposition des enseignants et des élèves des documents audiovisuels issus des fonds d'archives de l'Ina.

INA : documents audiovisuels sur le 2ème Guerre Mondiale

Epousant le thème du concours 2017-2018, la sélection propose, au sein de Jalons, des archives sonores et filmées illustrant l’engagement des hommes et des femmes pour libérer la France. Elle permet d'illustrer certains des axes de réflexion développés au sein de la brochure nationale du CNRD, coordonnée cette année par la Fondation de la France libre sous la responsabilité de M. Tristan Lecoq, Inspecteur général de l’Education nationale. Le Journal d'Anne Frank. Anne Frank au Pays du Manga. Le Journal d'Anne Frank. Les tanks gonflables de la Seconde Guerre mondiale. Afin de tromper les allemands sur la position du débarquement lors de la Seconde Guerre mondiale, l’opération Fortitude a été créée par les alliés pour créer de fausses unités au nord et au sud du Royaume-Uni pour faire croire aux allemands que le débarquement aurait lieux en Norvège ou dans le Pas de Calais.

Les tanks gonflables de la Seconde Guerre mondiale

Ces vrai-fausses unités utilisaient différentes méthodes pour simuler l’activité d’une unité typique comme des transmissions radios, des mouvements, de fausses infrastructures et véhicules. Après le débarquement ces opérations se poursuivront avec une « Ghost Army » de 1000 hommes qui en simulait 30 000 et qui va suivre la progression de l’armée réelle et utiliser toute les techniques possibles de désinformation pour divertir les troupes allemandes du champ de bataille réel et disperser leurs efforts. Système de marquage nazi des prisonniers. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Système de marquage nazi des prisonniers

Charte des signes distinctifs à Dachau, vers 1938-1942. Les nazis avaient développé un système de symboles d'étiquetage des prisonniers permettant d'identifier la cause de leur incarcération. Dans certains camps, le traitement variait selon le marquage porté par les détenus. Exemples de marquage[modifier | modifier le code] Marquage pour les Juifs. Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ Régis Schlagdenhauffen donne notamment l'exemple de « 22 détenus préventifs internés à Ravensbrück après avoir purgé une peine de prison pour infraction au § 175.

Annexes[modifier | modifier le code]