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L aveu au mari dans La Princesse de Cleves. Princesse de Clèves aveu à son mari - Commentaire et dissertation. Introduction: “Princesse de Clèves aveu à son mari”.

Princesse de Clèves aveu à son mari - Commentaire et dissertation

D’abord, La princesse de Clèves est un roman écrit de manière anonyme par Mme de La Fayette en 1678. La romancière participe à des salons mondains tels que celui de Mme de Rambouillet où naît et se développe une esthétique précieuse. Ainsi, dans ce roman l’héroïne éponyme, mariée au prince de Clèves, découvre les feux de la passion avec le duc de Nemours qu’elle rencontre au cours d’un bal. Problématique. Ainsi, comment la morale individuelle influence-t-elle l’aveu de Mme de Clèves à son mari ? Eh bien, Monsieur, lui répondit-elle en se jetant à ses genoux, je vais vous faire un aveu que l’on n’a jamais fait à son mari, mais l’innocence de ma conduite et de mes intentions m’en donne la force. 1.

A/ Des circonstances romanesques B/Les aveux d’une héroïne. LA N°15 : La Princesse de Clèves, Madame de La Fayette. En 1678, la publication anonyme de La Princesse de Clèves déclenche une vive polémique.

LA N°15 : La Princesse de Clèves, Madame de La Fayette

Chacun tente d’identifier l’auteur de cet ouvrage, successivement attribué à La Rochefoucauld et à Segrais avant que Mme de Lafayette avoue à demi-mots l’avoir écrit dans une lettre adressé à l’un de ses amis. Ce roman, écrit en plein classicisme, alors que l’amour précieux est le sujet favori de certains salons littéraires, narre l’histoire de la princesse de Clèves, épouse de M de Clèves pour lequel elle nourrit une tendresse sincère mais qu’elle n’aime pas.

Sa rencontre avec le duc de Nemours constitue un véritable coup de foudre mais Mme de Clèves, héroïne sublime, se refuse à lui et ce jusqu’à la fin du roman après même la mort de son époux. Dans ce passage, l’héroïne apprend à son mari qu’elle a une inclination pour un autre homme, le duc de Nemours, qu’elle ne nomme pas mais qui assiste, caché, à l’entretien. I- Un aveu sincère laissant entrevoir la grandeur des personnages a- Un aveu grandiose. Madame de La Fayette, La Princesse de Clèves, 1678. - Cours de Lettres en ligne. Essai.

Madame de La Fayette, La Princesse de Clèves, 1678. - Cours de Lettres en ligne

Analyse littéraire - mort de M. de Clèves la Fayette EAF 220. La mort de M. de Clèves Le roman et ses personnages : Les personnages adjuvants ont-ils pour seule fonction d’aider le personnage principal à se réaliser?

Analyse littéraire - mort de M. de Clèves la Fayette EAF 220

Adjuvant = personnage secondaire qui aide le personnage principal à se réaliser et à évoluer. Tome IV de « Cependant M. de Clèves était presque abandonné des médecins. » à « de faux serments ou un aveu me feraient peut-être une égale peine. » Problématique : En quoi ce récit pathétique est-il l’expression de la tragédie d’une séparation? Plan proposé pour une étude analytique : I - Un récit pathétique. S. Lojkine, Analyse d’une scène de roman : la canne des Indes - Utpictura18 Fiction. Pour citer ce texte : Stéphane Lojkine, « Analyse d’une scène de roman : la canne des Indes », Aix-en-Provence, décembre 2008, cours sur La scène de roman, genèse et histoire Analyse d’une scène de roman La canne des Indes.

S. Lojkine, Analyse d’une scène de roman : la canne des Indes - Utpictura18 Fiction

Gravure de Jules-Arsène Garnier d’après Alphonse Lamotte. Explic canne des indes. "Les palissades étaient fort hautes, et il y en avait encore derrière, pour empêcher qu'on ne pût entrer ; en sorte qu'il était assez difficile de se faire passage.

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Monsieur de Nemours en vint à bout néanmoins ; sitôt qu'il fut dans ce jardin, il n'eut pas de peine à démêler où était Madame de Clèves. Il vit beaucoup de lumières dans le cabinet, toutes les fenêtres en étaient ouvertes ; et, en se glissant le long des palissades, il s'en approcha avec un trouble et une émotion qu'il est aisé de se représenter. Il se rangea derrière une des fenêtres, qui servait de porte, pour voir ce que faisait Madame de Clèves. Il vit qu'elle était seule ; mais il la vit d'une si admirable beauté, qu'à peine fut-il maître du transport que lui donna cette vue. Il faisait chaud, et elle n'avait rien sur sa tête et sur sa gorge, que ses cheveux confusément rattachés.

On ne peut exprimer ce que sentit Monsieur de Nemours dans ce moment. Introduction : Situation du passage : Problématique : Annonce du plan : Littérature-et-Commentaires: La Princesse de Clèves de Madame de La Fayette, analyse de la scène des rubans ou canne des Indes, tome IV. Commentaire de la scène des rubans dans La Princesse de Clèves, tome IV De « Il vit beaucoup de lumières dans le cabinet » à « elle entra dans le lieu où étaient ses femmes ».

Littérature-et-Commentaires: La Princesse de Clèves de Madame de La Fayette, analyse de la scène des rubans ou canne des Indes, tome IV

"Il vit beaucoup de lumières dans le cabinet ; toutes les fenêtres en étaient ouvertes et, en se glissant le long des palissades, il s’en approcha avec un trouble et une émotion qu’il est aisé de se représenter. Il se rangea derrière une des fenêtres, qui servaient de porte, pour voir ce que faisait Mme de Clèves. Il vit qu’elle était seule ; mais il la vit d’une si admirable beauté qu’à peine fut-il maître du transport que lui donna cette vue. Il faisait chaud, et elle n’avait rien, sur sa tête et sur sa gorge, que ses cheveux confusément rattachés. Dans cette scène nocturne, la princesse est réfugiée dans un cabinet de son pavillon de Coulommiers et se croyant seule, sa pensée tournée vers l’amour secret qu’elle porte à monsieur de Nemours, elle manipule des rubans à sa couleur et contemple son portrait.

Les moralistes - LETTRES & FICELLES. L'absolutisme triomphant L'enjeu est alors aussi bien de constituer la France en puissance capable de rivaliser avec la grande Espagne, que de contenir la noblesse (La Fronde, 1648-52), en réduisant ses prérogatives au profit du pouvoir central.

Les moralistes - LETTRES & FICELLES

L'émulation culturelle Le roi Soleil organise des cérémonies fastueuses ("Les plaisirs de l'île enchantée", 1664) , pensionne des artistes (LULLY, MOLIÈRE, LA FONTAINE, LE BRUN et MIGNARD en peinture), décidant de leur succès ou de leur disgrâce, et enfin s’adjoint des historiographes (BOILEAU, RACINE). Il entend aussi contrôler la machinerie du spectacle propre à impressionner les foules (théâtre, ballets, opéras). Enfin il institutionnalise la culture : création de l’Académie française en 1635. C’est en particulier au théâtre que revient la mise en scène du pouvoir, glorieux ou implacable dans les tragédies.

> Une image glorieuse de l'autorité politique : Corneille, Cinna (1640) , Acte V, sc.3 "La clémence d'Auguste" L'envers du décor.