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Lexique et définitions

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Structure de données. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En informatique, une structure de données est une structure logique destinée à contenir des données, afin de leur donner une organisation permettant de simplifier leur traitement. Une structure de données implémente concrètement un type abstrait. Objectifs de l'organisation des données[modifier | modifier le code] Pour prendre un exemple de la vie quotidienne, on peut présenter des numéros de téléphone par département, par nom, par profession (comme les Pages jaunes), par numéro téléphonique (comme les annuaires destinés au télémarketing), par rue et/ou une combinaison quelconque de ces classements.

À chaque usage correspondra une structure d'annuaire appropriée. En organisant d'une certaine manière les données, on permet un traitement automatique de ces dernières plus efficace et rapide. Exemples de structures de données[modifier | modifier le code] Types de collections[modifier | modifier le code] Files à priorités[modifier | modifier le code] Exploration de données.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vous lisez un « bon article ». L'utilisation industrielle ou opérationnelle de ce savoir dans le monde professionnel permet de résoudre des problèmes très divers, allant de la gestion de la relation client à la maintenance préventive, en passant par la détection de fraudes ou encore l'optimisation de sites web. C'est aussi le mode de travail du journalisme de données[1]. L'exploration de données[2] fait suite, dans l'escalade de l'exploitation des données de l'entreprise, à l'informatique décisionnelle. Histoire[modifier | modifier le code] Collecter les données, les analyser et les présenter au client. De 1919 à 1925, Ronald Fisher met au point l'analyse de la variance comme outil pour son projet d'inférence statistique médicale.

L'arrivée progressive des micro-ordinateurs permet de généraliser facilement ces méthodes bayésiennes sans grever les coûts. Applications industrielles[modifier | modifier le code] Données ouvertes. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Donnée. Selon les pays, une part plus ou moins importante de la donnée publique est mise à disposition de tous dans le champ des données ouvertes. Ce mouvement est en expansion Les données ouvertes à la Loupe Autocollants utilisés par les militants des données ouvertes Une donnée ouverte est une donnée numérique d'origine publique ou privée. L'ouverture des données (en anglais open data) représente à la fois un mouvement, une philosophie d'accès à l'information et une pratique de publication de données librement accessibles et exploitables. Elle s'inscrit dans une tendance qui considère l'information publique comme un bien commun (tel que défini par Elinor Ostrom) dont la diffusion est d'intérêt public et général.

En Europe et dans certains pays, des directives et lois imposent aux collectivités de publier certaines données publiques sous forme numérique. Remarque : Le présent article est généraliste. 5 star Open Data. Open data (dossier complet) : formats, licences, réutilisation des données et projets. L’édition papier de la Gazette des Communes datée du 21 janvier 2013 (n°3/2157) propose un dossier complet sur l’Open Data : le service public augmenté avec un point sur les formats, les licences et la gratuité en débat, favoriser la réutilisation des données et inscrire les actions pour des données au service du territoire.

Qu’est-ce que l’Open Data (ou données ouvertes) – cf. Wikipédia : « Une donnée ouverte (en anglais open data) est une information publique brute, qui a vocation à être librement accessible et réutilisable. La philosophie pratique de l’open data préconise une libre disponibilité pour tous et chacun, sans restriction de copyright, brevets ou d’autres mécanismes de contrôle. » Open Data : où en est-on ? Ce dossier sur les données ouvertes / open data réalisé par Frédéric Ville et coordonné par Romain Mazon s’interroge sur 3 points principaux : En mouvement : le débat se poursuit Favoriser la réutilisation : les citoyens sur le pont Pour en savoir plus Licence :

L'Open Data à la Loupe. De l’open DATA au crowdsourcing, chronique d’une révolution en marche. Web des données. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Web des données (Linked Data, en anglais) est une initiative du W3C (Consortium World Wide Web) visant à favoriser la publication de données structurées sur le Web, non pas sous la forme de silos de données isolés les uns des autres, mais en les reliant entre elles pour constituer un réseau global d'informations.

Il s'appuie sur les standards du Web, tels que HTTP et URI - mais plutôt qu'utiliser ces standards uniquement pour faciliter la navigation par les êtres humains, le Web des données les étend pour partager l'information également entre machines. Cela permet d'interroger automatiquement les données, quels que soient leurs lieux de stockage, et sans avoir à les dupliquer[1]. Tim Berners-Lee, directeur du W3C, a inventé et défini le terme Linked Data et son synonyme Web of Data au sein d'un ouvrage portant sur l'avenir du Web sémantique[2]. Principes[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Vers une fiscalité des données. [Info Owni] La mission sur la fiscalité du numérique, dont les conclusions sont attendues mi-décembre, envisage de créer une fiscalité fondée sur les données personnelles.

L'idée est simple : plus une boîte ouvre ses données aux utilisateurs, moins elle est taxée. Toutes les entreprises pourraient donc être visées. Une petite bombe. “Les données personnelles sont le nouveau pétrole de l’internet”. Et pourquoi pas aussi le levier d’une nouvelle fiscalité en France ? Selon nos informations, la mission chargée de réfléchir à une “fiscalité du numérique” et baptisée “Colin et Collin” du nom de ses deux auteurs, s’oriente vers une imposition déterminée par la politique des entreprises en matière de données personnelles.

Une idée originale dans le débat plus connu sous le sobriquet réducteur mais significatif de “Taxe Google” et sur lequel nombre se sont déjà cassés les dents. Fiscalité des données Le tout, sous contrôle de l’utilisateur. Si j’ai une information sur vous, vous l’avez aussi. Petit lexique du web 2.0. Dictionnaire du Web 2.0: Folksonomy, tags et social bookmarking. Web sémantique. Logo du W3C pour le Web sémantique Le Web sémantique, ou toile sémantique[1], est une extension du Web standardisée par le World Wide Web Consortium (W3C)[2]. Ces standards encouragent l'utilisation de formats de données et de protocoles d'échange normés sur le Web, en s'appuyant sur le modèle Resource Description Framework (RDF). Le web sémantique est par certains qualifié de web 3.0 . Alors que ses détracteurs ont mis en doute sa faisabilité, ses promoteurs font valoir que les applications réalisées par les chercheurs dans l'industrie, la biologie et les sciences humaines ont déjà prouvé la validité de ce nouveau concept[5].

L'article original de Tim Berners-Lee en 2001 dans le Scientific American a décrit une évolution attendue du Web existant vers un Web sémantique[6], mais cela n'a pas encore eu lieu. En 2006, Tim Berners-Lee et ses collègues ont déclaré : Cette idée simple… reste largement inexploitée.[7] Histoire[modifier | modifier le code] — Tim Berners-Lee, Weaving the Web[13] La FAQ sur le Web sémantique. Une URI est l'identifiant d'une ressource (une « chose », qui peut être n'importe quoi) ; dans un triplet RDF, composé d'un sujet, d'un prédicat et d'un objet, le sujet est une URI (ou parfois un nœud anonyme, ou nœud blanc, qui n'a pas d'URI), le prédicat est une URI, et l'objet est soit une URI, soit un nœud blanc, soit un littéral.

Vous êtes sans doute familier avec la notion d'URL (Uniform Ressource Locator) qui est ce qui s'affiche dans la barre d'adresse de votre navigateur quand vous naviguez sur Internet. Ces URL sont en fait un sous-ensemble des URI (Uniform Resource Identifier) ; toute URL est une URI, mais l'inverse n'est pas vrai. Une URI, comme son nom l'indique, identifie une ressource.

Cette ressource peut être n'importe quoi, une personne, une ville, votre chat, etc. Web sémantique. Web sémantique La majorité du Web est destiné à être lu. Il n'est pas fait pour être manipulé de façon intelligente par des programmes informatiques, en général incapables de caractériser les informations qu’ils parcourent.Le Web sémantique vise à faciliter l'exploitation des données structurées, pour donner du sens au contenu des pages Web, en permettant leur interprétation par des machines.

Il ne s’agit pas d’un web à part, mais plutôt d’une extension ou d’une amélioration du Web courant où chaque donnée acquiert un sens défini, afin de créer un réseau d'informations structurées, disponibles en ligne et facilement réutilisables. L’ensemble repose sur des normes, des standards ouverts comme RDF et SPARQL, et des recommandations évitant ainsi redondances, conversions lourdes et permettant la traçabilité des données sources.Les enjeux en bibliothèques sont multiples. Généralités AMAR, Muriel et MENON, Bruno. SUR, Serge, BLOCH, Laurent, BOULLIER, Dominique, et al.

BNF. PEYRARD, Sébastien. Des concepts aux technologies, le web 3.0 en un clin d'œil : définitions, mots-clés, technologies. Métalangage de l'économie de l'information. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Information Economy Meta Language (IEML, fr. : métalangage de l'économie de l'information) est un langage informatique. Dans le monde, une quarantaine de personnes travaillent actuellement sur le projet, dont des chercheurs du laboratoire Paragraphe de Paris VIII, du MCR Lab de l’Université d’Ottawa et des informaticiens de l'association DixièmeFamille.com.

L'objectif est d'arriver à des applications concrètes d'ici 2010. Structure du métalangage[modifier | modifier le code] Synoptique de la grammaire[modifier | modifier le code] La grammaire d'IEML comporte quatre parties. 1) La structure fondamentale : le flux d'information circulant entre une source et une destination (optionnel : traductrice). 2) cinq éléments, composantes primitives des flux : Pôle pragmatique O : le virtuel Ul'actuel APôle sémantique M : le signe Sl'être Bla chose T. 4) Les graphes, ou textes IEML : flux d'information entre glyphes. Dictionnaires[modifier | modifier le code]

Wikipédia. Wikipédia Écouter est une encyclopédie universelle et multilingue créée par Jimmy Wales et Larry Sanger le 15 janvier 2001. Il s'agit d'une œuvre libre, c'est-à-dire que chacun est libre de la rediffuser. Gérée en wiki dans le site web wikipedia.org grâce au logiciel MediaWiki, elle permet à tous les internautes d'écrire et de modifier des articles. Elle est devenue en quelques années l'encyclopédie la plus fournie et la plus consultée au monde. L'organisation à but non lucratif américaine Wikimedia Foundation est dépositaire de la marque Wikipedia. Elle finance l'hébergement web de l'encyclopédie. L'anglais a été la première langue utilisée, et Wikipédia en anglais compte plus de six millions d'articles début 2020. Historique En mars 2000, Jimmy Wales met en ligne sur le Web une encyclopédie libre[1] appelée Nupedia.

Jimmy Wales, cofondateur de Wikipédia. La version française de Wikipédia est officiellement créée le 23 mars 2001. Diffusion Distribution papier et CD/DVD Nature Projets frères.