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Plus loin sur la recherche d'information

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Frédéric Rabat, ou l’entrée dans la culture de l’information par ses o. Présentation du projet Ce travail en deux parties, la première centrée sur les enjeux (Doit-on… ?)

Frédéric Rabat, ou l’entrée dans la culture de l’information par ses o

, la seconde sur les applications pédagogiques (Peut-on… ?) , est l’expression d’un projet fondé sur un constat. Le constat est simple et partagé par nombre d’enseignants du secondaire et du supérieur : comment expliquer la clémence, voire l’aveuglement, de nos élèves pour un objet - il s’agit ici de Google - faisant preuve d’une volonté hégémonique sans précédent et phagocytant ouvertement nos usages informationnels ? A partir de cette question-problème, le projet se déploie en ouvrant des pistes de réponses, lesquelles explorent le passé, la stratégie de communication, les principes techniques et le modèle économique de Google.

L’enjeu éducatif est ainsi présenté dans le premier volet (Doit-on… ?). Dans le second volet (Peut-on… ?) 1- savoir comment le moteur traite la requête qui lui est soumise (indexation)2- savoir comment le moteur positionne les résultats d’une requête (référencement) Une société de la requête (1/3) : Comprendre la nouvelle économie cognitive. Dans le monde numérique d'aujourd'hui, il est nécessaire de comprendre le fonctionnement intrinsèque des systèmes que nous utilisons.

Une société de la requête (1/3) : Comprendre la nouvelle économie cognitive

En novembre 2009, la conférence sur la "Société de la requête" s'est ainsi intéressé à Google, pour comprendre la manière dont il nous manipule et à partir de là, imaginer comment le contourner et le subvertir. Retour sur la Googlisation de nos vies... Suite à la publication de l'article de Geert Lovink sur la société de la requête et la googlisation de nos vies, celui-ci a organisé mi-novembre 2009 une conférence sur ces sujets, visiblement très riche. Le blog de comptes-rendus a servi de trame pour essayer d'en rendre un aperçu - notez que toutes les vidéos des présentations sont également accessibles en ligne.

Nous sommes tous les ouvriers de Google ! La conférence a été introduite par l'économiste Yann Moulier-Boutang, qui avait coordonné cet été un passionnant numéro de Multitudes sur la question, une revue dont il est le directeur. Le parasite Google. PDCI - Université du Québec. Web invisible. Outils de recherche et de veille sur le web en SHS. Copie-1.jpg (Image JPEG, 1200x1006 pixels) Pertinence, tri et recherche de l'information dans le web 2.0. Le web est une formidable base de connaissance. J’en ai parlé dans les articles précédents, le web 2.0 et notamment les blogs apportent une quantité d’information très importante, en grande partie redondante. Elle est extrêmement décentralisée mais néanmoins interconnectée grâce à la technologie fondatrice du web : le lien hypertexte.

Pour trouver de l’information dans ce brouhaha électronique, je fais appel, comme des millions d’internautes, au plus célèbre des moteurs de recherche : Google. Google indexe plus de 8 milliards d’adresses URL. Comment sont présentés les résultats de ma recherche ? Lorsque, au paragraphe précédent, j’ai fait un lien vers la page PageRank de l’encyclopédie Wikipedia, j’ai implicitement recommandé cette ressource comme pertinente sur ce sujet. Une page est d’autant mieux trouvée et dès lors d’autant plus consultée que son référencement sur les moteurs de recherche est bon.

Qu’un rétrolien ? Je note, en bas de l’article, l’adresse de trackback,