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Economie

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Jacques Généreux fustige la libéralisation et le capitalisme. ( Jacques Généreux - capture d'écran Youtube - BRISEFER6 ) L’économiste du Parti de gauche, qui a longtemps officié au Parti socialiste, a publié il y a quelques mois la Grande Régression, une synthèse abordable de sa pensée et des nombreux ouvrages qu’il a pu publier (et notamment La dissociété, dont j’avais écrit une revue en trois parties). Le procès de la libéralisation Comme avec Jacques Sapir, l’intérêt de l’analyse de Jacques Généreux est qu’elle est systémique, prenant en compte la libéralisation du commerce et de la finance. Mais si le premier y ajoute une dimension plus historique, le second y ajoute une analyse plus psychologique et philosophique, sur laquelle je reviendrai demain.

Un processus historique Du même auteur Jacques Généreux synthétise les mouvements de l’histoire ainsi : « la phase précédant la Grande Régression avait enclenché une dialectique positive dans laquelle le capitalisme s’adaptait aux exigences de la société. L'argent Dette (2010) Paul Grignon. L'escroquerie actuelle - L'endettement, les banques, la complicité de gouvernants pourris. L'Argent Dette 2 - Promesses Chimérique.

Crise: et si Roosevelt avait raison. A qui profite la dette ? On veut savoir ! Il est faux de dire que, depuis des décennies, les Belges vivent « au-dessus de leurs moyens » et que la dette provient d’un excès de dépenses publiques. Pour prouver le contraire, il suffit de montrer la façon dont les dépenses publiques belges ont évolué par rapport au PIB (ensemble des richesses produites par le pays). Il apparaît qu’elles sont restées stables, en moyenne à 43% du PIB, sur la période 1980-2010. Le graphique ci-dessous montre l’absence de lien entre l’évolution des dépenses publiques et celle de la dette publique. Les périodes de hausse importante de la dette ne correspondent pas à des périodes dites de « largesses » des pouvoirs publics. Si cette dette ne vient pas de ces prétendues largesses, alors d'où vient-elle ? 1. Aujourd'hui, on ne parle quasiment que du problème du déficit et des dettes publiques.

Ce sauvetage a provoqué une augmentation de la dette publique de 32,5 milliards €. 2. 3. 4. A qui profite la dette ? CADTM. Jacques Sapir. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Sapir. Jacques Sapir Jacques Sapir (né le 24 mars 1954[1] à Puteaux en France) est un économiste français. Il a enseigné à l'université de Paris-X Nanterre, puis il est devenu directeur d'études à l'EHESS en 1996, après y être entré comme maître de conférences en 1990.

Il a pris publiquement position pour la « démondialisation ». Biographie[modifier | modifier le code] Il est le fils de Marie-Thérèse Roubaud et du psychanalyste Michel Sapir. Études[modifier | modifier le code] Jacques Sapir est diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris en 1976. En 1980, il soutient une thèse de doctorat de 3e cycle à l'EHESS sous la direction de Charles Bettelheim[4]. Carrière[modifier | modifier le code] Jacques Sapir a exercé une fonction d'expert sur les problèmes de la transition dans l'ex-Union soviétique.

Politique[modifier | modifier le code] Distinctions[modifier | modifier le code] [modifier | modifier le code] Glass-Steagall Act. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Glass-Steagall Act est le nom sous lequel est généralement connu le Banking Act de 1933 aux États-Unis par lequel sont instaurés : l'incompatibilité entre les métiers de banque de dépôt et de banque d'investissement ;le système fédéral d'assurance des dépôts bancaires ;le plafonnement des taux d'intérêt sur les dépôts bancaires (règlementation Q).

Battu en brèche depuis le milieu des années 1970 et largement contourné par l'ensemble de la profession bancaire, il est finalement abrogé « sous l'administration Clinton, le » par le Financial Services Modernization Act, dit Gramm-Leach-Bliley Act, juste à temps pour permettre la fusion constitutive de Citigroup. Contexte historique[modifier | modifier le code] L'application tardive du principe de séparation des pouvoirs[modifier | modifier le code] Selon Nicolas J. La doctrine Germain[modifier | modifier le code] L'époque du relâchement[modifier | modifier le code] J.P. . ↑ J. Bourse: un chat plus fort que des financiers chevronnés. Temps de lecture: 2 min L'hebdomadaire du dimanche du Guardian, The Observer, a lancé en 2012 un concours d’investissement en Bourse auquel ont participé plusieurs professionnels expérimentés de la finance, un groupe d'étudiants de la filière et… un petit chat au pelage roux, nommé Orlando.

Et, devinez qui a gagné? Le chat, bien sûr (sinon, on ne vous en parlerait sûrement pas). Chaque participant à investi 5.000 livres (6.011 euros) dans cinq sociétés de son choix cotées au FTSE (Financial Times Stock Exchange, indice des 100 premières sociétés britanniques) au début de l’année. Tous les trois mois, les compétiteurs avaient la possibilité d’échanger leurs actions et de les réinvestir dans d’autres sociétés de l’indice. Pendant ce temps-là le chat, lui, a «choisi» ses investissements en lançant son jouet en forme de souris sur une grille où étaient placés les noms des sociétés cotées.

Économie 2.0

9. Taux de chômage structurel, Taux de chômage d’équilibre, taux de chômage naturel, NAIRU : de quoi s’agit-il ? L’expression "taux de chômage d’équilibre" renvoie à un grand nombre de concepts, puisqu’il est peut être associé tour à tour au taux de chômage frictionnel, au taux de chômage non inflationniste, au taux de chômage naturel, ou encore au taux de chômage structurel. En tenant compte des difficultés de mesure qui ont été soulignées dans un autre article, le taux de chômage effectif est la référence par rapport à laquelle il faut situer les autres concepts. Il est évident qu’un taux de chômage effectif égal à 0 % est impensable. Le fonctionnement de l’économie entraîne en permanence des créations et des disparitions d’entreprises donc d’emplois.

De nouveaux canadidats aux emplois arrivent régulièrement sur le marché du travail parce qu’ils sortent du système de formation ou parce qu’ils souhaitent reprendre une activité ou plus simplement changer d’emploi. Il y a donc une composante conjoncturelle dans la détermination du taux de chômage effectif. Trop de brevets tuent le brevet, Editoriaux. High-Tech : Financement participatif : le Web fédère les investisseurs. Les sites dédiés au financement des projets se multiplient. Mais la réglementation française freine son développement. Quel est le point commun entre le tubeToi + moidu chanteur Grégoire, la brasserie La Goutte d'Or, à Paris, la bande dessinée Le Chômeur et sa belle et un taxi-brousse qui désenclave les zones rurales du nord du Niger?

Tous ces projets ont vu le jour grâce à un financement participatif. Autrement dit, avec l'argent de «micro-investisseurs» réunis sur Internet. Le crowdfunding met en relation l'épargne des ménages avec des «porteurs de projet» via des sites spécialisés. On donne, prête ou place une somme allant de 1000 à 5000 euros, parfois plus, pour soutenir le projet de son choix. La clé de ce type de financement est la multiplication des petites sommes collectées: les porteurs de projets peuvent espérer accumuler un capital s'élevant jusqu'à 100.000 ou 200.000 euros.

L'idée est en plein essor. Kickstarter a collecté 200 millions de dollars » BLOG - Nouvelles solidarités. Loi du 3 janvier 1973 sur la Banque de France. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Loi n°73-7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France Lire en ligne Texte sur Légifrance La loi n°73-7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France est une loi française, qui a régi de 1973 à 1993 l'organisation de la Banque de France.

Cette loi est parfois surnommée loi Pompidou-Giscard ou loi Rothschild. Ces dernières années, cette loi est au cœur d’un débat sur l’endettement public et la création monétaire. Le débat[modifier | modifier le code] La critique de la « loi de 1973 » s’inscrit en fait dans un débat économique plus large, notamment sur la création monétaire. Jusqu'en 1972, la Banque de France pouvait prêter à l’État sans intérêt 10,5 milliards puis 10 autres milliards à taux très faible[2]. La critique[modifier | modifier le code] Selon les critiques de cette pratique, la classe politique s'est soumise aux marchés financiers qui sont les créanciers de l'État. Le débat sur cette loi s'est beaucoup répandu sur Internet. Effet de commerce en France.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un effet de commerce est un titre négociable qui constate, au profit du porteur, une créance de somme d’argent, et sert à son paiement. Cet effet doit suivre un formalisme très rigoureux pour sa validité et son efficacité. Différents moyens (dont l'escompte) permettent de faire circuler l'effet avec la créance incorporée. Les deux principaux effets de commerce sont la lettre de change et le billet à ordre. Il convient de noter que le chèque est aussi un effet de commerce.

Enjeux des effets de commerce[modifier | modifier le code] L'effet de commerce est un moyen de paiement qui peut s'échanger et partager la garantie de paiement, car il n'est pas attaché à un compte bancaire. Son usage remonte au Moyen Âge où les changeurs remettaient ce type de document à leurs clients commerçants pour éviter le transport de fonds à une époque dangereuse. Caractéristiques principales des effets de commerce[modifier | modifier le code] à la remise. [Publication] Idée reçue sur la loi du 3 janvier 1973. Nous partageons aujourd'hui une production personnelle élaborée par Magali Pernin et moi (Lior) consacrée à la loi du 3 janvier 1973, qu'on connait sous le nom de "loi Pompidou-Giscard" ou encore "loi Rothschild". Nous avons appris à connaitre cette loi grâce au travail incessant d'André-Jacques Holbecq, Philippe Derruder et Etienne Chouard.

Suite à la tribune d'Alain Beitone sur le site LeMonde.fr, nous avions pu avoir accès à un document dans lequel il évoquait ses doutes sur ce qu'on pense souvent de cette loi. Les pistes évoquées nous ont permis, après des heures de lecture et d'analyse des débats, de montrer que la loi de 1973 en soi n'apporte rien de nouveau sur le plan de l'emprunt sans intérêt, même si elle introduit des nouveautés indéniables dans les missions et les outils de l'institut d'émission. La loi du 3 janvier 1973 (1) a décidément mauvaise réputation. Désormais, rares sont les personnalités politiques à défendre cette loi. Article 25 de la loi 73-7 du 3 janvier 1973. [Publication] Idée reçue sur la loi du 3 janvier 1973. Discussion:Loi du 3 janvier 1973 sur la Banque de France. Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Abrogation ? [modifier | modifier le code] loi abrogée le 1er janvier 1994. faudrait préciser et dire ce par quoi ça a été remplacé.

Levochik (d) 23 octobre 2010 à 08:33 (CEST) Apparemment, la loi du 4 aout 1993 n'a abrogé de la loi de 1973 que les nominations du personnel de la banque de france. Il me semble effectivement que ca a été abrogé maxwarrior 08/02/2011 18h:50 « L'article 104 du traité de Maastricht et l'article 123 du traité de Lisbonne ont repris les dispositions de cet article » — Delhovlyn » (discuter) 8 novembre 2011 à 18:46 (CET) J'ai rajouté des précisions sur l'abrogation. maxwarrior 11 novembre 2011 11:17 Un lien parlant des conséquence de cette loi[modifier | modifier le code] [1] Skiff (d) 18 décembre 2010 à 07:48 (CET) Marine Le Pen[modifier | modifier le code] Article nul[modifier | modifier le code] Économie des institutions. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Elle fait partie d'un ensemble plus vaste qu'est la théorie des institutions, qui contient également une analyse sociologique.

Elle est proche de l'Institutionnalisme américain de Veblen, qui lui est antérieur. Présentation[modifier | modifier le code] L'analyse économique des institutions a pris naissance au sein de l'Université de Chicago au début des années 60[réf. nécessaire]. Cette analyse s'est développée à partir de l'interprétation que l'on peut donner à la définition de la science économique. Il y a des différences d'approches entre l'économiste et le sociologue ou le juriste ou le politologue.

Plusieurs voies de recherches relatives à l'analyse économique des institutions se sont développées dans les années 60 : La Nouvelle Histoire économique : c'est une lecture économique des évènements de l'histoire (Douglass North, Fogel, Engermann).L'analyse économique des structures sociales. Notes et références[modifier | modifier le code] Économie des conventions. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'économie des conventions est, avec la théorie de la régulation, l'une des deux principales approches hétérodoxes de l'économie en France. Elle a pris son essor à partir du milieu des années 1980 autour des travaux de Jean-Pierre Dupuy, François Eymard-Duvernay, Olivier Favereau, André Orléan, Robert Salais et Laurent Thévenot.

Individualisme méthodologique, rationalité limitée et hétérodoxie[modifier | modifier le code] Le point de départ de la théorie des conventions consiste à comprendre comment les individus parviennent à mettre en place des règles de coopération et de comportements dans des situations d’incertitude avec pour hypothèse centrale que les individus ont une rationalité limitée. Son programme consiste en une reprise du projet radical de John Maynard Keynes qui vise à tirer toutes les conséquences pour l’analyse économique d’une prise en compte réaliste de l’incertitude, découlant d’une hypothèse de rationalité limitée.

Économies de la grandeur. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le courant des économies de la grandeur analyse les organisations en termes de conventions et d'accords. Il est issu des travaux communs d'un économiste des conventions, Laurent Thévenot et d'un sociologue disciple de Pierre Bourdieu, Luc Boltanski. C'est une approche interdisciplinaire. Le modèle des économies de la grandeur apporte alors un éclairage à la problématique de la coordination et de l'accord en entreprise qui est souvent délaissée en sociologie des organisations au profit de l'analyse du conflit, du pouvoir et de la rationalité. Principes[modifier | modifier le code] Selon Luc Boltanski et Laurent Thévenot, l'organisation ou l'entreprise sont par nature un espace de règles et de circulation des biens.

L'économie des conventions[modifier | modifier le code] À ces approches, ils substituent un modèle fondé sur l'économie des conventions. Les systèmes d'équivalence[modifier | modifier le code] Controverses[modifier | modifier le code] Marxisme économique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'économie marxiste est l'économie politique proposée dans les travaux de Karl Marx, et par extension les théories qui s’en sont inspirées, constituant le volet économique de la pensée marxiste.

À proprement parler, au sein de l'économie marxiste, il faut faire la distinction entre l'économie marxienne dont les représentants se revendiquent directement de la pensée de Marx, l'économie marxiste, qui appuie sa réflexion sur le marxisme, et enfin les écrits économiques de Marx. Pour désigner le marxisme économique, on parle alors suivant les cas de l'économie marxienne, de l'économie marxiste, de l'économie politique marxiste, de la science économique marxiste, de la théorie économique de Marx, des écrits économiques de Marx, de l'économie politique de Marx, etc. Présentation des écrits économiques de Marx[modifier | modifier le code] Conception matérialiste de l’histoire[modifier | modifier le code] Dans la valeur du produit il y a ainsi :

Le Capital. «On engage l’humanité dans un hold up légalisé» Courbe de Phillips. Synthèse néoclassique. Les marchés financiers reposent sur un postulat faux ! | Le Billet du Trader. Microéconomie. Monétarisme. Monétarisme. Le monétarisme. École de Chicago (économie) École autrichienne d'économie. Théorie du consommateur (microéconomie) Modèle IS/LM. Keynésianisme. Macroéconomie. Post-keynésianisme. Nouvelle économie keynésienne. Néokeynésianisme. Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie. Théorie de la régulation. La relation consommation - revenu chez Keynes SES VERSAILLES.

Mercantilisme. École classique. École néoclassique. Nouvelle économie classique. Théorie des cycles réels. Physiocratie. Epargne record en 2011 : que faire de tout cet argent ? | Chez Sylvain Gouz. Economie sociale. PageD'Accueil - openudc.