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Féminisme et religion

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Mouvements chrétiens féministes. Les mouvements chrétiens féministes, ou simplement le féminisme chrétien, sont des mouvements féministes qui cherchent à faire progresser l'égalité entres hommes et femmes, moralement et socialement, d'un point de vue chrétien, s'inspirant souvent des enseignements d'autres idéologies, en plus des preuves bibliques et d'autres textes chrétiens à travers l'histoire qui plaident pour les droits des femmes[1].

Mouvements chrétiens féministes

Le terme d’égalitarisme chrétien est parfois préféré parmi les chrétiens et chrétiennes qui ne souhaitent pas s'associer au mouvement féministe, qui est alors vu comme le désir des femmes de prendre le pouvoir sur les hommes, et d'effacer complétement les différences entre les genres (ce raisonnement reste critiqué parmi les égalitaristes[8]). Origine et définitions[modifier | modifier le code] La définition du féminisme chrétien en tant que mouvement varie selon le mouvement féministe et la branche du christianisme auxquels il s'apparente.

Bouteldja, ses « sœurs » et nous. Cachez moi cette burqa avec laquelle vous ne sauriez voir - Jour. Ainsi donc, notre République, née d’une ivresse de liberté, s’enivre désormais d’interdictions.

Cachez moi cette burqa avec laquelle vous ne sauriez voir - Jour

Et la dernière obsession de notre gouvernement semble être de vouloir interdire au nom de notre légendaire tolérance (légendaire comme le monstre du Loch Ness s’entend) le voile intégral, baptisé burqa pour l’occasion, le terme de niqab, plus exact, n’étant pas assez connoté Taliban. Je laisserai de côté pour le moment le projet de loi d’interdiction générale annoncée, mais soyez surs que j’y reviendrai tant la chose s’annonce riche en prix Busiris. La chasse à la burqa est déjà ouverte, tant la situation de notre pays ne connaît pas de thème plus urgent. Dernière illustration : une jeune femme circulant au volant d’une voiture ainsi vêtue a été verbalisée de 22 euros. « Féminisme et islam : ne pas confondre religion et patriarcat » « Blog de TERRA.

Le féminisme, une question de religion ? « Féminisme et islam », à l'Institut des cultures d'islam, 10 septembre, de g. à dr. : Nacira Guénif-Souilamas, Bérangère Leblanc, Myriam et Khadija Tighanimime, Nadia Bey (modératrice), Parvin Ali, Mehrézia Labidi-Maïza,Thierry Paquot.

Le féminisme, une question de religion ?

Pour Thierry Paquot, philosophe et seul homme autour de la table, le constat est sans appel : toutes les religions sont synonymes de soumission, islam compris. « Je ne connais aucune religion qui soit libératrice, je n’en connais que d’oppression et de culpabilité. » Le ton est donné. Mehrézia Labidi-Maïza, coordinatrice de Femmes croyantes pour la paix, ne voit pas le rapport entre soumission à Dieu et féminisme. « Il y a une petite partie du Coran qui est patriarcal, mais, pour le reste, on se soumet forcément à sa religion. J’estime avoir le droit d’être soumise à Dieu sans pour autant être un objet et ne pas pouvoir décider par moi-même.

Sourate An-Nisâ' (Les Femmes) Cette sourate comporte plusieurs sujets révélés à différentes occasions pendant la période s’étendant probablement entre la fin de l’an 3 A.H.

Sourate An-Nisâ' (Les Femmes)

(après l’hégire) et la fin de l’an 4 A.H., ou le début de l’an 5 A.H. Bien qu’il soit difficile de déterminer les dates exactes de ces révélations, il est néanmoins possible de leur assigner une période assez correcte à l’aide des commandements divins et des évènements mentionnés dans cette sourate ainsi que les traditions qui s’y rapportent. Quelques exemples sont donnés ci-dessous en guise d’illustration : Nous savons que les instructions au sujet du partage de l’héritage des martyrs et de la protection des droits des orphelins ont été révélées après la bataille de Uhud, où 70 musulmans ont été tués.

Marie-Andrée Roy : Les femmes, le féminisme et la religion. Au Québec, les femmes ont eu accès au savoir universitaire sur la religion au tournant des années soixante.

Marie-Andrée Roy : Les femmes, le féminisme et la religion

Au cours des années cinquante, Marie-Andrée Bertrand, la criminologue bien connue, s’était vue refuser l’accès à la formation donnée par la faculté de théologie de l’U. de Montréal, à l’époque sise au Grand Séminaire et dirigée par les messieurs de Saint-Sulpice parce qu’elle était une femme et que cet enseignement était alors réservé aux futurs prêtres. Des pionnières Au cours de la même période, des communautés religieuses féminines, dont la Congrégation de Notre-Dame avec soeur Sainte-Madeleine-du-Sacré-Coeur, c.n.d., à leur tête, déterminées à ce que leurs membres puissent recevoir une formation universitaire en théologie, font preuve d’une rare détermination en poursuivant des négociations difficiles avec les sulpiciens, lesquelles conduiront à la création de l’Institut supérieur de sciences religieuses de l’U. de Montréal en 1955 (Sauvé, 1995, 33-56).

Des recherches 1. Le Féminisme est-il nécessairement anti-religieux? - Manuel Domergue. Vendredi 28 juillet 5 28 /07 /Juil 23:32 Un certain nombre de tribunes récemment publiées dans la presse ont laissé penser qu’une posture féministe sur le thème du foulard ne pouvait s’accompagner que d’un discours intransigeant à l’égard de ce symbole religieux et identitaire.

Le Féminisme est-il nécessairement anti-religieux? - Manuel Domergue

Féminisme islamique : qu’est-ce à dire ?