background preloader

La Révolution française

Facebook Twitter

Marat, martyr de la Révolution. Contexte historique Jean-Paul Marat est l’une des figures emblématiques de la Révolution dont il incarne l’ « extrême gauche ». Sa célèbre phrase « rien de superflu ne saurait appartenir légitimement, tandis que d’autres manquent du nécessaire » traduit le fond de sa pensée sociale. Dès 1789, Marat élabora un projet de monarchie constitutionnelle. Mais c’est surtout son activité journalistique qui le rendit célèbre : sous le nom de « l’ami du peuple » (titre du journal qui succéda au Publiciste parisien, puis surnom personnel de Marat), il mena son combat politique contre le roi puis contre les girondins.

Accusé par ces derniers le 14 avril 1793, triomphalement acquitté par le tribunal révolutionnaire le 24 avril, Marat reprit son siège à l’Assemblée nationale. Analyse de l'image Le 14 juillet 1793, au lendemain de la mort de Marat, Guirault, porte-parole de la section du Contrat social, demanda au peintre David d’immortaliser Marat : « O crime ! Interprétation. Thermidor et l'imaginaire de la Terreur. Contexte historique Après la mort du roi le 21 janvier 1793, la jeune République française a dû faire face à de multiples offensives royalistes et contre-révolutionnaires, à l’intérieur comme à l’extérieur des frontières. Pour établir l’unité politique nationale indispensable à la préservation des acquis de la Révolution et à sa victoire contre les coalisés, la Convention a instauré une politique de contrôle du territoire, assortie de mesures d’exception, répressives et punitives.

Durant les seize mois que dura la Terreur – de la création du Tribunal révolutionnaire (10 mars 1793) à la chute de Robespierre (27 juillet 1794) –, la peur est devenue un moyen de gouvernement ; la réduction des libertés individuelles et la violence ont constitué le régime ordinaire des Français. Tout au long de cette période, les citoyens ont gardé le silence et retenu leur souffle. Mais la Terreur sécrète aussi un imaginaire fantasmatique que les contemporains peinent à dissocier de la réalité. 1792, la Nation en arme. Contexte historique Le 11 juillet 1792, face aux défaites militaires et aux menaces d’invasion (des Prussiens du Duc de Brunswick et des émigrés du prince de Condé), l’assemblée législative déclare « la Patrie en danger » et la levée de 50.000 volontaires parmi les gardes nationales. A la fin de l’été, la situation militaire devient dramatique. Longwy capitule le 23 août devant les Prussiens, Verdun se rend.

Le 26 août, l’assemblée approuve alors, sur la proposition de Danton une nouvelle levée de 30.000 hommes. Analyse de l'image Cette composition représente une scène d’enrôlement qui eut lieu à Paris sur le Pont-Neuf. A cheval, saluant la foule, apparaît Jérôme Pétion de Villeneuve, maire de Paris. Interprétation Dans cette évocation rétrospective du départ des Volontaires, Léon Cogniet oriente le mythe unificateur de la Révolution vers une représentation où l’esprit romantique tend à individualiser les personnages.

L’abolition de la Royauté - 21 septembre 1792. Contexte historique Le 21 septembre 1792, la Convention nationale décrète l’abolition de la royauté. Ce décret met fin à la longue décadence du pouvoir monarchique amorcée en 1789. En effet, depuis les journées d’octobre 1789 qui voient les femmes et les ouvriers parisiens ramener le roi et sa famille de Versailles aux Tuileries, Louis XVI est prisonnier du peuple de Paris, qui contrôle désormais le pouvoir politique. L’Assemblée constituante s’installe également aux Tuileries, dans la salle du Manège. Outre les graves problèmes de subsistance, elle doit affronter la crise financière liée à la dépréciation des assignats et les troubles religieux consécutifs à l’application de la Constitution civile du clergé votée le 12 juillet 1790.

Malgré son serment de « maintenir la Constitution », prononcé solennellement le 14 juillet 1790 lors de la fête de la Fédération, Louis XVI souhaite rompre avec la Révolution. Analyse de l'image Interprétation. EDU'bases Histoire-G ographie - Formulaire de recherche et r sultats pour : Histoire, Lyc e, Seconde, R volutions, libert s, nations, l aube de l poque contemporaine. Accueil - Domaine de Vizille -Musée de la Révolution française - Domaine de Vizille. Archives numériques de la Révolution française. Les Archives numériques de la Révolution française (ANRF) sont issues d’une collaboration de plusieurs années entre les bibliothèques de l’Université de Stanford et la Bibliothèque nationale de France (BnF), visant à créer une version numérisée des principales sources d’étude de la Révolution française et à les mettre à disposition de la communauté académique internationale.

Les Archives s’appuient sur deux sources principales, les Archives parlementaires et un vaste corpus d’images réuni pour la première fois en 1989 et intitulé Images de la Révolution française. Archives parlementaires / Parliamentary archives Les Archives parlementaires sont une collection de sources relatives à la Révolution française, organisées de façon chronologique. Images de la Révolution française / Images of the French Revolution.

Napoléon Bonaparte, Napoléon III, Consulat, Premier Empire, Cent-Jours, Second Empire, Empire napoléonien. Sous la Révolution. Le serment du Jeu de Paume le 20 juin 1789 - Jacques-Louis David Arrestation de M. de Launay, dans la deuxième cour de la Bastille le 14 juillet 1789 - Charles Thévenin La fête de la Fédération le 14 juillet 1790, au Champ-de-Mars - Charles Thévenin Antoine Barnave (1761-1793), homme politique - Antoine Houdon (attribué à) Louis XVI (1754-1793) - Joseph Ducreux Portrait de Georges Danton (1759-1794) Anonyme Portrait de Maximilien de Robespierre (1758-1794) Anonyme Une exécution capitale, place de la Révolution - Pierre-Antoine Demachy Le Peuple français ou la Liberté couronne le génie de la France - Joseph Chinard La Violation des caveaux des rois dans la basilique de Saint-Denis en octobre 1793 - Hubert Robert Arrestation de Louis XVI à Varennes dans la nuit du 21 au 22 juin 1791 - Jean-Baptiste Lesueur Salle 101 - 2ème étage - Hôtel Le PeletierLe Serment du Jeu de paume, Jacques Louis David (attribué à, 1748-1825), 1789 La Bastille Une fête fraternelle Coupable ?

Site officiel du musée Carnavalet | Musée Carnavalet - Histoire de la ville de Paris | Paris.fr. Conciergerie - Centre des monuments nationaux. Institut d'Histoire de la Révolution française.