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Les archives du Grand Orient de France (GODF) : dispersées mais accessibles. L'accès aux archives, que ce soit pour les chercheurs professionnels ou amateurs, a fait l'objet – depuis longtemps – de nombreuses controverses. Dans l'imagerie populaire et dans les mentalités collectives, l'idée d'archives contient ainsi une bonne part d'ombre et de secret : on y associe souvent ces longs couloirs de documents inaccessibles au commun des mortels, contenant des informations et des données dont seules les personnes habilitées pourraient prendre connaissance. Face à cette image récurrente qui tient beaucoup du fantasme, mais également face aux reproches d'une partie des chercheurs [1] , les services d'archives publics se sont efforcés de montrer que les documents qu'ils contenaient étaient communicables à tout un chacun .

En cela ils ont décidé de revoir le très fragile équilibre entre respect de la vie privée ou de secrets d'État (et c'est souvent sur ces derniers qu'il y a litige) et libre accès aux documents. De L'ensemble des archives données par le GODF à Figure 1.

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Association française d’histoire du travail et des ouvriers. Brevets français XIXème siècle. Using Patents to Enrich Your Family History. Hydraulica. La Statistique Générale de la France. L'Insee et la statistique publique. Ces données ont été saisies dans les années 1980 par une équipe de chercheurs franco-américains à l'Inter-University Consortium for Political and Social Research (ICPSR), situé à Ann Arbor, Michigan, États-Unis. Les tableaux reconstruits par l'Insee portent sur : Les sources Les données saisies proviennent des ouvrages éponymes publiés par la Statistique Générale de la France.

Ceux-ci peuvent être consultés à la bibliothèque de l'Insee. Les tableaux Les tableaux sont présentés au format Excel et dBase. Les tableaux Excel comportant au départ plus de 256 variables ont été arbitrairement scindés en 2 et suffixés par _I et _II. Exception : REC_T226, coupure entre les variables V250 et V251 MVTPOP_T170, 1ère coupure entre les variables V250 et V251, 2nde coupure entre V480 et V481 Les variables Les fichiers de données au format dBase sont accompagnés d'un fichier contenant pour un même domaine les libellés complets des variables. Les 5 premières variables sont communes à tous les tableaux : CAEF, Centre des archives économiques et financières. Retrouver le parcours d'un navire et d'un marin.

Cette semaine, une question de Patrick Taboret : D'après son livret d'inscription maritime (inscrit à Quimper, syndicat de Pont l'Abbé - Finistère), mon grand-père a été embarqué à bord du cuirassé FRIANT de 1910 à 1912 et titulaire de la médaille commémorative des opérations au Maroc. A quel organisme dois-je m'adresser pour obtenir ses états de service et connaitre les activités du Friant pour cette période ?

Les rôles d’équipage du Friant sont conservés à l’antenne de Brest du Service Historique de la Défense (SHD) en sous-série 4E. Mais le Friant y est enregistré comme croiseur et non comme cuirassé. Vous devriez donc de préférence commencer vos démarches au SHD-Vincennes dans les fonds de la Marine. En particulier en série BB pour y rechercher trace des mouvements et opérations du Friant et en série CC pour d’éventuelles pièces nominatives concernant votre grand-père. Jérôme MALACHE, Généalogiste professionnel en région parisienne Pour la CSGHF Besoin d'aide ? Rubrique débuter Forum d'aide. Espace Tradition - Ecole navale - Accueil. La flotte de Napoléon III.

- extrait de Bonnefoux et Pâris - Dictionnaire de la marine à voile - 2e édition, Arthus Bertrand, Paris, 1856. " La composition des bouches à feu dont il vient d'être parlé et qui contient des espèces de calibres divers, est déterminée par un Règlement de 1852 et par des Dispositions Ministérielles de 1848 et de 1849 qui sont insérées dans le Bulletin Officiel de marine. Le nombre des hommes et celui des bouches à feu portés par ses bâtiments excèdent, quelquefois, les chiffres qui viennent être mentionnés ; ceci tient à quelque variation dans les dimensions de ces bâtiments, ou aux missions qu'ils ont à remplir ; mais ces chiffres sont seuls réglementaires.

Quant aux bâtiments construits avant ces subdivisions et qui existent encore, on les range dans les catégories nouvelles dont ils se rapprochent le plus, et, autant que possible, on les arme de la même manière. " Ancêtres marins. On connaissait déjà Mémoire des Hommes pour leur base de soldats Morts pour la France pendant la première Guerre Mondiale, mais peu connaissent la base "Compagnie des Indes" qui répertorie des documents inestimables sur les navires et passagers du XVIIIe siècle.

Dès le XVIIe siècle, l'essort du commerce maritime, qu'il s'agisse des épices, des soieries ou des esclaves, a engendré une véritable compétition internationale : il fallait être les meilleurs commerçants pour assurer la suprématie de son pays. Chaque pays possédait sa propre compagnie maritime. Après l'Espagne et le Portugal qui écumaient déjà les océans depuis un siècle, la Grande-Bretagne les Pays-Bas et la France allaient créer leur propre compagnie maritime. La Compagnie des Indes a donc été fondée par Colbert en 1664, et son existence durera jusqu'à la Révolution Française.

Le site se trouve à l'adresse suivante : Exemple de journal de bord numérisé : 3/ Cartes nautiques. Marins "Morts pour la France" Annuaire AAEF. La Compagnie des Indes. Guide des archives judiciaires et pénitentiaires (1800-1958) Ce document reproduit l’intégralité du manuscrit du Guide des archives judiciaires et pénitentiaires (1800-1958), publié par CNRS Éditions en 1992. L’ouvrage étant indisponible en librairie, nous pensons utile de donner, sur le site de Criminocorpus, la possibilité de consulter son contenu sur un support différent. Il s’agit du manuscrit tel qu’il a été remis à l’éditeur, avant sa mise en page, sans aucune modification portant sur le contenu.

Il ne faut pas s’étonner de la différence de pagination par rapport à l’ouvrage imprimé (Jean-Claude Farcy, Guide des archives judiciaires et pénitentiaires (1800-1958), Paris, C. N. R. S. En rappelant le plan de l’ouvrage, on prendra mieux conscience de l’acquis comme des nécessaires mises à jour. Une première partie présente un panorama de la recherche historique réalisée à partir des archives judiciaires et suggère des pistes à explorer.

Premier extrait (30,5 Kio) Chauvaud (Frédéric), Petit (Jacques-Guy) (dir.). Second extrait (35,5 Kio) L'annuaire de la magistrature des XIXème et XXème siècle consultable sur Internet. Le web nous réserve parfois de bonnes surprises. Mise en ligne au début de l'été, cette grosse base de données contient la liste de tous les magistrats de France ayant exercé entre 1827 et 1987. Réalisé par le centre Georges Chevrier, une émanation du CNRS et l'Université de Bourgogne, avec le soutien de la Mission de recherche Droit et Justice, le site "Annuaire rétrospectif de la magistrature XIXe-XXe siècles" présente rien moins que "les carrières et les données d’état civil de l’ensemble de la magistrature française ayant été en fonction de 1827 à 1987.

" Les généalogistes comprendront tout de suite l'usage qu'ils peuvent en faire... à condition bien évidemment d'avoir un ancêtre ou un collatéral ayant exercé une fonction au sein de la magistrature. L'accès au site se fait à l'adresse On peut également retrouver les magistrats en positions particulières (morts pour la France, détachés au ministère de la Justice, les juges suppléants, etc). Des ancêtres guillotinés ? Les Guillotinés de la Révolution française.

Bagne

Base de données des députés français depuis 1789. Un ancêtre polytechnicien ? Peut-être comptez-vous parmi vos aïeuls, un diplômé de l’école Polytechnique ? Ou peut-être avez-vous trouvé dans une vieille malle, quelques attributs distinctifs des diplômés de Polytechnique : un uniforme, un bicorne, une épée ? Si oui, vous pourrez trouver dans cet annuaire en ligne, des renseignements concernant cet ancêtre.

Prenons l’exemple de Pierre Marcel Legendre. L’annuaire nous apprend qu’il est né le 2 nov. 1910 à Blois-Robert (Seine Inférieure) d’Alexandre Legendre (Agriculteur) et de Thérèse Imbert. Dans certains cas, des indications complémentaires sont apportées (rang militaire, distinctions, entreprise de rattachement…). Rappelons que l’Ecole a été fondée en 1794 sous le nom d’École centrale des travaux publics. Like this: J'aime chargement… Les archives de la Franc-maçonnerie (GODF) Mémorial des percepteurs et des receveurs des communes, hospices...

Medica - BIU Santé, Paris. Travaux du Ministère de la Santé. Les Recueils des travaux du Comité consultatif d’hygiène publique de France et des actes officiels de l’administration sanitaire de 1872 à 1910 ont été numérisés par Azentis et mis en ligne, le 14 aout dernier, sur le site du Ministère de la Santé. Accédez au site En réponse à un appel à initiatives lancé par la BNF et la bibliothèque Cujas en 2010 sur un programme de numérisation en science juridique, le bureau de la politique documentaire des ministères sociaux a procédé à la numérisation des Recueils des travaux du Comité consultatif d’hygiène publique de France et des actes officiels de l’administration sanitaire (44 volumes représentant environ 27 000 pages). Ce fonds a été choisi en raison de son intérêt historique et scientifique. Les documents sont consultables en ligne et les utilisateurs peuvent effectuer des recherches « plein texte » de mots ou groupe de mots.

Sources : Site du Ministère de la Santé. Hôtel des invalides.