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Le droit et la justice

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Lyon: La violente agression de Marin jugée devant la cour d'assises des mineurs. Le 11 novembre 2016, Marin, âgé de 20 ans à l’époque, avait été frappé à la tête à coups de béquille à Lyon et laissé pour mort par son agresseur.

Lyon: La violente agression de Marin jugée devant la cour d'assises des mineurs

Ce dernier, mineur au moment des faits, sera jugé dès ce mercredi matin devant la cour d’assises des mineurs du Rhône. Sans titre. La « petite leçon » qu’ils voulaient infliger à l’un de leurs camarades de foyer s’est muée en un terrible déchaînement de violences.

sans titre

Trois mineurs âgés de 13 à 17 ans ont été mis en examen lundi à Amiens (Somme) pour tentative de meurtre et actes de torture et de barbarie à l’encontre d’un garçon de 13 ans. Celui-ci avait été découvert vendredi errant le long d’une voie ferrée de Longueau par des agents SNCF. Le corps couvert de contusions, une partie des cheveux brûlés, avec un seul caleçon pour vêtement, il venait de passer 24 heures dans un wagon désaffecté où ses agresseurs l’avaient emmené. Assises de l'Isère : dix ans de réclusion pour un jeune homme qui en avait poignardé un autre en 2015. L'avocat général avait requis 18 ans de réclusion, en écartant l'excuse de minorité.

Assises de l'Isère : dix ans de réclusion pour un jeune homme qui en avait poignardé un autre en 2015

Ryan comparaissait depuis lundi après-midi devant la Cour d'assises de l’Isère pour le meurtre en novembre 2015 de Grégory. A l'époque, il avait 16 ans, Grégory 18 ans. L'audience s'est donc déroulée à huis clos. Mort pour rien Grégory était un jeune homme sans histoire, étudiant et footballeur, au sein d'une famille aimante, il avait un frère cadet, Alexis, une petite amie. "C'est le procès de la violence gratuite qui gangrène nos quartiers et notre jeunesse" - Maître Dreyfus. Un adolescent condamné à 17 ans de réclusion pour avoir assassiné sa sœur. Les faits se sont déroulés il y a presque un an, jour pour jour.

Un adolescent condamné à 17 ans de réclusion pour avoir assassiné sa sœur

Le 2 septembre 2014, dans le village de Moernach au sud de l'Alsace (Haut-Rhin), le corps sans vie d'une fillette de 11 ans et de son petit frère de 8 ans, grièvement blessé à l'arme blanche, avaient été retrouvés dans leur maison familiale, près de la frontière suisse. Ce soir-là, jour de la rentrée des classes, les deux enfants étaient restés seuls avec leur grand frère, âgé de 15 ans. Leurs parents s'étaient alors absentés pour un cours de yoga. L'aveu de l'adolescent Sorti en état de choc de son domicile, l'adolescent avait alors donné l'alerte. L'arme du crime, un objet tranchant dont les enquêteurs n'avaient alors pas révélé la nature exacte, avait été retrouvée dans la maison. Drame de Moernach : un an après, le procès. Dans la soirée du 2 septembre 2014, une fillette de onze ans avait été retrouvée morte et son frère de huit ans grièvement blessé à l’arme blanche à leur domicile, une maison située dans un lotissement du village de Moernach, près de la frontière suisse, où la famille vivait depuis huit ans.

Drame de Moernach : un an après, le procès

Les deux victimes comptaient de multiples blessures. C’est le frère aîné, âgé de quinze ans, qui avait donné l’alerte. Il avait quitté le domicile torse nu, maculé de sang, en hurlant, d’après les témoignages, avant de se réfugier chez un voisin et d’expliquer qu’un rôdeur était entré dans la maison et s’en était pris à son frère et à sa sœur.

Incohérences Si, dans un premier temps, les enquêteurs de la gendarmerie avaient suivi la piste d’un rôdeur, l’implication du frère aîné, placé en garde à vue quelques heures après le drame, s’était rapidement imposée en raison d’une série d’incohérences dans ses déclarations. Trois expertises psychiatriques. Seine Maritime - Les bourreaux d'Alexandre face à la justice. Le 26 mars 2012, le jeune Alexandre, attiré en forêt par quatre de ses amis, était abattu de deux balles dans la nuque.

Seine Maritime - Les bourreaux d'Alexandre face à la justice

Le procès de ses meurtriers présumés s'est ouvert mardi. C'est un procès attendu qui s'est ouvert mardi en Seine-Maritime. Celui de quatre jeunes au casier judiciaire vierge qui ont froidement planifié l'exécution d'un de leur camarade. Agés de 15 à 17 ans au moment des faits, ils comparaissent à partir d'aujourd'hui devant la cour d'assises des mineurs de Rouen et devant le tribunal pour enfants de Dieppe pour deux d'entre eux.

Dans la nuit du 26 au 27 mars 2012, dans une forêt près de Beauvoir-en-Lyons (Seine-Maritime), les quatre adolescents ont mis a exécution leur plan diabolique. Assis sur un rondin, Alexandre reçoit une première balle dans la nuque d'un pistolet 22 long rifle. En garde-à vue, les quatre amis se contredisent dans leurs versions et passent rapidement aux aveux. Toute reproduction interdite. Seine Maritime - Les bourreaux d'Alexandre face à la justice. L'agresseur de Carla restera enfermé. Le maintien en détention dans un établissement pour mineur de l'agresseur présumé de Carla, 13 ans, tuée de deux coups de poing devant le collège de Florensac en juin 2011, a été confirmé par la chambre de l'instruction de Montpellier, a-t-on appris mardi de source judiciaire.

L'agresseur de Carla restera enfermé

Cette décision a été prise en chambre du conseil après une audience à huis closil y a une semaine, lors de laquelle Me Jean Josy-Bousquet avait demandé la remise en liberté de l'adolescent, aujourd'hui âgé de 16 ans. Lors de cette audience, l'avocat avait estimé, selon le journal Midi Libre, que son client était resté suffisamment longtemps en prison et avait estimé qu'il pourrait intégrer une structure d'accueil en Midi-Pyrénées, où il serait suivi par des éducateurs. Le 20 juin 2011, l'adolescent a reconnu avoir donné deux coups à Carla, dont un très violent à la nuque.

La jeune fille s'était effondrée et était décédée d'une hémorragie cérébrale. Affaire Carla : le procès de Gaëtan se tient au tribunal pour enfants de Béziers. Gaëtan, qui fêtera ses 17 ans le 31 janvier, comparaît pour "violence volontaire ayant entraîné la mort (...) sans intention de la donner avec la circonstance que les faits ont été commis sur un mineur de 15 ans".

Affaire Carla : le procès de Gaëtan se tient au tribunal pour enfants de Béziers

Drame de Moernach : l'adolescent condamné en appel à 7 ans de prison. Drame de Moernach : un an après, le procès. Les TâCos de Thucydide et de Rameau. Cette TâCo a été proposée aux élèves du collège Lamartine de Crémieu par Delphine Chiocci.

Les TâCos de Thucydide et de Rameau

Sujet : Vous avez été tirés au sort pour être juré lors d’une session du tribunal des Assises de Lyon. Avec votre groupe, vous devrez dans un premier temps analyser le dossier qui vous a été soumis et en discuter entre vous, puis suivre la procédure qui vous permettra de déterminer l’innocence ou la culpabilité de l’accusé et, le cas échéant, de proposer unepeine adaptée à son crime. Elle prend place dans le programme d’EMC du cycle 4, autour du thème de la justice. Lors des précédentes séances, les élèves ont découvert l’idéal de la justice en France ainsi que son organisation pragmatique : la diversité des tribunaux, les différentes figures professionnelles qui ont un lien avec l’exercice de la justice, etc. Cette TâCo est inspirée du manuel d’Histoire-Géographie 4° du livre Scolaire (p.328-329), et de la restitution théâtrale deM. Documents : Le guide du Juré dAssises Fiches rôle EMC Jury dAssises. Le multibraqueur mineur condamné à 5 ans ferme.

La cour d'assises a délibéré tout l'après-midi et le début de soirée jeudi à Chalon.

Le multibraqueur mineur condamné à 5 ans ferme

A 19h30 au terme de trois jours d'un procès à huis clos, elle a condamné l'auteur de ces faits, un mineur, à 5 ans de prison ferme. Et son acolyte majeur, Dimitri Lamart, à un an ferme... pour recel. Les faits remontent à la fin d'année 2014. « Prétendre qu’il faudrait plus d’incarcération relève d’une imposture » Dans une tribune au « Monde », un collectif de personnalités politiques et de la société civile appelle les candidats à la présidentielle à améliorer l’état des prisons en France.

Par Pierre Arditi (comédien), Evelyne Bouix (comédienne), Rachida Brakni (comédienne), Costa-Gavras (réalisateur), Eric Dupond-­Moretti (avocat), Nancy Huston (écrivaine), Noël Mamère (député écologiste), Bruno Solo (comédien) TRIBUNE. Aurélie, mère de famille, six mois de prison pour conduite sans permis ; Ahmed, atteint de troubles psychiatriques, cinq ans de prison pour des vols de téléphones portables ; Jérôme, SDF, deux mois de prison pour avoir dérobé des pâtes et du riz ; Gilbert, kleptomane, 61 condamnations, zéro violence, vingt ans de prison cumulés… Autant de personnes condamnées à l’issue d’une justice expéditive et qui viendront grossir les rangs de celles qui peuplent déjà les prisons.

Face à cela, que proposent les candidats au mandat présidentiel ? Travail d’intérêt général. Calvados : l'ex-petit ami de l'ado reconnaît être l'auteur des photos intimes. Cyberharcèlement : 6 mineurs mis en examen après le suicide d'une adolescente. Quand la justice des mineurs se met en scène - 31/01/2017. Hier, des élèves de 1 re STMG du lycée Grandmont ont incarné les différents protagonistes d’un tribunal pour enfants. Une leçon grandeur nature. Je ne l'aurais pas fait si j'avais su ce que je risquais. Je ne pensais pas que ça irait aussi loin. La jeune fille est prévenue de harcèlement.

Elle a diffusé des images d'une camarade sur les réseaux sociaux. Un mineur de 17 ans mis en examen pour meurtre et incendie après la mort d'une jeune femme à Chinon. Un mineur originaire de Chinon a été placé en détention provisoire au quartier des mineurs de la maison d'arrêt de Tours. Il a été mis en examen pour meurtre et incendie. La jeune femme de 31 ans retrouvée dans son appartement le week-end dernier à Chinon est morte suite à une hémorragie provoquée par les nombreux coups qu'elle a reçus notamment au visage. Un jeune homme de 17 ans est en garde à vue, il devrait être déféré devant un juge d'instruction ce vendredi. Chainepen. La fusillade de Grasse « reproduit, au moins dans ses intentions, le schéma notoire du tueur scolaire » Dans une tribune au « Monde », le philosophe Anselm Jappe décrypte, après l’irruption d’un tireur fou au lycée Tocqueville, le 16 mars, le nihilisme meurtrier qui s’empare d’une jeunesse plongée dans le non-sens de nos sociétés.

LE MONDE | • Mis à jour le | Par Anselme Jappe (Philosophe) [Un adolescent de 17 ans a ouvert le feu dans un lycée de Grasse (Alpes-Maritimes) le 16 mars, blessant huit personnes. Aucun lien avec une entreprise terroriste n’a été établi. Le suspect avait en revanche une fascination pour les tueries de masse, en particulier celle du lycée de Columbine, aux Etats-Unis, qui fit quinze morts en 1999. C’est le premier drame de cette nature en France] TRIBUNE.