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Mar-April 2o16

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Des fonctionnaires du gouvernement admettent opérer des attaques ÉCONOMIQUES sous fausse bannière. Voici la traduction du jour, qui éclaircira certaines questions … Comme le fait de savoir POURQUOI, nos dirigeants n’appliquent pas les bonnes stratégies pour nous sortir de la crise, voire au contraire font tout pour l’aggraver… Les Attaques sous faux drapeau ne concernent pas seulement les décès physiques et les guerres ... Ils impliquent également des événements économiques truqués et des pertes financières. Par exemple, deux fonctionnaires du Fonds monétaire international ont déclaré le mois dernier qu'ils avaient besoin de la menace d'une catastrophe financière imminente pour forcer les autres joueurs à accepter ses mesures, telles que la coupe dans les pensions grecques et les conditions de travail, et - comme le gouvernement grec l’a indiqué (via Bloomberg ) - le FMI « envisage un plan pour provoquer un événement de crédit en Grèce et déstabiliser l' Europe ».

Le Japan Times a noté en 2003 : Quelque chose de semblable est arrivé en Thaïlande et dans l'UE. Traduction : folamour. CE SOIR OU JAMAIS ! Denis Robert sur les Panama Papers. World Bank to spend 28% of investments on climate change projects | Environment. The World Bank has made a “fundamental shift” in its role of alleviating global poverty, by refocusing its financing efforts towards tackling climate change, the group said on Thursday. The world’s biggest provider of public finance to developing countries said it would spend 28% of its investments directly on climate change projects, and that all of its future spending would take account of global warming. At last year’s landmark conference on climate change in Paris, the World Bank and its fellow development banks were made the linchpins of providing financial assistance to the poor world, to enable countries to cut greenhouse gas emissions and adapt to the effects of global warming.

“Following the Paris climate agreement, we must now take bold action to protect our planet for future generations,” said Jim Yong Kim, president of the World Bank Group. John Roome, senior director for climate change at the World Bank, told journalists: “This is a fundamental shift for the World Bank. Stop TTIP : une énorme manifestation contre la zone de libre-échange transatlantique envahit Hanovre. ORANGE : l'offensive dans la banque avec Groupama sur les rails. (AOF) - Orange (+0,6% à 15,07 euros) surperforme le marché parisien après avoir détaillé les modalités de son projet de banque mobile, mené avec Groupama.

Ce dernier va donc ouvrir à Orange le capital de sa filiale bancaire Groupama Banque : l'opérateur en prendra 65% et Groupama en conservera les 35% restants. Grâce à l’apport des deux partenaires, la banque, qui sera rebaptisée Orange Bank, lancera en France début 2017, une offre bancaire spécifiquement adaptée aux usages du mobile. Elle sera commercialisée à la fois dans les boutiques Orange et dans les agences Groupama. La finalisation de cette transaction, qui est attendue au troisième trimestre 2016, est soumise à l'approbation des autorités de contrôle. A terme, les deux partenaires se sont fixés pour objectif d'attirer plus de 2 millions de clients en France en proposant tous les services bancaires d'une banque classique : compte courant, épargne, crédit et assurance et paiement. Brésil : se disant victime d’un « coup d’Etat », Dilma Rousseff envisage de saisir le Mercosur.

La présidente brésilienne, Dilma Rousseff, a déclaré vendredi 22 avril que la procédure de destitution à son encontre présentait « toutes les caractéristiques d’un coup d’Etat » et a prévenu qu’elle demanderait au Mercado Común del Sur (Mercosur) de suspendre le Brésil si le processus démocratique n’était pas respecté. La clause démocratique du marché commun sud-américain peut être invoquée si le gouvernement élu de l’un de ses Etats membres est renversé, comme cela s’était produit en 2012 au Paraguay. L’Etat en question peut être suspendu et perdre ses avantages commerciaux. Lire la synthèse : Procédure de destitution : ce qui attend Dilma Rousseff dans les prochains mois « Empêcher un retour en arrière » Cette menace brandie par Mme Rousseff, qui réfute les manipulations de comptes publics dont elle est accusée, semble traduire son intention de continuer à se battre si le Sénat décidait de la destituer. Lire aussi : Au Brésil, la descente aux enfers de Dilma Rousseff.

Panama Papers (2016)