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Incidents

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LE JOURNAL DU 3 AVRIL 2018 : CHEMINOTS, FACS, WINNIE MANDELA, ÉBOUEURS. Incendie à la centrale nucléaire de Paluel : le "Grand Carénage" vire au carnage ! Communiqué du 3 juillet 2015 La centrale nucléaire de Paluel, qui devait ouvrir le bal des "Grands Carénages", travaux de grande ampleur destinés à prolonger la durée de fonctionnement des réacteurs, vient d’être touchée par un incendie aux conséquences lourdes. Alors que des travaux de découpe avaient lieu en salle des machines dans le cadre de la 3ème visite décennale, un feu s’est déclaré à l’intérieur d’un condenseur, suite à des précautions insuffisantes pour empêcher les matériaux de s’enflammer. Il aura fallu 71 pompiers et plus de 6 heures pour "maîtriser" le feu, mais les pompiers restent confrontés à une quantité considérable de métal fondu à très haute température.

Un incendie aussi long, avec fusion de métaux, est un événement rare qui en dit long sur la gravité du problème. Ces exemples suffisent à démontrer que le "Grand Carénage" risque de virer au grand carnage. Evacuation de travailleurs dans un bâtiment de la centrale nucléaire du Blayais (Gironde) Retour à la liste des actualités Le 24 juin, à 15h45, deux balises de surveillance radiologique dans le bâtiment réacteur ont détecté une élévation du niveau de la radioactivité. Conformément aux procédures, les 125 personnes qui y travaillaient ont été évacuées et prises en charge par le service médical : elles ont subi un examen d’anthropogammamétrie, destiné à détecter l’absorption de particules radioactives.

Ces contrôles ont révélé qu’onze personnes avaient absorbé des particules radioactives, à des niveaux très faibles, n’engendrant pas d’impact sanitaire. D’après les premières investigations menées par l’exploitant, un défaut d’étanchéité du sas du chantier de découpe du bâtiment réacteur serait à l’origine de l’événement. Le 17 juin 2015, un événement similaire survenu dans une autre zone du même chantier avait conduit à l’évacuation de 118 personnes travaillant dans le bâtiment réacteur. Montée en puissance trop rapide du réacteur n°1. Retour à la liste des Avis d'incidents Centrale nucléaire de Nogent-sur-Seine - Réacteurs de 1300 MWe - EDF Pendant le redémarrage d’un réacteur, la puissance du coeur ne doit pas augmenter trop rapidement, pour permettre un échauffement progressif du combustible et ainsi ne pas risquer de dégrader les gaines des crayons combustibles.

Cyberaction STOP FUKUCHINON. Cyberaction N° 621: STOP FUKUCHINON [ 805 participations ] cyberaction mise en ligne le mercredi 9 avril 2014 En partenariat avec : Collectif Sortir du nucléaire Touraine Elle sera envoyée à : Ministre de l'Ecologie (DREAL-CE) Centrale nucléaire de Chinon : EDF met en danger les riverains et les travailleurs Le Réseau "Sortir du nucléaire" porte plainte pour une longue série d'infractions. Intervenants mal protégés, organisation chaotique des opérations de maintenance, stockage de produits chimiques en dépit du bon sens… Voici quelques-uns des problèmes évoqués dans une discrète note d’inspection de l’Autorité de sûreté nucléaire concernant la centrale nucléaire de Chinon, et pour lesquels le Réseau “Sortir du nucléaire“ vient de porter plainte.

Aux côtés du collectif Sortir du nucléaire Touraine, organisateur du rassemblement « FukuChiNon », l’association rappelle la nécessité urgente de fermer cette centrale vieillissante ! Plus d'infos Dépôt de plainte pour de graves négligences Signer ! Sûreté nucléaire en France : des incidents « persistants » Nucléaire 30 ans d'âge : stop au rafistolage ! Lettre envoyée à votre député-e : Lettre ouverte "Nucléaire 30 ans d’âge : stop au rafistolage" Bonjour, J’habite dans votre circonscription, et je vous écris en perspective du débat parlementaire sur la loi de transition énergétique qui aura lieu à l’automne 2014. Les décisions qui en découleront engageront l’avenir énergétique de la France pour plusieurs décennies et me préoccupent fortement. EDF cherche à obtenir l’autorisation de prolonger le fonctionnement de ses 58 réacteurs nucléaires au-delà de 40 ans, jusqu’à 50 voire 60 ans.

Or ceux-ci ont été à l’origine conçus pour fonctionner environ 30 ans. 27 réacteurs ont dépassé cette limite et auraient déjà dû être arrêtés. Les réacteurs vieillissent, des éléments cruciaux pour la sûreté et impossibles à remplacer (cuve en acier, enceinte en béton, etc.) se fragilisent, et le risque d’accident augmente. L’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) répète régulièrement qu’un accident nucléaire dans l’Hexagone est possible. Cordialement. La sûreté nucléaire en France. Nucléaire : un tiers du parc connaît des défaillances de sûreté - Page 1. Alerte sur nos centrales nucléaires! | Corinne Lepage. Dans l'indifférence générale -mais n'est ce pas l'art de la com.! - la problématique de la sûreté autour de nos centrales nucléaires est en train de se dramatiser et de changer de nature. Le programme nucléaire français a été construit sur un double postulat: les centrales françaises sont les plus sûres du monde et par voie de conséquence, il n'y a pas de risque d'accident nucléaire majeur en France.

Dans ces conditions, lors de la mise en place du programme nucléaire français, à aucun moment un rapport coût avantage entre les risques d'un accident nucléaire majeur et les avantages procurés par l'énergie nucléaire n'a été établi. Ce double postulat a été complété, au début du XXIème siècle, par la création de l'Autorité de Sûreté Nucléaire censée être totalement indépendante et capable d'imposer ses choix à l'exploitant. Ce système devrait être en passe de voler en éclats. Enfin, le problème le plus sérieux concerne l'usure des matériaux. Lire aussi:

Flamanville

Le risque nucléaire dans le monde. Déraillement d’un wagon d’uranium : les anti-nucléaires de Normandie expriment leur inquiétude. EPR. Un incendie se déclare dans la centrale nucléaire de Gravelines. Un départ de feu a été rapidement maîtrisé mardi sous la toiture d'un bâtiment de la partie non-nucléaire de la centrale de Gravelines (Nord), sans conséquence pour les installations et l'environnement, a indiqué EDF dans un court communiqué. La plus importante centrale de France Le départ de feu «a été détecté vers 16h50 sous la toiture d'un bâtiment de l'unité de production n°3, dans la partie non nucléaire de l'installation», a expliqué EDF dans une brève publiée sur son site. Les pompiers sont intervenus et le départ d'incendie a été maîtrisé à 18h02, a précisé le groupe énergétique.

«L'unité de production n°3 est toujours restée en fonctionnement, l'événement n'a pas eu d'impact sur la sûreté des installations, ni sur l'environnement», a affirmé le groupe. L'Autorité de sûreté nucléaire et les pouvoirs publics ont été informés de l'événement, est-il encore dit. Avec AFP. A la Une | Alarme incendie à la centrale. Les centrales nucléaires sont aussi dangereuses pour le climat. Le Mercredi 23 octobre vers 11 heures, une alarme incendie s’est déclenchée à la centrale de Penly. Comme le prévoient les différentes procédures d’urgence, une équipe d’intervention de la centrale, spécialement entraînée et équipée, s’est immédiatement rendue sur les lieux du dégagement de fumée situé « dans le bâtiment des auxiliaires nucléaires de l’unité de production numéro 1 » confirme la centrale. « Ils sont intervenus dans la partie nucléaire des installations » précise encore le service communication de Penly... pendant qu’une partie du personnel a été évacuée.

L'origine de cet incident a été identifié. Une fuite de fréon est apparue sur un compresseur dans la zone contrôlée, près du réacteur numéro 1. Il a été totalement maîtrisé vers 12 h 30. . « C’est un gaz à effet de serre qui n’est pas dangereux pour les populations et la fuite a été circonscrite et colmatée. Selon EDF, la perte de Fréon s'élèverait à 95 kg[1].

Bilan des pertes à Penly en 2012 Le 22 juillet 2011 à Penly. Les techniciens mettent 30 minutes à réagir. L’Autorité de sûreté nucléaire, ASN, a conclu ce mercredi que les techniciens de la centrale nucléaire de Cattenom auraient dû réagir plus vite, après un incident mineur survenu dimanche lors du redémarrage du réacteur numéro 2. L'unité de production avait été mise en arrêt programmé vendredi pour remplacer une carte électronique. Lorsque les techniciens ont voulu la rebrancher au réseau, un dysfonctionnement d’un matériel en salle des machines a entraîné l’arrêt de la turbine. Le système de régulation du réacteur, qui se déclenche automatiquement dans ces cas-là, a conduit à une baisse de puissance. C'est ensuite que les techniciens n'ont pas réagi assez rapidement. L'évènement n’a aucune conséquence sur la sûreté des installations ni sur la sécurité des personnes et l’environnement. (lb/L'essentiel Online)

Vallée du Rhône

Golfech. Un nombre record d'incidents en 2013 sur le parc nucléaire français. Les incidents dans les centrales nucléaires d'EDF en hausse de 10% en 2012. L'Autorité de sûreté nucléaire a recensé 830 incidents l'an dernier dans les 58 réacteurs d'EDF. Les centrales de Civaux, Cruas, Paluel et Chinon sont épinglées. Fessenheim est bien noté sauf pour la protection du personnel. Une année «assez satisfaisante au plan de la sûreté nucléaire et de la radioprotection dans les centrales nucléaires». Tel est le bilan 2012 dressé par l'Autorité de sûreté nucléaire dans son volumineux rapport annuel (538 pages) rendu public mardi. Au cœur du débat et des polémiques, la doyenne du parc d'EDF, la centrale de Fessenheim, se distingue «de manière positive» en matière de sûreté.

Cinq ans pour fermer Fessenheim Auditionné par les députés de l'Office parlementaire des choix scientifiques et technologiques (Opecst), le nouveau président de l'ASN, Pierre-Franck Chevet, a répété que la procédure administrative de mise à l'arrêt définitif de Fessenheim durerait cinq ans. Le jour où la France a frôlé le pire. "J e suis allé ramasser l'uranium fondu sous le réacteur avec une raclette. La radioactivité était tellement forte qu'on ne pouvait pas rester plus de deux minutes. En ressortant, on avait pris la dose autorisée pour un an. " Daniel Robert fait partie des centaines de "nettoyeurs" mobilisés en urgence par EDF sur la centrale de Saint-Laurent-des-Eaux, dans le Loir-et-Cher. Le 17 octobre 1969, une mauvaise manipulation lors du chargement du coeur sur le réacteur n°1 entraîne la fusion de 50 kilos d'uranium.

C'est l'un des plus graves accidents nucléaires jamais survenus en France. Pourtant, quarante-deux ans plus tard, l'événement reste quasi inconnu du grand public. Le Point a mis la main sur des documents inédits et retrouvé des témoins qui, pour la première fois, racontent ce qui s'est réellement passé. Une dizaine de jours après l'accident, des centaines de "nettoyeurs" entrent en action. Omerta. L'accident a-t-il menacé les riverains de la centrale ? Seine-Maritime. Polémique autour d'une fuite radioactive. La centrale nucléaire de Penly, près de Dieppe, vient d’être épinglée par l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN). Dans un courrier de sept pages envoyé au directeur de la centrale, le 27 février, le directeur de la division de Caen de l’ASN pointe des « défauts d’étanchéité relevés sur certains puisards » qui ont provoqué des fuites d’eau radioactive… Il a demandé le classement de cet incident comme « significatif pour l’environnement », sans qu’il ait de risque pour la santé.

Mais ce qui interroge, « c’est le manque de communication aussi bien chez EDF qu’à la Clin, la commission locale d’information nucléaire », raconte le bi-hebdomadaire Les Informations dieppoises, dans son édition du vendredi 8 mars. Des traces dans la nappe d’eau souterraine… En octobre 2012, des traces de tritium – un isotope radioactif de l’hydrogène utilisé dans l’industrie nucléaire – avaient été détectées dans la nature. Le réseau Sortir du nucléaire a déposé plainte contre la centrale.

Incident radiologique dans un immeuble d’habitation de Lyon. Le 29 février 2012, l’Autorité de sûreté nucléaire a été informée d’un incident survenu dans un immeuble d’habitation de 6 étages situé au 11, quai Claude Bernard à Lyon (7ème arrondissement). Deux agents de l’Institut de radioprotection de sûreté nucléaire ( IRSN ) ont été contaminés par des poussières radioactives alors qu’ils intervenaient dans la cave d’un ancien radiologue pour récupérer de vieux instruments de laboratoires à usage médical contenant du radium.

Cette intervention planifiée était réalisée par l’ IRSN pour le compte de l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs ( ANDRA ). Une dispersion de poussières de radium s’est produite lors d’un contrôle de la radioactivité des objets avant leur transport. Ce contrôle réalisé dans le hall de l’immeuble, a occasionné la contamination de deux des quatre intervenants de l’ IRSN . Cet incident ne présente pas de risque sanitaire pour les habitants et les riverains. Source. Cattenom | Un événement piscine qui fait des vagues. Le 09/02/2012 à 05:00 par L.S. Vu 892 fois Europe-Ecologie Les Verts, via Josiane Madelaine et Eliane Romani, n’y va pas avec le dos de la cuiller. « C ’est en connaissance de cause qu’EDF a minimisé un écart au référentiel de conception, cherchant ainsi à en atténuer l’impact auprès des autorités et des populations concernées. » EELV fait référence à l’anomalie constatée sur un tuyau des piscines des réacteurs 2 et 3 ; un orifice manquant qui aurait pu contrarier l’effet casse-siphon imaginé et donc favoriser, en cas de problème spécifique, la vidange de la piscine (lire RL du 7 février).

Or, le refroidissement permanent des combustibles est l’élément clé de la sûreté nucléaire. C’est d’ailleurs suite à la catastrophe de Fukushima, que Wano, l’association des exploitants nucléaires mondiaux, dont fait partie EDF, a demandé aux centrales de vérifier chacune de leur piscine. « C’est là que Cattenom a découvert ce défaut de conception, explique Stéphane Dupré la Tour. Fuite radioactive : pourquoi la ville est menacée – Environnement – Actualité – Vienne.

Rétrospectivement, la fuite radioactive survenue à la centrale de Civaux peut faire froid dans le dos. Dépendante à 100 % de la rivière Vienne pour son eau potable, Châtellerault n'a pas d'autres choix que de faire confiance au gestionnaire (EDF) et sécuriser au maximum ses propres contrôles. Mais voilà : quelque chose n'a pas fonctionné début janvier. Seulement trois analyses par an pour la radioactivité L'autorité de sûreté nucléaire a pointé, on le sait, des défaillances dans la prise en compte de l'incident, par exemple un manque de réactivité de la part d'EDF (*). Concrètement : l'agence régionale de santé n'est venue faire un prélèvement dans la rivière, à Châtellerault, que le 19 janvier. Une station d'alerte va être créée en amont « Trois analyses sont effectuées par an localement, dans l'eau de la Vienne et en sortie de station », souligne Laurence Soulier. En savoir plus Deux jours de réserve d'eau potable.

EDF Underestimated Radioactivity in Deadly Waste-Site Explosion. Accident de Marcoule : 500 fois plus de radioactivité dans le four que déclaré initialement, EDF a menti.