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Décroissance, Déconsommation, Altercroissance

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Décroissance / Déconsommation / Altercroissance...

Pour en finir avec le Dieu Croissance. Temps de lecture: 7 min «Celui qui croit que la croissance peut être infinie dans un monde fini est soit un fou, soit un économiste», raillait l'économiste américain Kenneth Boulding il y a plus de 40 ans. On peut aujourd'hui se demander si nos dirigeants ne sont pas des fous conseillés par des économistes. En effet, dès 1972, un rapport du club de Rome réclamait une «halte à la croissance». Et depuis lors, les limites de cette dernière, tant d'un point de vue écologique qu'économique n'ont cessé d'être pointées du doigt. Pourtant, l'écrasante majorité des politiciens de profession continuent à la considérer comme l'alpha et l'oméga de tout projet politique. Pour eux, le salut passe forcement par une augmentation du PIB et c'est cet indicateur qui sert de boussole aux différents gouvernements pour orienter les politiques publiques.

Sauf que le Président se trompe à la fois sur la destination et sur le chemin emprunté. Décoloniser notre imaginaire «Moins de biens, plus de liens» 10 premiers conseils pour rentrer en résistance par la décroissance. Par casseursdepub.org 1 Se libérer de la télévision Pour rentrer dans la décroissance, la première étape est de prendre conscience de son conditionnement.

Le vecteur majeur de ce conditionnement est la télévision. Notre premier choix sera de s’en libérer. Comme la société de consommation réduit l’humain à sa dimension économique — consommateur —, la télévision réduit l’information à sa surface, l’image. Média de la passivité, donc de la soumission, elle ne cesse de régresser l’individu. 2 Se libérer de l’automobile Plus qu’un objet, l’automobile est le symbole de la société de consommation. 3 Refuser de prendre l’avion Refuser de prendre l’avion, c’est d’abord rompre avec l’idéologie dominante qui considère comme un droit inaliénable l’utilisation ce mode de transport. 4 Se libérer du téléphone portable Le système engendre des besoins qui deviennent des dépendances. 5 boycotter la grande distribution La grande distribution est indissociable de l’automobile. 6 Manger peu de viande 10 Cohérence. Simplicité volontaire. Conso alternative : « Les classes moyennes ont changé de valeurs »

Convergence citoyenne pour la transition energetique - A l'initiative des collectifs contre le gaz de schiste. Déclaration de Lézan – Gard, le 28 août 2011 - Convergence citoyenne pour la transition energetique. Préambule Notre Convergence citoyenne pour une transition énergétique est le fruit d’une prise de conscience née de la mobilisation contre l’extraction des gaz et huiles de schiste. Nous avons élaboré cette déclaration les 26, 27 et 28 août, et validée en assemblée plénière le 28 août. Pour assurer l’avenir des générations futures, la Convergence, affirme comme nécessité : la reprise en main par les citoyens des décisions qui les concernent ; le refus de la marchandisation de la nature et de ses ressources, notamment en dénonçant les pièges du capitalisme vert ; la définition de la terre, de l’eau, de l’air, de l’énergie, et du vivant comme biens communs inaliénables et accessibles à tous.

Remettant en cause le système économique et productiviste dominant, la Convergence se donne une feuille de route. 1 : Instaurer le contrôle citoyen des instances politiques soumises à la logique des multinationales revient à instaurer : 2 : S’engager sans délai pour la transition énergétique suppose de : Vincent Liegey: «On ne peut plus croître dans un monde fini» Alors que le pays cherche désespérément la voie de la croissance, Vincent Liegey, coauteur du livre Un projet de décroissance (Utopia, 2013), propose d’autres pistes pour sortir de la crise. Prôner la décroissance alors que le chômage explose, n’est-ce pas indécent ? La croissance n’assure pas le plein-emploi, c’est un mythe : depuis quarante ans, le PIB a augmenté mais le chômage s’est accru. Ce qui est irresponsable, c’est d’imposer des plans d’austérité aux conséquences humaines dévastatrices et d’espérer le retour de la croissance en fermant les yeux sur l’effondrement écologique.

On ne peut pas croître infiniment dans un monde fini. Le terme décroissance fait peur… C’est un mot provocateur pour ouvrir un débat de fond. Concrètement, comment faire ? D’abord sortir de la religion de l’économie. Vous menacez le droit de propriété ? Sa remise en cause mène souvent à des systèmes autoritaires. Ne défendez-vous pas une société d’oisifs assistés ? Au contraire ! N’est-ce pas un repli sur soi ? Un projet provocateur : « Faire payer le prix réel de ce qu’on consomme » Vincent Liegey est l’un des co-auteurs du livre « Un projet de décroissance – Manifeste pour une dotation Inconditionnelle d’Autonomie », préfacé par Paul Ariès (Editions Utopia).

Il est l’un des visages de ce qui s’appelle un « parti » pour la décroissance (PPLD) mais s’apparente plutôt à une mouvance informelle, dont le combat contre Notre-Dame-des-Landes est l’une des formes concrètes. Nous l’avons rencontré dans un café parisien, à deux pas de chez Denis Vicherat, éditeur altermondialiste et écologiste, qui lance une collection de livres déclinant le projet de décroissance. Un « slogan provocateur », un mot « repoussoir » assumé.

Vincent Liegey vit à Budapest avec une députée hongroise de « Une autre politique est possible » (« dont le parti vient d’exploser, ce qui prouve qu’une autre politique n’est peut-être pas possible », sourit-il). Vincent Liegey : Oui et non, il y a deux sources intellectuelles pour les décroissants : Comment le mouvement s’est-il ensuite installé ? RAGEMAG : Décroissance: retour vers le futur. Entretien avec Vincent Liegey » Les amis de Pierre Rabhi : « Nous, décroissants ? » | Rue89 Planète. Erik (Terre et humanisme) explique aux visiteurs le principe de la phytoépuration, Ardèche, juillet 2010 (Audrey Cerdan/Rue89). (De Lablachère) Dans l’Ardèche de Pierre Rabhi , on vient se cultiver bio et échanger sur la « sobriété heureuse » auprès des membres de l’association Terre et humanisme . Mais décroissants ? « Non, ce serait de la provocation... » Reportage. Le petit homme, flottant dans son pantalon à bretelles, entre dans la salle commune, rafraîchie par un puits canadien.

Pierre Rabhi a du charisme ; un silence religieux s’installe quand il commence : « Je ne vais pas encore vous raconter ma vie. » Il est là, à l’aise dans ses sandales, pour parler de « sobriété heureuse », le titre-concept de son dernier livre , « Vers la sobriété heureuse », récemment publié chez Actes Sud. . « Nous préférons parler d’humanisme » C’était en juillet au Mas de Beaulieu, où l’association Terre et humanisme a établi ses quartiers il y a une douzaine d’années. Mensuel. « Décroissance », le mot qui met les écolos en ébullition | Rue89 Planète. (De Nantes) « Le terme de décroissance a au moins un mérite aujourd’hui, c’est qu’il remplit les salles », se réjouit Paul Ariès, politologue, à la tête du mouvement des « objecteurs de croissance ». Invité à débattre aux Journées d’été Verts-Europe Ecologie, à Nantes, il est vainqueur à égalité à l’applaudimètre avec... Corinne Lepage, l’ancienne ministre de l’Environnement de Jacques Chirac, récemment démissionnaire du MoDem.

C’est son camarade Yves Cochet, « écolo de souche » et vieux théoricien de la fin de la croissance qui l’a invité, au grand dam de Dany Cohn-Bendit, déjà exaspéré lors du premier jour de ces rencontres par l’incantation « anticapitaliste » de Jean-Vincent Placé, numéro deux des Verts. Dany avait boudé et filé à la plage, puis au théâtre. Corinne Lepage aux Journées d’été Les Verts-EE à Nantes le 20 août 2010 (Sophie Verney-Caillat/Rue89) Corinne Lepage, en pleine opération séduction, se la joue modeste et s’attend à se faire huer à chaque phrase. Dominique Méda : « Il faut de nouveau réduire le temps de travail » « La Mystique de la croissance » de Dominique Méda Nous sommes prisonniers de la croyance en la croissance. Elle est dans les têtes. Nos indicateurs sont tous pointés vers cet objectif. Notre système économique et social est entièrement organisé autour d’elle. C’est la thèse que défend la sociologue et philosophe « gorzienne » Dominique Méda, professeure à l’université Paris-Dauphine, dans son dernier essai, « La Mystique de la Croissance » (Flammarion, 2013).

Rue89. Dans son livre « Le Capital au XXIe siècle » (Seuil, 2013) par exemple, Thomas Piketty écrit qu’il est illusoire de rêver d’un retour à des taux de croissance de 3%... Dominique Méda. Certes, le changement n’est pas complet : de nombreux économistes continuent de penser qu’on peut retrouver de la croissance, notamment en investissant dans la recherche et l’éducation. Le débat « croissance contre décroissance » semble dépassé, car la réalité qui s’impose, une très faible de croissance, semble réconcilier tout le monde. Sans Lendemain. Zapping Ecologie vs Lobbys. MAN. Back to the Start. UNE BELLE LEÇON DE CIVILISATION ! ▶ Ne vivons plus comme des esclaves ! CLIP vidéos sur l'ancien monde. ROC - Réseau Objection de Croissance Genève.

Décroissance (économie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le mot décroissance désigne en français deux choses : Pour les « objecteurs de croissance », également appelés « décroissants » dans la presse, une réduction contrôlée de l'activité économique est la seule alternative à un krach mondial aux conséquences imprévisibles. Selon eux, les réalités physiques rendent impossible un développement économique infini : les taux de production et de consommation ne peuvent pas être durablement accrus ni même maintenus, étant donné que la création de richesses mesurée par les indicateurs économiques comme le PIB repose sur l'exploitation et la destruction d'un capital naturel épuisable.

Les « objecteurs de croissance » prônent donc sur le plan individuel la démarche dite de simplicité volontaire et, sur le plan global, une relocalisation des activités économiques afin de réduire l'empreinte écologique et les dépenses énergétiques. Décroissance. Un article de Ékopédia, l'encyclopédie pratique. De manière générale, la décroissance se définit comme l'état de ce qui décroît : une diminution. On doit ce concept de décroissance en économie aux travaux révolutionnaires de l'économiste roumain émigré aux États-Unis, Nicholas Georgescu-Roegen (1906-1994). La décroissance est un concept politique qui affirme que la croissance économique généralisée n'est pas acceptable pour l'environnement. Bien souvent, on rajoute le qualificatif soutenable (ou aussi celui de viable) au concept de décroissance pour spécifier que la diminution de production de biens ne doit pas être incontrolée et mener à la "barbarie".

Les présupposés Cette démarche part d'un triple constat : La décroissance soutenable n'implique évidemment pas que l'on poursuive la décroissance pour elle-même. Description Le concept de décroissance est né d'une controverse sur la "croissance", dans le sens "augmentation du PIB". Capitalisme et développement durable Principes Première critique. Décroissance soutenable. Inspirateurs de Décroissance | ZOOM. Réseaux (R)évolution CONSTRUCTIVE.

Décroissance | BASE de réflexion

Le monde de demain... Autres articles. Manifeste pour une Dotation Inconditionnelle d'Autonomie | Promouvoir une transition démocratique et sereine vers des sociétés soutenables et souhaitables. Connaissance des énergies : infos pétrole,énergie renouvelable,photovoltaïque. « Nous vivons plus qu'une convergence de crises, l'effondrement est déjà là » - Capitalisme. Photo : Agnès Rousseaux / Basta ! Basta ! : La succession des crises – financière, sociale, écologique... – n’entraîne toujours pas de changements radicaux au sein du système capitaliste. Faut-il attendre son effondrement total pour que ce modèle soit remis en question ?

L’effondrement est déjà là. Nous nous acharnons à repousser toute limite. Si on fait l’hypothèse que le capital technique peut se substituer indéfiniment au capital naturel, il n’existe effectivement aucune limite. Les théories économiques oublient la nature. Ne risque-t-on pas de s’enfermer dans une gestion économique de la crise écologique, avec, par exemple, le « marché des droits à polluer » ou le principe pollueur-payeur ? Donner un prix à des pollutions traduit une prise de conscience. Quant au principe pollueur-payeur, je souhaite que BP paye pour tous les dégâts occasionnés aux États-Unis.

Le temps du « monde fini » est aussi, selon vous, celui de la « perte d’un monde commun »... Recueilli par Agnès Rousseaux. Crise financière de 2007-2010. Crash Course Chapitre 1: Trois Croyances. Il est très important de distinguer les faits, les opinions et les croyances. J’essayerai de mon mieux d’être très clair quand je présente des faits, énonce une opinion ou communique mes croyances. Je tiens dès à présent à éclairer ce sujet. J’ai trois croyances, que je vais partager avec vous et ensuite je passerai le reste du temps à vous montrer comment je suis arrivé à ces croyances. En premier je crois que les vingt prochaines années seront complètement différentes des vingt dernières années.

Pourquoi est-ce important? Ensuite je crois qu’il est possible – possible – que le rythme et/ou la portée du changement pourraient entraver la capacité d’adaptation de nos principales institutions sociales et d’assistance. Ma troisième croyance est que nous ne manquons d’aucune technologie ou de connaissance nécessaire pour construire nous-mêmes un avenir meilleur. Suivez moi au Chapitre 2: Les Trois “E”s. Épuisement des RESSOURCES. Jancovici - La fin du pétrole et des esclaves énergétiques. De l'Obsolescence programmée. L'obsolescence programmée, un gaspillage de masse. J'ai changé de vie en deux ans, voici mes conseils.

Quand je prends le temps de me poser quelques instants, en général quand quelqu’un m’interroge sur mon parcours et mon mode de vie, j’ouvre les yeux sur deux années de « petits changements » du quotidien... Mis bout à bout, mes amis en viennent à me voir comme une sorte d’écolo militante, alors que je commence à peine à être plus en accord avec ma conscience, et que je me commence - enfin - à me sentir vivante.

Les réactions que j’entends le plus souvent tournent autour de « oh j’aimerais faire comme toi mais je n’y arriverais pas », « quel beau chemin, bravo », « c’est impressionnant, quel courage », « c’est si dur aujourd’hui d’être cohérent sur tous les plans »... Ça me laisse généralement perplexe, puisque moi je vois surtout ce que je voudrais encore changer, mes doutes, mes blocages, mes difficultés... Il faut dire qu’issue d’une génération « tout jetable » et encouragée de toutes part à la surconsommation, j’avais à la base une énorme marge de progression.

Le plus simple : La Nef. Les villes pourraient se nourrir elles-mêmes. Si on mettait en culture les surfaces disponibles dans les villes on pourrait produire le plus gros de nos besoins alimentaires. Tous calculs faits, il s’avère que si on mettait en culture les surfaces disponibles dans les villes on pourrait produire le plus gros de nos besoins alimentaires de manière biologique, dans la plus grande proximité et avec un effet bénéfique maximum sur l’environnement, c’est même là l’action la plus forte et la plus simple que l’on puisse faire pour l’environnement et la société.

Les gazons sont une mode qui ne repose sur aucun fondement rationnel. * C’est au 18 ème siècle que s’est répandue la mode des gazons chez les gens aisés. C’était un signe de richesse que de pouvoir avoir des terres non productives. Puis s’est répandue cette mode par cet effet d’imitation rivalitaire dont notre cerveau est dépositaire à notre insu,(cf les neurones miroirs), et cette mode perdure au titre de "mème" partout dans le monde comme une endémo-épidémie. 7 500 000 m2 bâti Note : Global Chance. L’association publie depuis 1992 Les Cahiers de Global Chance (deux numéros par an), qui constituent son principal support d’expression dans le cadre du débat énergie-environnement-développement. S’y intègrent depuis 2003 des numéros hors-série, Les Mémentos de Global Chance, qui proposent sur un thème donné une série de fiches techniques précises mais accessibles. Une page du site est par ailleurs dédiée à l’archivage des Communiqués de Global Chance. À découvrir enfin, notre page-portail Global Chance... en vidéo !

Disponibles gratuitement sur ce site en téléchargement, sous forme de numéros entiers ou article par article, Les Cahiers de Global Chance et les numéros hors-série peuvent également être obtenus auprès de l’association en utilisant notre bon de commande. (encadré = plus d’informations au survol) Le casse-tête des matières et déchets nucléairesLes Cahiers de Global Chance, n°34, novembre 2013, 76 pages Du gâchis à l’intelligence. Vers la sortie de route ? Quelles sont les alternatives au nucléaire ? Qelles solutions pour arrêter le tout nucléaire ? Sortir du nucléaire, on sait faire ! NégaWatt - sobriété, efficacité, renouvelables.

Les médias et le scénario négaWatt. Des HLM passifs - Sans chauffage, moins de charges - une première en Rhône-Alpes. Pratiquer la décroissance. Transition énergétique. Décroissance. Décroissance / altercroissance.

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