background preloader

Libre et biens communs

Facebook Twitter

Assurer nos libertés à l'ère de l’intelligence artificielle | CNNum | Traducteur et éclaireur des transformations numériques. Paris, le 28 mars 2024 - De l’interdiction des smartphones dans certains lieux publics au rationnement du nombre de gigas quotidiens, des propositions émergent pour faire face aux enjeux de l’économie de l’attention numérique, renforcés par le développement des intelligences artificielles génératives. Néanmoins, c’est pour chaque fois réduire les capacités d’usage des citoyens plutôt que d’agir à la source, sur la nature des services fournis par quelques grandes entreprises. Anne Alombert, philosophe et membre du Conseil national du numérique insiste sur le rôle fondamental de la puissance publique, pour d’abord engager la transformation des technologies et rendre possible l’exercice des libertés aujourd’hui menacées. Elle propose deux leviers d’action pour y remédier, pouvant nourrir un projet européen à venir. Lire la note Lire le communiqué de presse Ne pas laisser aux algorithmes de quelques entreprises privées le pouvoir de téléguider les choix des citoyens Sommaire :

Les communs numériques au service de la communauté éducative : présentation du GTnum #Forges. Résumé en français Communs numériques au service de la communauté éducative : présentation du groupe thématique numérique #Forges. Résumé en anglais Digital commons for the education community: presentation of the #Forges digital theme group. Résumé en espagnol Comunidades digitales al servicio de la comunidad educativa: presentación del grupo temático digital #Forges.

Entité porteuse et composition du groupe Laboratoires porteurs C’est le LIUM qui est l’entité porteuse de ce GTnum, au sein d’un consortium réunissant trois laboratoires. D’une part, le LIUM (Laboratoire d’informatique de l’Université du Mans), et notamment son équipe IEIAH (Ingénierie des Environnements Informatiques pour l’Apprentissage Humain) composée d’une trentaine de chercheuses et chercheurs dont la spécialité est le numérique éducatif. Territoires académiques et structures associés Le consortium du GTnum Forges regroupe d’autres structures liées à la formation et à l’enseignement. Programme d’actions et axes de travail 1. Un point sur le streaming. Une BD qui n'apprendra sans doute pas grand-chose au cœur techno-enthousiaste de mon lectorat. Mais si ça peut remettre quelques trucs au clair pour d'autres, c'est toujours ça de pris ! Dans le langage courant, on distingue en général le « téléchargement » d'œuvres audiovisuelles du « streaming » (qu'on pourrait traduire par « lecture en continu » en français).

C'est une erreur commune de penser que le streaming et le « téléchargement » sont deux processus complétement distincts. Si vous pensiez vous aussi que rien n'était copié sur votre appareil quand vous streamiez, j'ai une mauvaise nouvelle pour vous… Hé, pssst… approchez. Quand vous regardez une vidéo en streaming, elle est téléchargée et copiée sur votre appareil. Pour faire simple : votre carte graphique (qui gère les flux vidéos) n'est reliée qu'aux composants de votre ordinateur, elle ne peut pas « lire une vidéo sur un serveur distant ». Et j'vais même vous dire… C'est pareil pour l'intégralité de ce que vous voyez sur Internet. Elinor Ostrom : la première Nobel : épisode 1/3 du podcast Portraits de femmes économistes.

Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenus personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux. Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois. LoL - Logiciel libre, une affaire sérieuse, sur Imago TV. Contra Chrome – a webcomic.

LibreExpo : exhibit about Free Software. Le logiciel libre est-il un Commun ? – Framablog. La notion de commun semble recouvrir aujourd’hui un (trop) large éventail de significations, ce qui sans doute rend confus son usage. Cet article vous propose d’examiner à quelles conditions on peut considérer les logiciels libres comme des communs. Nous vous proposons aujourd’hui la republication d’un article bien documenté qui a pu vous échapper au moment de sa publication en juin dernier et qui analyse les diverses dimensions de la notion de Communs lorsqu’on l’associe aux logiciels libres. Nous remercions Emmanuelle Helly pour la qualité de son travail : outre le nombre important de liens vers des ressources théoriques et des exemples concrets, son texte a le mérite de montrer que les nuances sont nombreuses et notamment que la notion de gouvernance communautaire est aussi indispensable que les 4 libertés que nous nous plaisons à réciter… Qu’est-ce qu’un « Commun » ?

Par Emmanuelle Helly On peut distinguer en simplifiant trois types de ressources pouvant être gérées en commun : 6. 10. De-google-ify Internet - Main Page - Framasoft. Evgeny Morozov et le « domaine public » des données personnelles. Au début du mois, l’essayiste biélorusse-américain Evgeny Morozov a donné une interview pour l’émission Soft Power, dans laquelle il résume de manière intéressante les positions assez iconoclastes qu’il défend à propos des données personnelles. Là où les militants numériques mettent l’accent sur la défense de la vie privée, Evgeny Morozov explique que l’enjeu principal est d’ordre économique et que le bras de fer avec les géants du numérique (GAFAM et autres) passe par le fait de considérer les données personnelles comme un « bien public » et de les faire relever d’un « domaine public ».

C’est une idée qu’il avait déjà avancée dans un article remarqué paru dans le Guardian en décembre 2016, traduit en français par le Monde Diplomatique sous le titre «Pour un populisme numérique (de gauche)». Voilà ce qu’il en dit dans son interview à Soft Power (je retranscris ses propos) : Un régime « hybride », inspiré de la domanialité publique Revoir notre stratégie sur les données personnelles ? Présentation des licences Creative Commons avec CC-Kiwi. Creative Commons. Où en est-on en 2017 ? Lionel Maurel. Titre : Creative Commons. Où en est-on en 2017 ?

Intervenant : Lionel MaurelLieu : Paris Open Source SummitDate : décembre 2017Durée : 13 minVisualiser la conférenceLicence de la transcription : VerbatimNB : transcription réalisée par nos soins. Les positions exprimées sont celles des intervenants et ne rejoignent pas forcément celles de l'April. Transcription Bonjour. On m’a demandé de vous parler cette fois-ci de culture, de création, d’œuvres, de musique, de films, de romans et de toutes cette dimension de la culture libre qui s’est étendue du logiciel, d’abord, à d’autres objets. Et ce qu’on m’a demandé de faire c’est de faire un état d’un élément qui est très important dans l’écosystème, ce sont les licences Creative Commons, d'essayer de faire un état des lieux. Au commencement il y a un homme, c’est Lawrence Lessig que vous connaissez sans doute, un personnage très important, professeur de droit à Harvard.

Mais, première limite : un rapport paradoxal aux grandes plateformes. Merci. De nouvelles formes de collaborations au service du bien commun ? Fallait-il une pandémie mondiale pour impulser de nouvelles formes de collaboration entre les entreprises et la société civile au service du bien commun et sur le long terme ? Cette question a été débattue lors des tables-rondes Totem de Bpifrance Le Hub. Compte-rendu de ces trois sessions d'échanges. Il y a un an presque jour pour jour, le 22 mai 2019, la loi PACTE était votée, invitant les entreprises françaises à repenser leur rôle au sein de la société et à se doter d’une mission d’intérêt général. Douze mois plus tard, les wagons de la SNCF transportent des lits d’hôpitaux à grande vitesse, les équipes de Décathlon ventilent les respirateurs aux soignants, Pernod Ricard distille du gel hydroalcoolique et Louis Vuitton équipe les Ehpad en masques et en blouses.

Esprit maker, es-tu là ? Ce sprint solidaire et collaboratif va rapidement faire des petits. Dans son sursaut en réponse à la crise sanitaire, le mouvement maker a également bousculé les entreprises. Article Native. Quelles différences entre open source et logiciels libres ? - itopie informatique. Cette question est un grand classique chez les informaticiens. Mais la différence entre ces deux mouvements réside finalement dans les valeurs qu’elles sous-tendent. Vous trouverez ci-dessous un excellent article reproduit du site developpez.com qui décrit ces différences subtiles. Selon Richard Stallman, la différence fondamentale entre les deux concepts réside dans leur philosophie : “l’open source est une méthodologie de développement; le logiciel libre est un mouvement social” . Quand on aborde la question des logiciels dans les communautés de développeurs, il est fréquent de voir deux groupes avec des idéaux opposés.

L’un qui a une préférence pour les logiciels propriétaires et l’autre à l’opposé qui a plutôt opté pour des logiciels libres ou open source. Des logiciels propriétaires aux logiciels libres Il faut avant tout noter que le concept de logiciel libre est plus ancien que celui de l’open source. Source : les logiciels libres expliqués par Richard Stallman. Frama, c’est aussi des outils pour s’émanciper. Des guides, des cartes à jouer, de la documentation et même un MOOC… La médiation au numérique éthique peut passer par de nombreux outils ! Nous réalisons certains d’entre eux et y contribuons, en espérant qu’ils vous servent. « Frama, c’est pas que… » Pour l’automne 2021, chaque semaine, nous voulons vous faire découvrir un nouveau pan des actions menées par Framasoft.

Ces actions étant financées par vos dons (défiscalisables à 66 %), vous pouvez en trouver un résumé complet, sous forme de cartes à découvrir et à cliquer, sur le site Soutenir Framasoft. ➡️ Lire cette série d’articles (oct. – déc. 2021) Nous avons eu la chance, à Framasoft, de pouvoir prendre le temps d’apprendre les mécanismes du Web, de documenter le système du capitalisme de surveillance dont les GAFAM sont un des symptômes, et d’expérimenter d’autres manières d’utiliser le numérique dans nos vies. Il faut dire que le premier parcours de ce MOOC, « Internet : pourquoi et comment reprendre le contrôle ?

Documentations. Le Fediverse et l’avenir des réseaux décentralisés. Le Fediverse est un réseau social multiforme qui repose sur une fédération de serveurs interconnectés. C’est un phénomène assez jeune encore, mais dont la croissance suscite déjà l’intérêt et des questionnements. Parmi les travaux d’analyse qui s’efforcent de prendre une distance critique, nous vous proposons « Sept thèses sur le Fediverse et le devenir du logiciel libre » Cette traduction Framalang vous arrive aujourd’hui avec presque un an de retard. Le document était intégralement traduit par l’équipe de Framalang dès le printemps 2020, mais nous avons tergiversé sur sa publication, car nous souhaitions un support différent du blog, où les contributions auraient pu se répondre.

Framalang met à votre disposition la traduction de Seven Theses on the Fediverse and the becoming of FLOSS. Référence : Aymeric Mansoux et Roel Roscam Abbing, « Seven Theses on the Fediverse and the becoming of FLOSS », dans Kristoffer Gansing et Inga Luchs (éds.), The Eternal Network. Qui sont les auteurs. Le SILL et code.gouv.fr font peau neuve - Plan d'action logiciels libres et communs numériques. Publié le 11/05/2022 Le SILL nouveau est arrivé !

Le SILL, c'est quoi ? C'est le catalogue historique des logiciels libres recommandés par l'administration et pour tous les organismes publics. C'est aussi et surtout une communautés de référents : tout agent public peut se porter référent de son administration pour un ou plusieurs logiciels libres. Les nouveautés Tous les agents publics peuvent se créer un compte sur le site sill.etalab.gouv.fr : si le nom de domaine de votre courriel professionnel n'est pas prévalidé, il suffit de nous écrire.Une fois inscrit, un agent public peut accéder aux courriels des référents d'un logiciel libre : il peut ainsi les solliciter directement pour un avis.Si votre administration déploie un logiciel libre sur les postes des agents ou dans ses systèmes d'information, vous pouvez en devenir référent. Embarquement immédiat ! Vous souhaitez tester des logiciels libres ? La liste des logiciels que vous pouvez tester va évoluer au fil des semaines à venir.

Wikipédia. Des figures en commun(s) | Cultures de l'Information. Par Anne CORDIER et Sophie BOCQUET-TOURNEUR “Il nous a trouvés, il nous a touchés et il nous a montré le chemin qu’il pensait, et nous avec lui, très probablement, être le meilleur. Nous lui devons énormément encore aujourd’hui. Il reste une somme infinie de travail à accomplir. Pour cet écrivain, ce penseur, cet activiste, ce hacker, ce précieux ami, nous le ferons” Lawrence Lessig « Aaron est mort. Vagabonds dans ce monde de fous, nous avons perdu un mentor, un aîné plein de sagesse. Un engagé précoce “Eh bien, à vrai dire, j’essaie moi-même de répondre à cette question (comment pourrais-tu te présenter ?) Aaron Swartz est né le 8 novembre 1986. Un an plus tard, il contribue au développement informatique de la licence Creative Commons créée par Lawrence Lessig.

De Wikipédia à Reddit, des convictions mises en oeuvre Il est persuadé que ce sont bien les rédacteurs, la communauté constituée, qui constituent le socle fondamental de ce dispositif, et non ses concepteurs : LaBoite - Le blog | Discours du directeur de la DNE à la Journée du Libre Éducatif #JDLE. Allocution liminaire d'Audran Le Baron, directeur de la Direction du numérique pour l'éducation, lors de la 1ère Journée du Libre Éducatif à l'ENS Lyon le 1er avril 2022. Bonjour à toutes et tous. Je suis à la fois ravi de pouvoir m’exprimer devant vous ici par cette vidéo, mais terriblement frustré de ne pas pouvoir être physiquement parmi vous. Heureusement la DNE est en force ici à Lyon puisqu’une dizaine de participants des équipes de la direction numérique de l’éducation sont ici à vos côtés.

Je veux remercier à la fois monsieur le Recteur de la région académique Auvergne-Rhône-Alpes qui a pu rendre cette journée possible. Il y a un an et demi s’étaient tenus les états généraux du numérique pour l’éducation [1]. Vous connaissez les quatre grandes libertés fondamentales qui définissent les logiciels libres. Nous souhaitons en effet développer un numérique qui soit à la fois souverain, souverain au sens qu’il ne nous lie pas à tel ou tel éditeur, qui plus est non européen. Former.