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Consommer moins et autrement, le phénomène va durer. Consommer moins et autrement, le phénomène va durer PARIS - La consommation alternative et responsable s'installe durablement en Europe sous l'effet de la crise et va prendre de plus en plus d'ampleur, selon une étude de l'Observatoire Cetelem (Crédit aux particuliers) publiée mardi. Selon cette enquête, réalisée en novembre 2012 auprès de 6.500 personnes dans douze pays d'Europe, plus de deux Européens sur trois (71%) déclarent ne pas avoir les moyens de consommer comme ils le souhaitent.

La crise les incite à favoriser la consommation responsable, le marché de l'occasion et les échanges non marchands. Quand 10 à 20% de la population cherche du travail comme c'est le cas dans les pays européens, la consommation alternative devient une vraie solution, a déclaré le responsable de l'observatoire, Flavien Neuvy, au cours d'une conférence de presse.

L'étude montre également que seulement 34% des consommateurs comptent augmenter leurs dépenses en 2013, contre 54% l'an dernier. Les Ekovores. Consommation ou partage collaboratif? Suite à la lecture de l’article d’Hubert Guillaud sur Internetactu.net qui de façon plus large traite d’usage et de mésusages & suite à la lecture de Vincent Truffy sur son blog médiapart, j’ai voulu expliquer ce qui à mes yeux fait partie de la consommation collaborative, et des valeurs que je voyais naître grâce à ce mouvement. J’ai été gêné du mélange général que j’ai pu voir entre les différentes formes de pratiques qui existent et les différences qu’elles ont. Ainsi voilà pour moi les deux améliorations, deux formes de valeur ajoutée, qu’apportent la Consommation Collaborative / Economie Collaborative que je mettrai dans cet ordre : 1) Une meilleure allocation des ressources Elle permet de redonner du service à ce qui stagnait. Elle engendre une réflexion sur l’accès et l’usage plutôt que la possession.

Elle met un stop à la société du toujours plus. C’était l’ère de l’avoir. . - La terre ne pourra pas supporter plus (et si on réfléchit, c’était bien débile d’en arriver là) INFOGRAPHIE. Face à la crise, consommer autrement - Economie. Jeff Jarvis : « Nous pouvons voir les prémisses d’une nouvelle économie basée sur le partage » Méconnu en France il y a encore quelques mois, Jeff Jarvis s’est fait remarqué en mai dernier, lors de la grande messe l’e-G8.

Face à un parterre d’entrepreneurs du web encravatés, il interpellait alors Nicolas Sarkozy pour lui demander de prêter une forme de serment d’Hippocrate : « ne pas blesser internet ». Éditorialiste, blogueur sur BuzzMachine.com et directeur du Tow-Knight Center for Entrepreneurial Journalism à l’université de New York, Jeff Jarvis fait parti des gourous du web outre-atlantique. Auteur d’un premier livre, La Méthode Google, il se définit lui-même comme un « optimiste d’internet ». À 57 ans, il publie en France un second ouvrage, Tout nu sur le web, paru en septembre aux États-Unis sous le titre Public Parts. La vie privée est-elle une notion dépassée ? Non, la vie privée est toujours quelques chose de très important. Elle doit être protégée. Vous dîtes que vous êtes « public par défaut ». J’ai essayé de définir la vie privée, mais je n’ai pas réussi. L'émergence de la Consommation collaborative - Economie.

Vers une économie de la contribution. La solution du capitalisme à bout de souffle pourrait bien être à chercher du côté des logiciels libres. Bernard Stiegler, philosophe, appelle à passer "du consumérisme toxique à une économie de la contribution". Ce n’est plus un secret pour personne : le capitalisme est en train d’être dévoré par ses propres effets toxiques. En 2005, parmi d’autres voix peu écoutées alors, une association française, Ars Industrialis, lancée par quatre philosophes et une juriste, avait sonné le tocsin. A l’époque, leur manifeste décrivait les dangers d’un capitalisme “autodestructeur” et la soumission totale aux “impératifs de l’économie de marché et des retours sur investissements les plus rapides possibles des entreprises” et notamment celles actives dans les médias, la culture ou les télécommunications.

Malaise du consumérisme L’homme habite un petit moulin industriel reconverti en maison à Epineuil-le-Fleuriel, au beau milieu de la France paysanne. Où se situe la solution ? Poison et remède Telecomix. Sur le web, "la tendance lourde est au partage de ressources" - - Le Nouvel Observateur. La conférence LeWeb'11 ouvrira ses portes les 7, 8 et 9 décembre prochains avec des têtes d'affiche comme Eric Schmidt (Google), Daniel Ek (Spotify) ou Xavier Niel (Free), pour une édition sous le thème est "Solomo", c'est-à-dire "social-local-mobile".

A cette occasion, le fondateur et organisateur de l'événement, Loïc Le Meur, fait le point sur le numérique d'aujourd'hui et demain, et s'excuse "par avance de la 'Jean-Claude Vandamisation' de [son] français". L'Europe a-t-elle encore une place dans l'innovation high-tech ? - Plus que jamais ! Longtemps, les Européens se contentaient d'imiter les concepts d'outre-Atlantique, mais aujourd'hui c'est terminé. On compte de plus en plus d'innovations issues du Vieux Continent.

Il suffit de citer le jeu finlandais "Angry Birds", les services de musiques suédois Spotify ou Sound Cloud, le site de musique français Deezer ou le réseau de rencontres anglais Badoo. Quelles sont les tendances de cette édition ? Comment voyez-vous le web de demain ? La voiture de demain : enfin bien élevée ? La « seconde vie » des objets au coeur de la campagne nationale d’incitation à la réduction de nos déchets. Après une année placée sous le signe de la lutte contre le gaspillage alimentaire, l’ADEME et le ministère de l’Ecologie, du Développement durable, des Transports et du Logement promeuvent à travers leur campagne de communication sur la prévention des déchets, un nouveau geste simple pour aider tout un chacun à réduire ses déchets : offrir une « seconde vie » aux objets. Cette « seconde vie » se décline de deux manières, le réemploi des objets comme le troc, le don, la vente et l’achat d’occasion – « Au lieu de jeter, je donne, je vends !

» – mais aussi la réparation de ces derniers – « Je fais réparer ce qui peut l’être ». Si on note un intérêt croissant des Français pour le réemploi des biens de consommation, ce sont en tout cas près de 13 kg de déchets par an en moyenne que chacun d’eux peut ainsi éviter. Le réemploi des objets, un geste simple et aux bénéfices multiples Elite Auto - Ralisez une demande de devis sur tous les modles SAAB et obtenez une remise jusqu' -36% ! Partage & Co. - Veille - Consommation. L'idée est primitive. C'est celle du feu commun dans la grotte. Tous les habitants d'un même groupe serrés les uns contre les autres pour se réchauffer, manger et échanger. Aujourd'hui encore, la notion perdure et le titre du best-seller d'Anna Gavalda Ensemble, c'est tout!

A une résonance forte dans la cité. On parle «d'économie du partage», «collaborative» ou encore «participative» . « Les crises économiques et sociétales, conjuguées à l'émergence de communautés via les réseaux sociaux, ont boosté cet écosytème de partage, continue Antonin Léonard. CityzenCar propose aux propriétaires de louer leur voiture par le biais du site. Lisa Gansky Cette économie «émergente» a même été identifiée comme l'un des scénarios de croissance établi par le très officiel Centre d'analyse stratégique (ex-Commissariat au plan), rattaché aux équipes du Premier ministre. CityzenCar ou la voiture partagée Le site Peuplade invite les voisins à échanger services ou informations.

Du système D au système E. 25 idées pour une consommation durable. Synthèse du rapport Avant toute politique de consommation durable, il s’agit de déterminer dans quelle mesure une alternative au modèle de la "consommation-accumulation" est possible. Il ne s’agit aucunement de prôner l’émergence d’une société de la décroissance, qui ne serait compatible ni avec la prospérité de l’économie française ni avec la soutenabilité de notre endettement. Si une évolution vers une société durable doit être amorcée le plus tôt possible, elle ne doit pas être imposée brutalement. Elle devra être suffisamment attractive pour motiver les changements de comportements et se construire en collaboration avec les parties prenantes, comme le souligne le récent livre de Dominique Bourg et Kerry Whiteside, qui propose de "repenser la démocratie" pour répondre au défi écologique [1].

Plusieurs facteurs devront être pris en compte pour assurer son efficacité : Éduquer à la consommation (durable) dès le plus jeune âge Soutenir l’innovation au service de la consommation durable. [Slides] Apéruche : consommation collaborative : nouveaux usages, nouveaux business. Le blog de la Consommation Collaborative. Le partage, un nouveau mode de consommation. Quand l'économie du partage inspire les investisseurs | Consommation Collaborative. Cet article est inspiré d’un post de Tim Hyer, fondateur de Rentcycle . Il est en partie reproduit ici avec la permission de l’auteur. J’ai trouvé cet article très intéressant car il met en perspective la montée des investissements dans les startups du partage. On parle de plus en plus de la consommation collaborative, mais concrètement à quel point le secteur intéresse-t-il les investisseurs ? L’investissement massif dans les startups du partage ne pose-il pas des questions étant données les valeurs du mouvement ?

Des éléments de réponse dans cet article. L’investissement dans la consommation collaborative aux Etats-Unis Tim Hyer : “Il y a trois ans, j’ai eu la volonté de lancer une entreprise construite autour du partage : on s’est moqué de moi. Ces dernières années, on a assisté à une montée de la prise de conscience autour d’une tendance de fond ancrée dans le partage.

Il n’y a encore pas si longtemps, nous achetions tous les films et la musique que nous consommions. L.php?u=http%3A%2F%2Fwww.rfi. Partageux, mais bien marketés. Auriez-vous l'idée de vous inviter chez un parfait inconnu pour partager son déjeuner? D'emprunter la première voiture venue en bas de chez vous pour une course impromptue? De rester dormir sur un canapé autochtone à l'autre bout du monde? Et de laisser le touriste de passage squatter le vôtre? Non? Pourtant ces petits plats finiront peut-être à la poubelle. Votre sofa comme votre voiture restent la majeure partie du temps inutilisés sinon inutiles: ils sont en «excess capacity». En bon français, vous les gaspillez. Rien de bien neuf là dedans: jusqu'à la célébrité de l'adjudant Chanal l'autostop permettait d'utiliser les sièges vides des voitures croisées sur la route (et de partager le prix du plein) sans appeler ça covoiturage.

Rachel Botsman: The case for collaborative consumption © TED L'un de ces usages oubliés est le partage des ressources, des équipements, des espaces, du temps privatisés. Plus de renseignements sur: Partage Recyclage Collaboration. Une économie moins capitalistique... mais pas moins innovante | Consommation Collaborative. L’économie du partage est-elle un retour au troc, au système D, à l’âge de pierre ou représente-t-elle la dernière avancée (en date) de l’économie numérique, source d’optimisation des ressources ?

Paulin Dementhon, fondateur de Drivy (ex-Voiturelib) défend son point de vue dans un témoignage intéressant initialement publié sur le blog de Drivy. Depuis le lancement de Drivy, on me demande très souvent le rôle que joue la crise dans notre success story : « Votre système D de la location de voiture, ça doit cartonner en ces temps difficiles, non ? ». L’actualité est un beau prétexte pour approfondir la question. OUI, on gagne assez rapidement de l’argent en louant sa voiture, et même pour les plus assidus, l’équivalent d’un 13è mois. Sans surprise, la recherche de revenus annexes se fait plus pressante en temps de crise. Bref, la crise accélère le décollage de Drivy, et souffle plus généralement dans les voiles toutes neuves de la consommation collaborative.

Crédit Flickr : Monique Kooijmans. Comment l’économie du partage crée du lien social. Alors que les échanges marchands créent de plus en plus d'exclusion sociale et de défiance, l'économie du partage, par le don, transforme les relations grâce à la reconnaissance et l'inter-dépendance. Le XXème siècle aura été incontestablement celui de l’échange marchand. Jamais l’humanité n’avait autant commercé, exporté, importé. Jamais les transactions n’avaient été aussi simples et rapides.

Le volume du commerce mondial a triplé depuis la chute du mur de Berlin et a connu une croissance presque exponentielle [en] jusqu’à la crise économique de 2008. Bizarrement, alors que les hommes entraient toujours plus en interaction et devenaient toujours plus dépendants les uns des autres, ce XXème siècle aura connu un immense délitement des structures sociales traditionnelles sans création d’autres structures alternatives efficaces. Religions, nations, classes sociales, familles… Toutes ces institutions ont été bousculées et affaiblies. Quand l’échange marchand abolit la relation Photos flickr. Blog » La consommation collaborative selon Rachel Botsman. EmailEmail Rachel Botsman est ce que l’on peut appeler une experte de la consommation collaborative ! Plusieurs années durant, elle a étudié le sujet dans le but de le comprendre, de le théoriser, et d’en mesurer l’impact, que ce soit sur l’économie, l’environnement, ou les mentalités.

C’est ainsi que l’année dernière, en 2010 donc, elle a co-écrit le livre de référence en la matière, What’s Mine is Yours : The Rise of Collaborative Consumption (que nous traduirons pour les non anglophiles par Ce qui est à moi est à toi : la montée de la consommation collaborative). Depuis, elle parcoure le monde, organise des conférences, est citée par les médias les plus prestigieux (CNN, The Economist, The New York Times … entre autre !) Pour reprendre ses mots de conclusion : Rejoignez-nous et venez participer à cette révolution ! 15 fév. Supermarmite.com, le clic qui fait saliver - Édition du 27 janvier 2011 (n°3413) Start-up de la semaine : La ruche qui dit oui !

Une « ruche » est un groupement d’une cinquantaine de consommateurs maximum qui veulent participer d’un commerce plus équitable pour leurs produits alimentaires et auquel des producteurs peuvent faire des offres via le site. Un principe d’achats groupés inversés donc qui s’inspire en bonne partie des Amap, ces associations d’agriculteurs qui fournissent en direct des paniers de fruits et légumes chaque semaine à des groupes de consommateurs. Quand, suite à une offre, un minimum de commande est atteint , le terme générique sera « La ruche a dit oui ! », d’où le nom de ce nouveau projet. 20% de commissions sont ajoutés au prix proposé : 10 % pour le site et 10% pour la personne qui, au sein de la ruche, prend en charge chez elle la collecte et la distribution des produits aux autres membres.

Les produits seront alimentaires mais aussi liés au jardinage et l’entretien de la maison avec une forte dimension bio. Entretien avec Guilhem Chéron, CEO de La ruche qui dit oui ! Internet fait décoller la consommation collaborative: « Ce qui est à moi est à toi » -Repérée sur le site d’InternetActu.net, une présentation d’un livre de Rachel Botsman et Roo Rogers: What’s mine is yours, the rise of collaborative consumption (Ce qui est à moi est à toi, la montée de la consommation collaborative). Quelques extraits du livre et de l’analyse d’InternetActu.net (à lire) « La consommation collaborative correspond au fait de prêter, louer, donner, échanger des objets via les technologies et les communautés de pairs ».« La consommation collaborative modifie la façon de faire des affaires et réinvente non seulement ce que nous consommons, mais également la manière dont nous consommons ».« Ces systèmes ont tendance à devenir, par défaut, la façon dont les gens échangent des biens, des lieux, des compétences, de la monnaie , et des services. » Il y a 2 grandes formes de consommation collaborative : Mais la consommation collaborative va bien au-delà: Ci-dessous, les liens vers 38 sites collaboratifs, un peu disparates, mais reflétant une tendance à suivre.

| 10 sites pour donner et recycler. Consommation collaborative.

Presse

Jean-Marie Boucher lance son portail de la consommation durable.