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Actualité en Vrac | Alimentation

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Quelques faits d'actualité. France - foodwatch. Foodwatch traque les étiquettes mensongères des hypers. Un blanc de dinde «100% filet» qui contient en réalité 16% d’eau, une soupe bœuf-carottes ne contenant qu’une infime quantité de jus de cuisson, un yaourt bio qui ne l’est pas vraiment… Ces produits de consommation courante, vendus en supermarché par de grandes marques de l’agroalimentaire, sont épinglés par Foodwatch, organisation de défense des consommateurs qui se lance ce mardi en France.

Foodwatch traque les étiquettes mensongères des hypers

Déjà présente en Allemagne et aux Pays-Bas, l’ONG souhaite pointer du doigt les «ruses» - d’ailleurs tout à fait légales - employées par de grandes entreprises pour «désinformer les consommateurs». «On veut mettre la pression sur les industriels et les pouvoirs publics pour les forcer à délivrer une information transparente», affirme Ingrid Kragl, directrice de l’information dans l’Hexagone. Foodwatch inaugure son action par une première pétition, ciblant l’entreprise Leclerc et son «blanc de dinde Tradilège». Des ruses «légales» mais pas «légitimes» A chaque fois, l’astuce est la même. Du vin de table au lieu de chianti : arnaque aux grands crus en Italie.

Un verre de brunello di Montalcino, version « low-cost ».

Du vin de table au lieu de chianti : arnaque aux grands crus en Italie

Voilà ce que pourront siroter les policiers italiens pour célébrer l'aboutissement de leur enquête sur une vaste escroquerie viticole, qui a conduit à la saisie de plus de 30 000 bouteilles de grands crus contrefaits. Selon la presse italienne, qui se fait l'écho vendredi 30 mai de cette opération, l'enquête a été lancée suite aux plaintes répétées de consommateurs ayant relevé la piètre qualité de vins pourtant reconnus comme étant de grande valeur. Le parquet de Sienne (Toscane) a ensuite décidé de l'ouverture d'investigations en mars. L'unité spécialisée chargée de conduire cette enquête a découvert une arnaque de grande envergure : du vin de table d'une valeur d'un euro, acheté en grande quantité, était réembouteillé sous l'étiquette de prestigieux vins toscans tels le brunello di Montalcino, le sagrantino di Montefalco, ou encore le chianti.

Actualités - foodwatch. Comment E.Leclerc, Maggi, Lustucru, Vrai et Puget induisent les consommateurs en erreur - foodwatch. Dangers alimentaires.com. Actualités. Actualités, débats, synthèses, vidéos : tout savoir sur l'agriculture.Magazine GoodPlanet Info. La Réunion, Guadeloupe, Guyane: la bataille du sucre. DOM 1-Sucre 0.

La Réunion, Guadeloupe, Guyane: la bataille du sucre

Peu de gens le savent en France métropolitaine, mais les départements d’outre-mer mènent contre l’obésité et le diabète une guerre longue et difficile. Et inégale. La faute à des teneurs en sucre explosives dans les aliments qui sont vendus dans les départements d’Outremer. Claudine Robert-Hoarau[1], diététicienne-nutritionniste à Saint-Denis de La Réunion donne quelques exemples: «Selon une étude effectuée par l’ARS et la DAAF[2], les “tonics et bitters” auraient une teneur en sucre à la Réunion de plus 28% que celle contenue dans les produits fabriqués en Métropole et les yaourts aux fruits de +12%.» publicité Des écarts qui pouvaient osciller entre 34,66% et 48,59% sur un produit tel que le Fanta orange[3].

L’adoption, en mai dernier, d’une loi visant à aligner le taux de sucre des aliments sur celui de la Métropole s’avère donc une étape décisive dans ce combat. Pourquoi les produits sont-ils plus sucrés? Alors, plus de cari ou d'accras? Harry Eliezer.