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Hollande, DSK Etc V3.0.mp4. La Licra s'associe à la Roma Pride (7 oct, 14h, place du Panthéon, Paris) Pour l’égalité des droits et la dignité de tous, rassemblons-nous dimanche 7 octobre pour la « Roma Pride – Marche pour la dignité du monde du voyage » ! Les récents violents actes racistes contre des Roms à Marseille comme la persistance de la loi de 1969, discriminatoire à l’encontre des « Gens du voyage » français, nous poussent à nous engager fortement pour promouvoir l’égalité des droits et la dignité de tous à l’occasion de l’édition 2012 de la « Roma Pride – Marche pour la dignité du monde du voyage ».

Depuis de trop nombreuses années, en France comme dans l’ensemble de l’Europe, les populations tsiganes, gitanes, manouches, roms, sont discriminées, persécutées et instrumentalisées à des fins politiques. Les représentations stigmatisantes qui s’abattent sur eux sont non seulement une violence en soi, mais également la condition du déploiement de la violence à leur encontre. Ensemble, nous nous engagerons en faveur d’une France et d’une Europe de l’égalité. Www.coe.int/t/dg4/education/roma/Source/FS/0.0_french_corr3.pdf.

Histoire des Roms de Roumanie : Sept siècles d’oppression - Initiative Communiste Ouvriere. Les fichages de Roms en France comme en Italie rappellent des périodes les plus sombres de l’histoire en particulier de ce peuple, victime, en Roumanie comme dans de nombreux autres pays d’Europe (comme les stérilisations forcées), d’oppression, de discriminations et même de génocide. Ce texte, écrit fin 2002, permet de revenir sur l’histoire des Roms en Roumanie. L’esclavage en Valachie et Moldavie [1] Partis d’Inde entre l’an 800 et 950, on estime que les Roms [2] arrivent dans le sud-est de l’Europe dans le dernier quart du 13ème siècle. Arrivés comme des hommes libres dans la principauté de Valachie, ils apportent avec eux des savoirs-faire artisanaux (en particulier dans le travail du fer) d’Inde et de l’Europe byzantine.

Cette venue de travailleurs qualifiés est alors une bénédiction pour les seigneurs valaches et moldaves qui ont besoin d’une force de travail. Les seigneurs féodaux, tout d’abord en dehors de toute base légale, commencent à réduire en esclavage ce peuple. Clichés, idées reçues : qui sont vraiment les Roms ? Lyon Capitale Mercredi, Nicolas Sarkozy présidait à l’Elysée une réunion pour « faire le point sur la situation des Roms et des gens du voyage ».

Entretien avec Martin Olivera, ethnologue spécialisé dans la communauté tzigane, pour mieux déconstruire les clichés répandus sur les Roms. Structurellement, c’est une population nomade *« Ce sont des migrants économiques comme les autres. Ils ont effectivement “voyagé” de Roumanie en France, mais étaient sédentaires là-bas (où ils vivent en maison, généralement en milieu rural). Mais on constate au bout de dix ans que ce sont les mêmes ensembles familiaux qui, de squats en squats, tournent dans les mêmes communes : on a connu de plus grands voyageurs. Ils ont un mode de vie à part et vivent en fratrie, à 30 ou 40 « Le fait de vivre tous regroupés sur un même terrain vague, dans un bidonville, n’est pas un idéal de vie mais le produit de la migration. Il n’y a qu’eux qui vivent en bidonville ?

Tout cela est pris comme un investissement. ?

A voir et trier

Arrêt sur images - décryptage de l'actualité des médias. Ce soir ou jamais - France 3. FUKUSHIMA INFORMATIONS. Le Grand Bond en Arrière - Documentaire. Hongrie : la politique anti-Roms | ARTE Reportage. Roms, les racines de la haine - Presse fédéraliste. Il est utile de rappeler comment, il y a tout juste sept à huit décennies, la destruction des Tsiganes fut possible dans les camps allemands. Ce ne fut pas un plan d’extermination déterminé avec acharnement qui serait né de l’esprit de Hitler. Dans le livre Mein Kampf, on parle de Juifs, pas de Tsiganes.

La destruction (en langue rom Poràjmos, la « grande dévoration ») s’origine dans la volonté tenace, insistante des campagnes et des périphéries urbaines allemandes : un fleuve d’une répugnance puissante, ancienne, que la démocratie de Weimar n’endigue pas mais à laquelle elle cède. Ceux qui ont vu le film de Michael Haneke « Le ruban blanc », savent comment les fureurs qui aveuglent l’esprit prennent forme, excluent le différent et enfin l’éliminent pour faire le ménage dans la famille, le village, la nation. Même l’antisémitisme a de telles racines, tous les génocides sont favorisés par des consensus tacites. Les rapatrier souvent, c’est les condamner encore plus. La situation des Roms, une question européenne | Les Roms, une question européenne | ARTE Journal. Statut-cadre du peuple rrom en Union européenne.

Document rédigé par le Réseau rrom des activistes sur les questions juridiques et politiques (RANELPI) Année 2000, revu en 2008 Bien qu’initialement prévu pour être adressé à l’Union européenne, le présent document est un guide précieux pour toutes les autorités nationales et internationales en Europe et il tombe à nouveau à point nommé. En effet, nous sommes en un moment crucial dans les développements européens. Les organisations intergouvernementales européennes (UE, CoE et OSCE) ont pris conscience que les questions rroms doivent être prises en considération sérieusement et traitées d’une manière efficace. Dans ce contexte, le projet d’un Statut-cadre du peuple rrom en UE, rédigé il y a huit ans par un réseau d’activistes rroms et non-rroms et ayant reçu l’aval de spécialistes du droit international, vient comme une contribution interne.

Chapitre 1 — Définitions § 1 — Identités nationales en Europe § 2 — Citoyens et résidents § 3 — Identités nationales et nations-pivots. Ces Roms qui font peur à l’Europe. Différentes contraintes ont été instaurées à l’encontre des flux migratoires vers l’Europe et en Europe. Elles contribuent à modifier le statut des étrangers, ainsi que la notion même d’étranger qui a toujours fait l’objet d’un questionnement identitaire. Dans un tel contexte, la question rom occupe une place importante au sein des débats publics en Europe de l’Ouest comme en Europe de l’Est.

En France, celle-ci n’est pourtant pas nouvelle. En 1912, une loi fut votée qui réglementait la circulation des nomades. La question a été soulevée à nouveau il y a quelques années, alors que des bidonvilles avaient réapparu dans le Sud parisien et que la loi pour la sécurité intérieure du 18 mars 2003 avait considéré comme indésirables les gens du voyage.

Une partie de ces populations avait alors fait l’objet de mobilisations citoyennes et des Roms avaient été intégrés en Seine-et-Marne et dans le Val-de-Marne. Un climat de violence et de xénophobie Une femme a été violée et tuée à Rome. La France contre ses Tsiganes. Le traitement stigmatisant adopté envers les Tsiganes français s’inscrit dans la longue durée et ne peut être appréhendé qu’à la lumière de tout un ensemble de dispositifs législatifs et de politiques discriminatoires qui l’ont précédé. L’enracinement tsigane en France est un phénomène ancien puisqu’il remonte au Moyen Âge. Du début du XVe siècle, période de leur arrivée en France, à la première moitié du XVIIe siècle, les Tsiganes ont connu un âge d’or [1]. Mais, par la suite, une série de facteurs entraînent un renversement d’attitude de la part des pouvoirs.

De l’accueil au rejet À partir des années 1600, et surtout de la deuxième moitié du XVIIe siècle, le destin de la diffuse « nation bohémienne » bascule. On assiste à une montée de l’intolérance et, avec elle, à l’établissement rigoureux et constant de sanctions effectives. Au XVIIIe siècle, l’opinion administrative englobe la catégorie des « Bohémiens » dans celle des vagabonds, mendiants et gens sans aveu. Les migrations des Roms balkaniques en Europe occidentale : mobilités passées et présentes.

1Depuis leur arrivée d'Inde en Europe, l’histoire des Roms a été scandée par plusieurs grandes vagues migratoires. À la faveur de ces mobilités, les Roms se sont déplacés vers de nouveaux territoires, ont traversé les frontières étatiques et se sont appropriés des nouveaux espaces socioéconomiques où ils se sont installés. Les migrations observées depuis la chute du communisme à l’est de l’Europe viennent dès lors s’insérer dans une historicité plus longue qu’il convient de restituer si l’on souhaite en comprendre les dynamiques singulières.

De fait, comme on le verra dans le présent article, on peut considérer que les déplacements de l’après-1989 ne constituent pas en tant que tels une rupture décisive, mais qu’ils font partie intégrante d’une vague migratoire amorcée dans les années 1960 avec l’ouverture de plusieurs États d’Europe occidentale aux flux en provenance de pays est-européens, au premier chef, la Yougoslavie. Les premières migrations (XVème-XVIIIème siècle) Les Roms dans l’Europe contemporaine – Les exclus de l’intérieur. Appel pour une marche nocturne des femmes, meufs, gouines, trans et toutes les autres ! Parce que la rue la nuit nous appartient aussi et qu’on en a marre d’être des proies potentielles. Parce qu’on veut être ensemble à un moment et dans un lieu dont on nous exclut et dont on s’exclut : retrouvons-nous pour une marche nocturne. Un collectif féministe (les Poupées en pantalon) avait déjà organisé il y a 3 ans une telle marche. Elle a suscité beaucoup de réactions violentes qui mettent en lumière (...)

Liliane Kandel et Françoise Picq Le mythe des origines, à propos de la journée internationale des femmes La Revue d’En face, n° 12, automne 1982 Quelle est l’origine de la journée internationale des femmes ? Que commémore-t-on le 8 mars de chaque année ? Dans le contexte actuel de crise et d’austérité, c’est sans surprise que la menace fasciste progresse. Le pogrom des Roms.