background preloader

Politiques culturelles

Facebook Twitter

Etude culture scherer guillon. Publications médiation culturelle. Médiation Culturelle Association, faîtière française. Observatoire des politiques culturelles, France. Culture & Médias 2030 Prospective de politique culturelle. Quelle politique culturelle pour la France ? Sujet du moment Quelle politique culturelle pour la France ? Face à l'essor d'Internet et aux ratés de la démocratisation, le "modèle français" est obligé de se réinventer. Des pratiques numériques aux nouvelles économies de la création, la culture s'invite dans la présidentielle car elle devient un enjeu de la compétition, écrit Vincent Dubois. Tant mieux, souffle Jérôme Clément : la culture doit refaire irruption dans la politique. Pour cela il faut ouvrir le ministère à l'intitiative privée, propose Guillaume Cerutti. Parier sur la culture fait partie du rêve français, rappelle Olivier Poivre d'Arvor qui propose un Grenelle de la création à l'ère du numérique.

Politique culturelle française. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La politique culturelle française regroupe les actions gouvernementales, administratives et territoriales, orientées vers un enjeu culturel. Le constat d'une exception française[modifier | modifier le code] Siège du Ministère de la Culture, au Palais-Royal, symbole du volontarisme culturel de l'État Selon Jean-Michel Djian, « la politique culturelle est une invention française », née « d'une préoccupation constante des pouvoirs monarchiques, impériaux ou républicains de s'accaparer, au nom d'une mystique nationale, la protection d'un patrimoine artistique et par extension d'encourager ce qui le deviendra »[1].

La politique culturelle française se distingue en effet par sa longue histoire, la forte présence de l'État, et la continuité des institutions au fil des siècles. « Ni la volonté politique, ni les moyens financiers, ni l'armature administrative », souligne Jacques Rigaud, n'atteignent un tel niveau dans aucun autre pays[2]. Livre Blanc des politiques culturelles des collectivités territoriales en Europe. Six façons bien différentes de voir la jeunesse. Mis en ligne le lundi 26 février 2007. Les politiques locales de la jeunesse se forgent dans les représentations que les adultes ont des jeunes. Decryptage. Le dossier du numéro 475 de la revue Territoires est consacré aux politiques locales de jeunesse. Parmi les contributions, celle de Jean-Claude Richez [1] qui estime qu’il y a six façons différentes de voir la jeunesse. Historiquement, il faut attendre la deuxième partie du 20e siècle pour voir apparaître une préoccupation en matière de politique jeunesse.

Dans les années 30, avec le Front populaire, le temps des loisirs se développe, avec la nécessité d’encadrer la jeunesse. Sous le gouvernement de Vichy, l’État va élaborer des projets liés aux problématiques de la jeunesse en développant l’agrément des associations. La IVe République délègue les problématiques de jeunesse aux associations, comme les Francas, les MJC ou Léo Lagrange, qui sont alors très puissantes. Avec la Ve République, l’État reprend le contrôle, à travers deux axes. Département des Études de la Prospective et des statistiques- Enquête sur les pratiques culturelles des Français. Observatoire des politiques culturelles. Présentation - Arcadi. 2 avril 2014 2014 – 2017 : un nouveau projet pour Arcadi Île-de-Francepar Frédéric Hocquard, directeur d’Arcadi Île-de-France « Fort de six années d’expérience en tant que directeur d’Arcadi Île-de-France, j’ai souhaité me réengager auprès de son équipe afin de poursuivre l’action de l’établissement.

Arcadi doit continuer à jouer un rôle majeur dans le secteur culturel francilien afin de renforcer la place de la culture et de ceux qui la font sur le territoire régional. Après l’approbation du renouvellement de mon mandat pour les années 2014 à 2017 par le conseil d’administration d’Arcadi en janvier dernier, j’ai le plaisir de vous présenter mon nouveau projet, qui s’inscrit dans la continuité des axes développés et vise à les renforcer par des évolutions notables.

Si une augmentation de 20% du budget d’Arcadi avait alors permis le développement de ces actions, le contexte est aujourd’hui différent. 2012-776 du 24 mai 2012 relatif aux attributions du ministre de la culture et de la communication. Jean Vilar (1912-1971) - Arts & Spectacles. Par Laetitia Le Guay. Réalisation : Marie-Laure Ciboulet Jean Vilar, qui aurait eu cent ans cette année, fut l’homme d’un idéal : celui d’un théâtre mis à la portée de tous et aussi indispensable à la société que « l’eau, le gaz et l’électricité » ; celui d’un spectacle « populaire » qui soit, dans l’exigence artistique, un moment de ferveur et de réflexion collective. Porté par cette aspiration, Vilar a transformé durablement le paysage théâtral français, tant au Festival d’Avignon, qu’il créa en 1947 et dirigea jusqu’à sa mort, qu’au Théatre National Populaire de Chaillot où il modifia profondément les tarifs et les conditions d’accueil du public, tout en proposant les grands classiques dans des mises en scène dépouillées.

Au TNP comme à Avignon, il sut réunir autour de lui, malgré des moyens souvent modestes, les meilleurs acteurs de son temps qui le suivaient dans son aventure. Avec la voix de Maria Casares et Jean Negroni et Jean Vilar. Arrêté du 23 février 1995 fixant le contrat type de décentralisation dramatique. Conclu dans le cadre des dispositions du décret n° 72-904 du 2 octobre 1972 relatif aux contrats de décentralisation dramatique et de l'arrêté du 23 février 1995 entre le ministre chargé de la culture, d'une part, et M. , nommé directeur du centre dramatique de : , ci-après appelé " le directeur ", d'autre part.

La décentralisation dramatique continue de s'inscrire dans le double projet de ses pionniers : démocratisation et régionalisation de la création théâtrale. Depuis 1972, le contrat de décentralisation dramatique définit les missions des centres dramatiques nationaux. Un centre dramatique national est dirigé par un artiste directement concerné par la scène : acteur, metteur en scène, auteur, dramaturge, scénographe. TITRE Ier Article 1er En assumant la charge d'un centre dramatique national, le directeur s'engage à remplir une mission de création théâtrale dramatique d'intérêt public. Article 2 Article 3 Article 4 CHAPITRE Ier Dispositions générales Article 5 Article 6 Article 7 Article 8.

Grands moments d'éloquence parlementaire - Malraux (1966) André Malraux © Assemblée nationale Présentation du budget de la culture à l'Assemblée nationale : 27 octobre 1966 [Compte rendu intégral de la 2ème séance du 27 octobre 1966] [Dossier André Malraux] M. On a appelé « beaux-arts » ou « direction générale des lettres et des arts », dans un certain nombre de pays, ce qui, en gros, correspondait aux achats de la cassette royale ou impériale. Nous nous sommes donc trouvés, en Europe, héritiers d'un système scolaire à changer de fond en comble et d'un système dit des beaux-arts qui, lui, n'a jamais été changé. L'oeuvre pédagogique de la IIIe République est une des plus grandes qui ait été accomplie dans le monde jusqu'à l'alphabétisation de la Russie. Mais au moment où Jules Ferry faisait tout ce que nous savons, il ne faisait rien du tout pour les Beaux-arts, qui ne dépendaient pas vraiment de lui.

Ce qui s'est passé en France s'est passé ailleurs. Ce qu'a fait Jules Ferry, c'est un mouvement réellement populaire, sans aucune démagogie.