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Rapport travail, emploi, numérique : les nouvelles trajectoires. Le mercredi 6 janvier 2016, le Conseil national du numérique a remis son rapport “Travail emploi numérique : les nouvelles trajectoires” à Myriam El Khomri, Ministre du TRavail, de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du dialogue social. Pour télécharger les documents, c’est par ici : Saisine Le Conseil national du numérique, commission consultative indépendante a été chargé par le Ministre du Travail, de l’Emploi, et de la Formation professionnelle, d’une saisine sur les questions de travail, d’emploi et de numérique (lien vers la lettre de saisine).

L’objectif de cette saisine est d’analyser les impacts de la révolution numérique sur plusieurs sujets : quels nouveaux métiers et quelles nouvelles compétences, et comment conduire la transformation numérique des entreprises ? Pour répondre à ces questions un groupe de travail piloté par Nathalie Andrieux, membre du CNNum, a été créé. Download (PDF, 257KB) 6 ateliers contributifs ont été organisés : consulter les compte-rendus. 20 propositions pour l’emploi et le travail à l’heure du numérique. Le Conseil national du numérique (CNNum) a été saisi en 2014 par le Ministère du Travail, de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social pour formuler des propositions sur trois problématiques : Quels nouveaux métiers, quelles nouvelles compétences et comment conduire la transformation numérique des entreprises ? Quelles sont les pratiques numériques des services publics de l’emploi ?

Comment l’automatisation et la numérisation des activités agissent-elles sur le travail et ses conditions ? Le CNNum a remis à Myriam El Khomri son rapport intitulé, « Travail, Emploi, Numérique, les nouvelles trajectoires », le 6 janvier 2016. Les recommandations couvrent les champs de la formation, du dialogue social, de la régulation des plateformes et de la modernisation de l’action publique, aux niveaux local, national et international.

Consulter le rapport et sa synthèse. Travail et changement. Numérique et conditions de travail : les enjeux d’une transformation en marche | anact. La transition numérique n’est pas réductible à son aspect technique. Elle bouleverse l’ensemble des dimensions du travail, depuis ses organisations jusqu’à ses finalités, en passant par les manières de le réaliser et par les conditions dans lesquelles il s’exerce. Elle ouvre des perspectives de transformation sociale des rapports au travail et des organisations de travail sur la base d’un renouvellement des usages, des capacités et des relations, dont les acteurs sociaux commencent à se saisir comme enjeux de régulation collective. Feuilleter le n°362 de Travail & Changement L'édito Par Hervé Lanouzière, directeur général de l'Anact.

La transition numérique a déjà son lot de lieux communs. Côté « opportunités », le numérique peut au contraire être un formidable outil pour penser, voire repenser nos organisations, au service de la qualité de vie au travail. Numérique : les cabinets de conseil en management face à la disruption. Le digital favorise de nouvelles formes de création de valeurs dans le domaine du conseil en management selon l'étude de Precepta. Et autant le dire tout de suite : le métier de consultant est même menacé d'uberisation. En effet, des plateformes de mise en relation consultant-client émergent actuellement dans cette industrie. La plupart sont anglo-saxonnes à l'image de Business Talent Group, Eden McCallum et HourlyNerd. En France, citons notamment Experdeus.

Développement de modèles alternatifs Pensez aux acteurs IT comme Accenture ou Capgemini qui profitent de l'importance prise par les technologies numériques dans les organisations pour se développer sur d'autres lignes de services à plus forte valeur ajoutée comme la stratégie. Mais d'autres modèles sont beaucoup plus redoutables pour les acteurs historiques. Le digital s'imposera comme LE relais de croissance du consulting à long terme à condition que les cabinets fassent évoluer leur modèle. Une rupture des modèles historiques. Numérique : les 20 propositions qui pourraient bouleverser notre façon de travailler.

Le Conseil national du numérique (CNNum) a remis mercredi son rapport « Travail, Emploi, Numérique, les nouvelles trajectoires » à Myriam El Khomri, la ministre du Travail. Ses auteurs livrent 20 recommandations pour que la France sorte gagnante de la révolution du numérique. En quelques années, le numérique a bouleversé « nos manières de penser, de modéliser le monde et de résoudre des problèmes », indique le rapport du CNNum , qui agrège les analyses sur le monde du travail d’une cinquantaine de sociologues, syndicats, économistes, entreprises et collectivités. Si leurs recommandations sont toujours prudentes, certaines semblent révolutionnaires et pourraient changer notre façon de travailler. C’est notamment la première fois qu’un rapport public fait le lien entre la mise en place d’un revenu universel et les changements liés au numérique. Voici les 20 propositions, réparties en six grands axes. Encourager les trajectoires professionnelles hybrides 3) Compte personnel d’activité (CPA)

Mieux utiliser les compétences disponibles. L’ubérisation à marche forcée de l’économie conduit inéluctablement à une consommation plus rationnelle et plus ciblée des compétences. A condition d’être anticipée, cette évolution pourrait permettre une utilisation plus intensive des savoir-faire disponibles. Encore faut-il créer et rationnaliser ce marché !

Bruno Teboul (1) décrit l'ubérisation comme un phénomène récent dont la société de technologie californienne Uber est l'inspiratrice directe : « C'est un néologisme qui peut s'utiliser et se conjuguer pour décrire comment une start-up à travers une plateforme numérique permet de mettre en relation les entreprises et leurs clients. » J’assistais récemment à une conférence de Philippe Chalmin dont la grande spécialité est l’analyse du marché des matières premières. Si je dois retenir un seul élément de cette conférence, c’est l’idée que l’ubérisation de l’économie est sous-tendue par l’intensification de l’utilisation de la matière. Uber a du bon Ce monde ne tourne pas rond. Ce que cache exactement le nouveau mot «ubérisation» Le néologisme créé à partir du nom de l'entreprise de VTC a submergé les médias et l'univers du numérique ces derniers mois.

Sa définition varie pourtant d'un interlocuteur à un autre et le terme possède autant de nuances que de détracteurs. J'ubérise, tu ubérises, il ubérise... À lire certains médias et à entendre les acteurs du numérique français, tout est ubérisable - si ce n'est pas déjà ubérisé. L'économie, la politique, la drague sont autant de secteurs où l'ubérisation serait en marche. Les uns vantent son avènement quand les autres mettent en garde contre ses dangers. Premier à avoir popularisé le terme, Maurice Lévy, patron de Publicis, l'a employé lors d'une interview accordée en décembre 2014 au Financial Times. Changer, c'est gagner Uber, Amazon, Netflix: ces trublions de l'économie ont leur propre adjectif dans la langue anglaise: «disruptive».

Le rêve des uns, le cauchemar des autres Alors l'ubérisation, bouleversement économique pour le meilleur? Blog | COACHING EN DEVELOPPEMENT D'ENTREPRISE. Aujourdh’ui se dessine une réelle scission entre les « technoaddicts » et les « il fait bio, tout est bio ». Alors comment faire cohabiter ces deux mouvements et est-ce possible ? A l’heure où nous nous retrouvons à des antipodes entre une vision complètement robotisée et automatisée de la relation, comme par exemple cet hôtel japonais géré par des robots ou encore cette « text walking lane » à Anvers, en Belgique, qui est une allée réservée aux piétons souhaitant marcher les yeux rivés sur leurs écrans de smartphone. Et une vision centrée sur le bien-être, l’éthique et le bio, à l’instar des familles sans télé où le père se prend pour « Bio »man, et d’autres souhaitant détecter le niveau de pollution dans l’air pour prendre le meilleur chemin pour leur santé.

A vélo biensûr ! Ou alors les vêtements câlins qui vous veulent du bien dont l’attribut est de vous aider à lutter contre le stress et l’inconfort. Il y a comme qui dirait un fossé ! Bon ! La participation citoyenne après la révolution numérique : analyse du cas de Podemos. Les origines de Podemos nous forcent à remonter au mouvement des Indignés (Indignados). Trois ans après avoir mobilisé des centaines de milliers de personnes, ce mouvement social qui exigeait un changement radical dans la politique du pays s’était essoufflé. Alors que 80 % de la population se disait en accord avec le mouvement, la majorité a continué à voter pour les partis traditionnels . Début 2014, la situation espagnole était pourtant loin de s’être améliorée, avec notamment près deux mille affaires de corruption recensées, impliquant au moins cinq cents hauts fonctionnaires pour un coût estimé à quarante milliards d’euros par an. En outre, dans un contexte d’explosion du chômage, le premier ministre Mariano Rajoy annonçait une nouvelle réduction des allocations chômage.

. « Prendre les choses en main : convertir l’indignation en changement poli-tique » , c’est avec cette proposition que naît Podemos, qui publie son manifeste en janvier 2014 dans le journal Público. Sources. La participation citoyenne après la révolution numérique : analyse du cas de Podemos. Ubérisation, ruptures, disruption : le marché du travail est le prochain sur la liste. Le marché du travail est à l’aube de la redéfinition de ses règles autour de 4quatre grands piliers : modéliser la bonne rencontre, "horizontaliser" la relation professionnelle, savoir trouver son prochain job et démocratiser la cooptation. Avec 600 milliards de chiffre d’affaires par an et 3 millions de collaborateurs dans le monde, le marché du travail est un véritable écosystème où cohabitent multinationales, nouveaux champions et start-up.

A l’image de nombreuses industries qui connaissent des ruptures spectaculaires, le marché du travail est à l’aube de la redéfinition de ses règles. Plus horizontales, elles bouleversent les comportements. L’insatisfaction professionnelle, un manque à gagner pour l’économie La fin du marché du travail tel qu’on le connaît a sonné. Le taux record d’insatisfaction professionnelle reflète, parmi d’autres phénomènes, son inefficacité.

Les 4 nouveaux piliers du marché du travail Modéliser la bonne rencontre Horizontaliser la relation professionnelle.