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NSA - Réactions

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News Digest - Get in the know in no time. New NSA chief says 'sky not falling down' after Snowden revelations. The new director of the National Security Agency, Admiral Michael Rogers, has played down the damage caused by Edward Snowden's revelations – in contrast to claims by his predecessor and British counterparts that it was one of the worst breaches in intelligence history. Rogers said in an interview with the New York Times that some terrorists had made changes in the way they communicate as a result of the revelations focusing on the US spying communications agency, but overall he had concluded the sky was not falling down.

His predecessor, General Keith Alexander, described the leak of tens of thousands of documents from the NSA and British counterpart GCHQ – as well as the surveillance agencies of Australia, New Zealand and Canada– as "the greatest damage to our combined nations' intelligence systems that we have ever suffered".

British intelligence has spoken of areas of the world having "gone dark" and of disruption caused to intelligence-gathering. Cyber-espionnage : PRISM agite toujours la sphère IT. Microsoft, Yahoo et Cisco adressent une piqûre de rappel au gouvernement américain sur la question des collectes massives de données réalisées par la NSA dans le cadre du programme de surveillance électronique PRISM. Les trois multinationales invitent les autorités à faire preuve de plus de transparence concernant ces pratiques de cyber-espionnage. Elles réclament par ailleurs l’instauration d’un cadre de coopération international afin d’harmoniser les politiques de protection de la vie privée.

Vice-président des affaires légales chez Microsoft, Brad Smith estime qu’il reste « encore beaucoup de travail à faire en la matière« . John Chambers, P-DG de Cisco, a repris ces déclarations lors du Forum économique mondial de Davos (Suisse). Marissa Mayer, patronne de Yahoo, a fait de même, comme le note CNN. Cet effort commun s’inscrit dans la continuité des démarches initiées en octobre dernier par un collectif réunissant Google, Apple, Microsoft, Facebook, Yahoo et AOL. Prism : l’Allemagne va demander des comptes à Obama, Le FBI et la NSA surveillent les serveurs des géants du Net.

Stop Watching Us | Stop Watching Us. The Day We Fight Back - February 11th 2014. NSA : Microsoft va délocaliser hors États-Unis les données de ses utilisateurs étrangers. Les révélations du lanceur d’alertes Edward Snowden sur les écoutes de la NSA continuent d’avoir des répercussions dans le monde. Le Brésil a ainsi voté le principe d’une régionalisation des serveurs des services internet : si Google, Facebook et d’autres veulent continuer à opérer auprès des Brésiliens, alors leurs serveurs devront être installés au pays.

Ces serveurs se placeront ainsi en dehors de la juridiction américaine, loin des oreilles très indiscrètes de la NSA et donc beaucoup moins susceptibles d’être infiltrés. Dans un genre un peu semblable, Microsoft a décidé de prendre les devants : afin de ne pas s’aliéner ses utilisateurs non-américains, l’éditeur s’est engagé à ne pas stocker leurs données sur le sol des États-Unis. Les informations privées de ces clients ne seront donc plus écoutables légalement par la NSA et autres organismes américains à trois lettres.

Elles seront en revanche sous la protection des lois locales où sont localisés les serveurs. Nils Torvalds affirme que la NSA aurait demandé de mettre un backdoor sur Linux. On parle beaucoup de la NSA en ce moment. Au parlement Européen aussi, on évoque la question. Lors d’une séance au parlement la semaine dernière, Nils Torvalds a indiqué que la NSA avait peut-être demandé un accès dérobé à Linux. Tout part d’une discussion, sur la présence ou non d’un backdoor sur les logiciels Microsoft, lancée par Christian Engström, membre du parti pirate suédois. Si ceux-ci en ont, il serait impossible de vérifier, le code source n’étant pas disponible. Nils Torvalds, qui siège au parlement européen et qui est accessoirement le père de Linus Torvalds, a indiqué que même si son fils ne le disait pas ouvertement, tout le monde avait compris qu’il avait été approché par la NSA pour ajouter un accès dérobé à Linux.

De toute manière, même si Linus avait eu la volonté de le faire, ce serait totalement impossible, conclut-il. Nils Torvalds fait référence à une conférence donnée par Linus en septembre dernier. Google sollicite une réforme des écoutes massives de la NSA. Auditionné ce 13 novembre par le Congrès américain à propos du programme de surveillance électronique de la NSA, Google a sollicité une réforme urgente de la législation sur la confidentialité des données. Directeur juridique chargé de la sécurité de l’information au sein du groupe Internet, Richard Salgado a affirmé que les écoutes massives pratiquées par les agences fédérales de renseignement menacent l’Internet ‘ouvert’. Et de laisser planer, dans la lignée des avertissements émis par Cisco, le spectre d’effets secondaires sur l’économie des États-Unis, en particulier le segment du cloud computing. Selon Google, le scandale PRISM pourrait effectivement pousser les entreprises et le grand public à se détourner des prestataires américains (Google, Amazon, Microsoft, IBM et consorts).

Richard Salgado a cité, en référence, une étude Forrester publiée cet été. Comme le note Silicon.fr, la Chine a d’ores et déjà limité ses achats auprès de grands groupes IT américains. Marissa Mayer et Mark Zuckerberg réagissent à l'affaire Prism. La dirigeante de Yahoo, Marissa Meyer. Crédit: IDG NS Interrogé sur le programme de surveillance Prism, le fondateur de Facebook a déclaré que le gouvernement américain avait « déconné ». Marissa Mayer, patronne de Yahoo, a indiqué que si elle révélait les détails de cette affaire, ce serait une « trahison ». Les PDG de Yahoo et Facebook ont été sur la sellette hier pour répondre à des questions concernant Prism, le programme de surveillance des données lancé par le gouvernement américain.

Assurer la protection des utilisateurs Les deux dirigeants ont mis l'accent sur leurs efforts pour une plus grande transparence, et tous deux ont déclaré que leur objectif était de protéger leurs utilisateurs. Apple nie collaborer avec la NSA. Cyber-espionnage : les géants du Web haussent le ton. Plusieurs géants du Web montent au créneau face aux collectes massives de données orchestrées par l’Agence américaine de sécurité nationale (NSA) dans le cadre de son programme de surveillance électronique PRISM.

Au regard de l’ampleur de ces opérations de cyber-espionnage, les groupes Internet sont accusés de faciliter l’accès à leurs réseaux pour le compte du renseignement américain. Leur image de marque est d’autant plus affectée que le technicien Edward Snowden, instigateur du dossier, multiplie les révélations par presse interposée. Fin octobre, un collectif réunissant Google, Apple, Microsoft, Facebook, Yahoo et AOL avait tenté de sensibiliser le Congrès à cette problématique en adressant une lettre aux commissions de la Justice de la Chambre des Représentants et du Sénat.

Sollicitant un ‘débat public éclairé’, ces six sociétés en appelaient à davantage de transparence et à des protections supplémentaires en matière de vie privée. Crédit illustration : Tim Masters – Shutterstock.com. Microsoft fait front face à la NSA.